Réflexions Sur L éducation Kant

indépendamment s’il y a pas une forme de régulation des idées / les idées régulatrices : KANT. (Quand on est face à une opposition entre l’idée , ce qu’on aimerai faire et la réalité, ici entre l’idée d’une justice qui se confondrait avec la morale et les lois qui disent le juste c’est le légal. Kant : a force de travailler de concert a se rapprocher de nos idées, on arrive à se rapprocher d’une forme de réalité. * Kant , idées régulatrices. Force et de constaté qu’a priori ce sentiment de justice

condition de savoir que la liberté réside dans la volonté intérieure et non dans le corps. Plus généralement, l’action libre peut être considérée comme étant celle qui suit un processus qui implique notamment la réflexion et la délibération. Effectivement, l'homme a recours à la réflexion, car chaque fait et geste qu'il accompli est réfléchi et délibéré. C'est pourquoi il est totalement maître de ses actes. Habituellement la liberté est la capacité d’agir sans contrainte, ou encore comme la possibilité

instruite au petit en mettant en place un système de punition. Ainsi l’enfant apprend qu’est ce qu’il doit faire , qu’est ce qu’il peut faire et qu’est ce qu’il ne doit pas faire afin de respecter diverses choses et d’être obéissant. Lors de cette éducation l’adulte apprend à l’enfant dès son plus jeune âge que le devoir d’accomplir ou de ne pas accomplir une tache est obligatoire et que cela est imposé, ca ne pourra pas être autrement. Freund (1856-1939) explique que ce devoir est intériorisé grâce

suivante : « Qu’est-ce alors qu’une peine juste ? ». Nous tenterons d’y répondre à travers 3 parties. La première consistera à présenter les deux grandes polarités de la réflexion sur la justice pénale. La deuxième mettra en lumière certaines incohérences des théories classiques et analysera l’apport de Kant et Rawls dans la réflexion sur une théorie démocratique de la peine. Enfin, dans la troisième partie, nous montrerons que la vraie question n’est pas de savoir qu’est-ce qu’une peine juste mais

expérience : « Que le monde est mauvais, c’est là une plainte aussi ancienne que l’histoire et même que la poésie. » (Kant, La religion dans les limites de la simple raison). Le mal se présente sous la forme d’une expérience évidente. Mais il faut aller plus loin. Il se présente d’abord sous la forme du mal subi, du mal commis avant même de dire que le mal est d’abord « ce qui fait mal » (Kant). La question du mal est un défi que le monde lance à la philosophie. Si la philosophie peut être définie comme

leurs désirs et ignorants des causes qui les déterminent. » * Rousseau: “La liberté est obéissance à la loi qu’on s’est prescrite“. * Kant: « Les Lumières c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle est l’incapacité à se servir de son entendement sans la conduite d’un autre. » * Kant: « Tu dois, donc tu peux. » * Sartre: « Je choisis non mon être, mais manière d’être. » Descartes, « L’indifférence est le plus bas

poussant à croire qu’elle s’éloignait de la barbarie. Si tel était le cas, n’est-ce pas cette civilisation occidentale qui aurait commis les actes dignes des plus barbares durant la seconde guerre mondiale ? C’est pourtant les Allemands qui ont engendrés Kant, mais n’ont-ils pas refusé la théorie de « race supérieure » ? Les crimes commis furent tout de même prémédité par la gestapo. C’est un des exemples du sommet de la préméditation de la barbarie, entraîné par un problème culturel. Dans le monde,

confiance en la loi, induite par la réflexion préalable à sa promulgation. Par exemple, un décret sur l'environnement et le tri sélectif qui a fait l'objet de discutions et de négociations entre ceux qui ont le pouvoir de créer la loi est considéré comme valable, comme juste par les citoyens. Cela est en partie du au fait que le décret provienne des hommes choisis pour incarner et inventer la loi. Les hommes au pouvoir, de par leur rang social, leur éducation et leurs connaissances sont respectés

société influe sur l’aspect de cette individu, sont comportement, sa façon de penser, et même sa manière d’être. En particulier, l’enfant n’a pas le choix de ses parents qui seront ses instructeurs, ses modèles, Il ne choisit donc pas sa propre éducation. Dans un autre ordre d’idées, un homme naissant dans un peuple indigène, ou sous développé, tel que tarzan va naturellement se comporter différemment d’un parisien. De même, il y a 100 ans tout les enfants en France devaient être baptisés dans la

première formation. N'est ce pas par contact et immersion dans la société? En fait dès notre naissance on vit en contact avec tout ce qui nous entoure – la nature, les autres hommes, la société. Cette dernière joue un rôle primordiale dans notre éducation culturelle et traditionnel. En effet par la participation à cette dernière que nous commenceons à imiter certaines actions. Et là il n'y a pas seulement nos cinq sens qui sont en jeu, mais aussi notre affection. Parce que c'est elle qui nous guide