Rythme biologique

premier quatrain est une description de la vie monotone d'une femme âgée. Ronsard insiste sur l'âge "bien vieille" vers 1 et les occupations calmes de la femme en question "dévidant et filant" vers 2. Il s'agit ici de participes présents qui créent une rythme lent. L'évocation de la fin de journée "au soir" au v.1 fait penser à la fin de la vie. L'opposition futur/passé "serez" v1 et "direz" vers 3 "célébrait" vers 4= la femme était la muse du poète et "j'étais" souligne la différence entre la beauté propre

Introductions : L’œuvre à commenter est un poème qui s’intitule «Le relais », tiré du recueil Odelettes composé entre 1832 et 1835 par Gérard de Nerval, poète du début du 19ème siècle. Ce poème parle essentiellement de nature et de voyage, nous pouvons donc nous poser la question suivante ; l’intérêt du voyage est-il dans le temps de l’arrêt ou le temps du trajet ? Nous répondrons à cette question d’abord en nous interrogeant sur l’opposition entre l’agitation du trajet du voyage et le calme de la

quatrains sont consacrés à l’évocation de la nature ; la régularité du décasyllabe dépeint la sérénité et le calme. Ensuite le poète adresse une supplique à la nature dans le deuxième tercet, avec des effets d’écho et de refrain. En effet, le même rythme scande les vers : quatre puis six mesures. La description de la nature est détaillée (11 vers sur 14) et hyperbolique. Toutes ses composantes sont énumérées, dans un ordre décroissant : du plus vaste au plus restreint (de « Ciel » v.1 à « fleurs »

de rejets mettent en valeurs la brutalité, l’agressivité mais sans aucuns doutes la sincérité de ses vers ; « D’espérance un vaste torrent Me transporte. Sans vous, comme un poison livide » (v24/25). André Chénier utilise à plusieurs reprises un rythme ternaire pour exprimer son émotion et son indignation (les « si » v.1 à 9). 2. Le poète poursuit sur l’engagement, avec sa révolte contre l’injustice. En effet, André Chénier s’adresse directement à cette justice par un procédé d’interpellation

entre eux sont de la même nature grammaticale. AU 1er distique, il y a un tournant. Rappel Pour analyser un texte, il y a 4 outils d’analyse : • Les figures de style • Le lexique • La grammaire=syntaxe (ponctuation) • Le rythme Une assonance est une répétition d’une voyelle Une allitération est une répétition d’une consonne Notes sur le poème « Et la met et l’amour » • Champs lexicales de l’eau et l’amour primordiales : « la mer »x6 et « l’amour »x8

jambe de statue se substitue en regret, le constat est négatif. 2 – La passante Elle est évoquée aux vers 2, 3, 4, 5, 7, 8, et 10. Elle est mise en avant par des figures de rhétorique comme l’énumération au sens d’une harmonie et d’équilibre. Le rythme est saccadé, le poète s’enflamme. La femme est sacralisée telle une déesse. L’importance est accordée au regard comme dans beaucoup de poèmes de Baudelaire. III – l’allégorie La passante est féérique, elle incarne l’allégorie de la beauté. Baudelaire

lesquelles se retrouve l’albatros, tout à tout « roi de l’azur »v.6 et  « maladroit et honteux »v.6. Trois phrases exclamatives dans la troisième strophe, plus que dans le reste du poème qui est en moyenne plutôt à une phrase par strophe, donne un rythme accéléré et saccadé indiquant à la fois l’acharnement répétitif des marins mais aussi la souffrance de l'albatros. Cette anecdote est construite sur une opposition, on peut tout d’abord noter la présence de deux mondes antagonistes. Le monde terrestre

Si tel est le cas de la peinture peut-on en dire autant de la danse et de la poésie par exemple? Il ne s'agit pas de multiplier les exemples mais bien de tenter de comprendre en quoi la danse modifie notre rapport au réel. La danse est mouvement, rythme, inscription à l'espace, et bien sûr expression d'une intériorité qui convoque des émotions et les libère. Le spectateur peut en cela être ému si ce n'est bouleversé par un tel spectacle. Reste alors à comprendre en quoi cette émotion peut modifier

cette introduction succède un morceau instrumental mesuré et obéissant à un schéma rythmique fixe qui est toujours binaire. Alternent ensuite des passages vocaux puis instrumentaux ; l’évolution rythmique est marquée par la présence de rythme ternaire et de rythme à cinq temps. L’orchestre est formé d’un Oud (luth), d’un Rebab (rebec), d’un Naï ( flûte oblique), d’un Tar (disque à membrane pourvu de cymbalettes) et d’une Darabouka ( tambour à membrane en forme de cruche). Il existe 24 noubas différentes

partir, et le pot de fer tente de le convaincre de venir avec lui. La troisième partie est constituée d’une série de vers au présent de narration, ce qui rend le récit (qui tend déjà vers la fin) plus vivant. Il y a ainsi une nette accélération du rythme ; l’effet dramatique est renforcé, le pot de terre clopinant vers son destin. Cette petite excursion est racontée en heptasyllabes. Ce vers impair se prête bien au récit de la progression sur trois pieds des pots : Pot de fer son camarade Se met