Récits Fictifs

c’est-à-dire qu’il en est le " Dieu créateur". Georges Semprun dans « L’écriture ou la vie » dit avec beaucoup d’humour que s’il veut suspendre les gestes et les paroles de son personnage, il peut le faire; et comme pour illustrer ses paroles, il arrête son récit, " pétrifie " son personnage le temps d’une digression, et reprend le cours de l’histoire quelques pages plus loin. Cela montre clairement qu’un roman est une pure fabrication, une " machine inventée par l’homme " affirme même Aragon. Mais pourquoi

"L'apologue est-il simplement divertissant ou peut-il éveiller la réflexion du lecteur ?". Extraits [...] Le récit est d’autant plus important que c’est lui qui rend la morale accessible au lecteur, jeune ou adulte, intellectuel ou non. C’est par exemple le cas des fables destinées aux enfants et appréciées des adultes et de certaines œuvres comme Le Petit Prince. C’est également le récit qui permet à l’auteur d’instaurer une complicité, une connivence avec le lecteur qu’il assiste ou aide à comprendre

d’un sujet donner selon le point de vue du narrateur ) Apologue ( court récit comportant une morale ) Prolongement du récit du Voyage de Bougainville Texte qui repose sur l’enchâssement ( ou mise en abyme = récit à l’intérieur du récit ) Texte cadre Dialogue entre A et B au début et à la fin essentiellement En Occident deux hommes des lumières s’intéressent à des questions philosophiques Lecture d’un livre fictif qui justifie les trois enchâssement Textes encadrés Discours du

Les Fable et les Fabliaux Les Fabliaux : Les fabliaux sont de courts récits, qui commencent souvent par une phrase d'introduction du narrateur et se terminent par une morale. Même s'ils comportent une visée morale, celle-ci n'est souvent qu'un prétexte. Les fabliaux visent la plupart du temps surtout à faire rire. Pour cela, ils recourent à plusieurs formes de comiques : comique de gestes: coups de bâton, chutes… comique de mots: répétitions, patois, jeu de mot, expression à double sens,

Distinguer l’histoire (diégèse), le récit et la narration. diégèse : enchaînement, usuel : histoire entre un début et une fin = une histoire. *historique : qui se refère aux faits du passé ; histoire au sens de diégèse (enchaîne) : diégétique. Une suite d'événement enchaîné dans le temps, chronologie entre un début et une fin : une histoire. • Une histoire c’est le contenu narratif, le premier niv de lecture, le sens du texte ; une histoire c’est déjà qqchose de travaillé, d’organisé, sélectionné

externes Le texte romanesque[modifier] De manière synthétique et générale, on peut dire que le texte romanesque est un récit de taille très variable, mais assez long, aujourd'hui en prose, qui a pour objet la relation de situations et de faits présentés comme relevant de l'invention, même si l'auteur recherche souvent un effet de réel, ce qui le distingue du simple récit-transcription (biographie, autobiographie, témoignage...), mais aussi du conte, qui relève du merveilleux. La diversité des

d’enrichissement intellectuel & culturel mais surtout, la littérature sert à distraire et faire vivre au lecteur des aventures incroyables. Cette dernière fonction est clairement visible dans le conte qui est un récit de faits ou aventures imaginaires. A l’origine, le conte est un récit raconté à l’oral mais depuis la Renaissance, il fait l’objet de réécritures, devenant au fil des siècles un genre écrit à part entière. On réduit souvent le conte littéraire au conte merveilleux mais il existe cependant

variable. De ce fait le choix de ce discours peut privilégier une attitude directe par l’implication du locuteur voire même celle de l’interlocuteur. Demeure toute foie la possibilité d’adopter une argumentation indirecte par le biais d’un apologue un récit image qui tout en distrayant l interlocuteur est porteur d’idées et de valeur nouvelle. La question qui se pose étant de savoir si l’argumentation indirecte est la stratégie la plus efficace pour défendre une idée. Nous décentrerons dans un premier

Comment composer un scénario ? Élaborer un récit Imaginer un récit de base (intrigue, personnages, espace, temps) et dessiner grossièrement un premier synopsis, fixer l'importance relative des différents moments du récit.  Rechercher dans l'histoire des moments forts qui donneront lieu à des scènes. Les insérer dans des lieux réels ou fictifs qui renforceront l'effet recherché. Développer les caractéristiques des personnages (corpulence, langage, allure, vêtements…) pour faire apparaître visuellement

autre monde, loin de la réalité. Les écrivains qui constamment cherchent à éveiller la conscience des lecteurs l’ont bien compris et n’ont donc pas hésité à exploité ces envies pour faire passer des messages à travers leurs récits. Ils inventent dès lors des personnages fictifs, des sociétés sorties de leur imagination : ce qui correspond d’ailleurs à la définition même de la fiction. Mais les fictions remplissent-elles bien le rôle attendu par les auteurs auprès des lecteurs ? Ont-ils intérêt à