Rwanda

de l’indépendance et acceptation d’une autonomie dans le cadre du Soudan 3) Partage des revenus pétroliers Les conflits du Rwanda et ses conséquences • Depuis le génocide 1) Conflits ne peuvent plus être expliqué que par des causes géopolitiques 2) Causes économiques (gisements pétroliers) 3) Causes climatiques 4) Causes géographiques • Génocide de Rwanda 1) Division entre les minorités (Tutsi et Hutu) 2) Différence d’éducation entre les groupes 3) «Révolution hutu» 4) Mouvement

I. Survivant mutilé de James Nachtwey. 1) Introduction. a. L’artiste. James Nachtwey est un photojournaliste New-Yorkais né le 14 mars 1948. b. La photographie. Son titre est Survivant mutilé et a été prise en 1994 au Rwanda. Elle a été prise lors d’un reportage photo pour dénoncer le génocide rwandais. La photo représente un membre de la communauté des Hutu ayant refusé de participé au massacre. Elle a été prise vers la fin du génocide. c. Le contexte Historique. La cause majeure

d’armes à feu interdites dans les régions africaines est effective et n’ont jamais été traduits devant la justice. Sur une échelle moins importante, citons le cas des contingents ayant participé à des missions de maintien de la paix, par exemple au Rwanda, au Burundi, au Libéria, en Sierra Leone, au Soudan, au Congo démocratique (RDC) etc. et qui sont impliqués dans le trafic d’armes en échange avec les minerais. Lorsqu’elles sont en Afrique, les armes circulent de plusieurs façons. Les flux d’armes

tâches Le Responsable Régional en Chaîne de Valeur a pour responsabilités de développement des chaînes de valeur du bois et du charbon de bois. Il supervisera les activités liées au développement de ces chaînes de valeurs au Burundi, en RDC et au Rwanda en appuyant les organisations professionnelles dans les chaînes de valeur bois de feu et charbon. Il saura « comment motiver » les différents maillons de la chaîne pour arriver à un lobby efficace pour la défense de leurs intérêts communs et l’augmentation

pays producteurs, y compris six pays ACP. Les 21 producteurs de thé ACP sont le Burundi, le Cameroun, la RD Congo, l’Éthiopie, le Kenya, le Lesotho, le Mali, le Malawi, Madagascar, Maurice, le Mozambique, le Nigeria, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Rwanda, les Seychelles, l’Afrique du Sud, le Swaziland, la Tanzanie, l’Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe. Tous, à l’exception du Lesotho, du Mali, des Seychelles et du Swaziland exportent le thé qu’ils produisent. Le Kenya représente plus de la moitié de

génocide indéniable. En d’autres termes, les origines du génocide au Rwanda en 1994 qui a vu le massacre programmé de centaines de milliers de civils principalement tutsis par des miliciens hutus, sont à chercher dans des oppositions politiques et dans des discordances ethniques pluriséculaires. Les génocides les plus récents et les plus destructeurs que l’espèce humaine ait jamais connus, à savoir l’Holocauste ou celui perpétré au Rwanda, sont perçus de nos toujours comme un mal indicible dont les traumatismes

n'arrive souvent pas à empêcher. Pour punir et mettre un frein à ces atrocités, tout au long du XXe siècle (à partir du Traité de Versailles de 1919, en passant par Nuremberg, Tokyo, et l'expérience des tribunaux ad hoc pour l'ex-Yougoslavie et pour le Rwanda), divers mécanismes judiciaires ont été mis en place pour faire valoir la responsabilité pénale individuelle des auteurs de violations graves du droit international. Par la création, avec le traité de Rome de 1998, de la Cour pénale internationale

Démocratique du Congo et qui a été un élément de déstabilisation dans l’ensemble de la région et le théâtre d’affrontements opposant l’armée congolaise aux rebelles. Ce qui fait fuir la population qui se réfugie dans les pays voisins comme les Hutus du Rwanda qui se sont réfugiés au Kivu provoquant la création de bandes armées. Depuis 2003, le Soudan et le Tchad connaissent eux aussi des troubles internes comme la population du Darfour qui s’est réfugié au Tchad. Le Tchad accuse alors le Soudan d’armé

raciale détermine partout le statut social et politique. Le Rwanda est un exemple de surinterprétation raciale de l’ethnie. Avant l’arrivée des colons, les ethnies rwandaises Hutu (80 % de la population) et Tutsi (20 % de la population) vivent ensembles à l’intérieur de chaque clan et les personnes peuvent passer d'une ethnie à l'autre, au gré des alliances et des allégeances. La définition coloniale de l’ethnie s’applique mal au Rwanda puisque la population y partageait la même langue, la même religion

d'autres pays comme le Kenya et l'Ouganda. De nos jours, la répartition des eaux du Nil pour l'exploitation humaine est régulée par un accord liant neuf des dix pays riverains du bassin (Burundi, Congo-Kinshasa, Égypte, Éthiopie, Kenya, Ouganda, Rwanda, Soudan, Tanzanie - mais pas l’Érythrée, seulement observateur, et ne voisinant pas directement le Nil), sous la banière de l'Initiative du bassin du Nil (IBN, Nile Basin Initiative)[12]. Il tire son origine d'un premier accord datant de 1929, définissant