Rythme biologique

« où » ce qui fait du poème une longue et insistante interrogation. 2) Une énumération de femmes célèbres : La reprise anaphorique de cette question initiale permet de rappeler le souvenir de quelques figures féminines célèbres dont l'énumération rythme le texte. Il y a douze femmes au totale, certes pour nous, l'identification est difficile il faut savoir que de la vision de Villon, et son horizon socio culturel, elles sont célèbres. D'une part, on a à la fois des personnages véridiques, des figures

Allitération en « s » et « l » : effet de monotonie  fait penser à une berceuse Provoque une harmonie initiale (v1) Assonance en [an] associée aux allitérations provoque une harmonie et de la douceur Vers 4 et 7, on observe une certaine musicalité Rythme lent Enumération : effet d’insistance qui dénote un calme plat II. Personnifica° de la rivière qui se réveille Strophe 3 : libération des plantes. Monde aquatique opposé au monde végétal. Dans son mouvement, la végétation tente de retenir l’eau. 

succomberait face au manque de culture et de savoir littéraire. Cette notion d’héritage est aussi appuyée par « La terre prend l’obole de son corps » (v.7-8) où l’accent est mis sur « obole » par un enjambement. La répétition de sacrifice est souligné par le rythme haché du vers 11 séparé en presque trois phrases avec l’emphase mis sur « Il meurt. » et par le vers 10 qui suppose une tradition familiale ancienne. Nous pouvons considérer cette idée comme un professeur enseignant à un élève sa connaissance étant

la mort, tentative de faire comprendre sa jeunesse éphémère, pr qu’elle cède à son amour.    C. La description de la vie d'Hélène  Réaliste : contexte précis (v.1) chandelle : chère, haut niveau de vie. Présenter seule, ac une vie monotone (v.2/3) rythme alexandrin et hémistiche : vie trop bien réglée

domestique : * Soir = symbole fin vie humaine * Chandelle, feu, foyer (v1/2/11) = éclairage scène discret *Univers rétréci ≠ sa vie présente à la cour, très mondaine. Occupations : restreintes tâches domestiques * Allitération en [an] + régularité de rythme monotonie vie (lancinant) L’aspect de la femme :* Emploi adj. « Bien » + « vieille » à la césure (v1) accentuation vieillesse * « Belle » (v4) mis en valeur à la fin du vers MAIS imparfait + locution conjonctive « du temps que »... [à continuer]

 ou  d’une  basse  cour   § rythme  V1  et  V2  aggravé  par  la  répétition  de  «  grave  »   § enjambement  V=>  démarche  mécanique   § renforcé  par  le  rythme  ternaire=>  «  balancer  »,  «  répondre  de  la  tête  »   § regard  sérieux  de  la  volaille=>  «  grave  sourci  »   § parle  avec  rythme  ternaire=>  «  messer  non  »

« roi »), d’ouverture (« azur » et « voyage ») et indique une symbiose entre l'albatros et son milieu. Baudelaire utilise ici un vocabulaire positif lorsqu'il est question du vol : « vastes », « compagnons de voyage », « rois de l'azur ». De plus, le rythme et les sonorités du poème contribuent à mettre en valeur l'harmonie du vol et son déploiement comme les allitération en -en et en -v, l'effet d'allongement crée par la prononciation des -e muets : « qui suiv/ent » v.3, « vas/tes oiseaux des mers »

aux fusillés comme si ils n'étaient pas mort, on ne les oublie pas « Onze ans déjà que que cela passe vite onze ans ». Ce vers prouve combien ces 23 résistants ont marqués les esprits. A la fin du poème la répétition de « vingt et trois » crait un rythme qui exalte. Parallèlement Manouchian affirme n'avoir aucune haine contre l'ennemi il est serin face a l'épreuve de la mort « Je n'ai aucune haine contre le peuple Allemand ». Eluard dans son poème évoque le souvenir de son enfance dans une première

passé Volonté d’immobilité Position statique de la dame « dévidant et filant » Participe présent : actions de la dame Activité répétitive visible par assonance en i et ant Monotonie de la vie, opposée au mouvement de la vie de cour // rythme des vers 2, 3 et 4 qui souligne le ronronnement : Vers 2 : 2 + 4 / 3 + 3 Vers 3 : 2 + 4 / 2 + 4 Vers 4 : 2 + 4 / 2 + 4 v. 1-2 « bien vieille » « au soir à la chandelle » « Assise auprès du feu, dévidant et filant » Description très précise :

II/ Le rôle symbolique de la nature dans le poème Marche dans la nature pour cueillir un bouquet a-marche rapide : *rythme (v.1 découpé en hémistiches, rythme binaire) *pas (nombreux monosyllabes reproduisent les pas) b- composition du bouquet (effet d’accumulation -> abondant) L’eau et l’air : éléments dominants a-air *fraîcheur, vivifiant -> "glacer" * Rythme haletant (beaucoup de pauses, monosyllabes, coupes) comme si le poète était essoufflé. * Retour au calme ds dernier quatrain