Rythme

souffrance, du courage, de l'espoir, de l'injustice. Utilisation d'un rythme destiné à rendre le message mémorisable et à lui conférer une force de persuasion (jeux sur les sonorités, refrain, répétitions de mots, etc.). En vers réguliers ou en vers libres, les rythmes et les sonorités renforcent la portée des textes. Les poètes s'appuient sur la musicalité qui prend parfois des accents lyriques, ou bien ils cassent le rythme pour choquer le lecteur, pour mettre en valeur des idées. Emploi de nombreuses

plus s’il on a affaire à une cour ou à une basse-cour. Ils circulent avec une solennité « v. 1-2 » . Le rythme des deux prmiers vers, souligné par la répétition de « grave » et d’un enjambement, reconstitue une démarche mécanique étudiée, renforcé par les termes « balancer » et « répondre de la tête » qui peut-être comparé au regard et au sérieux d’une volaille. Ces créatures parlent avec un rythme ternaire « Meser non », « Meser si ». On pourrait apparenter ce vocabulaire à un paon. Le rire est

Anaphores v. 1, 6, 11, 23, etc. / v. 25-28 / et 32, 33, 34, 35v. 25-28 : il aime ceux qui s’aiment. C’est une autre conception de l’amour. v. 32-35 : le poète ne s’intéresse pas qu’au visage de B., mais aussi à tout ce qui se passe autour. Elle rythme le poème, sépare les différentes parties : on croit au départ qu’il la connaît et qu’ils s’aiment ; on apprend progresssivement qu’il ne l’a vue qu’une fois et ne lui a pas parlé.On découvre aux vers 24 à 28 que le poète ne connaissait pas Barbara

ensorcelante, charmeuse. Les chant des ces créatures et leurs formules magique ressemble par quelques aspects à la poésie : les rythmes, les rimes... C'est pourquoi elles font penser au pouvoir ensorcelant de la voix du poète. 2- Inventer un rythme nouveau. Apollinaire a supprimé toute la ponctuation des vers car pour lui le rythme des mots et la forme du vers suffisent à rythmer le poème. Dans le « Pont Mirabeau », v.3 « Faut-il qu'il m'en souvienne », si ce vers était ponctué, on retrouverait un

vraies au moment où Desnos écrit ces vers. b) Ces deux temps verbaux sont associés aux champs lexicaux de la violence et celui de la nature et du temps qui passe (« rythme, saisons, heures du jour et de la nuit ») c) Dans la première phrase, « bat ; combat ; bataille » appartiennent à la même famille. La reprise du son « ba » crée un rythme haché, heurté, comme celui d'un champ de guerre. Cette répétition a pour effet d'insister sur l'idée de violence. d) Nous apprenons dans ces premières lignes que



d) Fuite du temps Vers 9 :
- La répétition du "temps s'en va" et utilisation de monosyllabes donnent l'impression que l'écoulement du temps est rapide. La décroissance du rythme (4/4/2)  montre que cet écoulement est de plus en plus rapide.
- Le temps est fluidifié par les sifflantes et les assonances [en] et [a].
- Le rythme est coupé par des virgules qui apparaissent comme des silences inquiets de la prise de conscience de la mort, par l'homme.
- L'emploi du présent fait de ce constat une réalité

d’acquérir des automatismes et surtout repérer les difficultés éventuelles de la chanson comme par exemple des difficultés liées à la mélodie, au rythme ou au texte (articulation, mots de vocabulaire etc). La chanson « j’habite une maison citrouille » ne présente pas de difficultés particulières mais demande une bonne articulation et d’avoir conscience du rythme qui est binaire, ce qui est plus simple et l’ambitus est assez réduit. Par la suite, il faut préparer la mise en œuvre et le déroulement des

planning vous imposera donc un rythme, que vous choisirez vous-même, mais un rythme tout de même, que vous suivrez plus facilement que si vous n'aviez rien prévu. Cela permet une régularité qui est indispensable à une bonne progression et une bonne assimilation de toutes les connaissances que vous devrez "ingurgiter". Vous devez vous fixer un planning objectif qui ne soit pas trop contraignant mais bien adapté à votre capacité de travail. Ne vous imposez pas un rythme effréné qui ne durera qu'une

Le travail sur le rythme. *Permet d'insister sur le caractère oral du poème qui doit frapper les esprits par sa ligne mélodique Anaphore « sur » crée un rythme régulier sur tout le poème 20 strophes avec la même structure => Anaphore x3 & dernier vers:refrain qui crée un parallèle possible avec la poésie d'amour le texte se termine par le mot chef , ce qui traduit l'évidence dernière strophe : 5 vers , pas d'anaphore donc rupture de rythme => chute qui renforce

début. Il condamne le comportement des adultes (gâter, incivilité, barbarie). Suit ensuite une phrase sur rythme ternaire. Condamnation de la sagesse française qui est dénaturée. Il termine en se servant de deux exemples concrets et personnelles (oui et entendre avec dans le1, le fait que cet exemple a été constaté par plusieurs personnes. En outre, ces constatations sont construites sur un rythme ternaire et des termes très péjoratifs( abrutis ) et un caractère catégorique. L'attaque contre les