Réquisitoire Contre La Peine De Mort

une période de mouvement aboutissant à une crise violente qui anéantit un système politique et social, et instaure un ordre nouveau. I-Origines A-Le contexte historique Le règne de louis XIV avait marqué l’apogée de la monarchie française. A sa mort, le 1er septembre 1715, le duc d’Orléans, adulte de la famille royale le plus proche du roi, devient le régent du royaume. Un vent d'irrespect, de frivolité, de fantaisie va alors souffler sur les courtisans : les « roués » (hommes cyniques et séducteurs)

souligne l’absurdité de cette conséquence injuste. On met aussi en avant le manque du courage, la lâcheté.  « on n’osa trop approfondir » Vocabulaire religieux, antithèse entre « saints »  « querelleurs ». Negat* de restriction «  rien que la mort … » crée un décalage entre la force du châtiment et la faiblesse du crime. Rapidité marque par l’hémistiche « on le lui fit bien voir » Le jugement est conditionne par la classe social et par la maitrise de la force et de la parole. « selon que

acclamation, dirigé par le comte. Pour les causes graves il y a le tribunal de Paris avec les grands du royaume et le Roi. Jugement de Dieu a la base du procès pénal, les ordalies qui est un mode de preuve qui est physique : ordalies bilatérale (duel a mort), ordalies du fer rouge, gave de pain et fromage ou rivière froide C’est à l’accusé de faire preuve de son innocence, la preuve etait importante avec le jugement et l’appel Apres le XIIème siècle : Procédure plus logique Différentes juridictions :

(Grèce) (-480 ; -406) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il naquit à Salamine vers 485. Le peu que l’on sait de ses origines, de sa vie et de sa mort repose sur des légendes souvent malveillantes qu'il faut prendre avec circonspection car il fut la cible privilégiée des poètes comiques. Il est assuré cependant que sa famille était assez aisée pour lui avoir fait donner une éducation conforme à

immobile. * Un début → suspens, phénomène d’attente : « La Peste » est sujet de la phrase et le thème majeur n’est évoqué qu’au vers 4 + mot «Mal» répété et mis en opposition vers 1 et 2. Sujet dramatique avec différents champs lexicaux de la mort, de l’horreur… + allitérations en « r » au début → idée de fracas, de violence. * Côté effroyable renforcé par un ensemble de tournures négatives (vers 7-8-10-11-14…) → Désespérance, désolation, vide, disparition = conséquences de la Peste.

Julien avec Mme de Rénal ( lecture )· Problématique : Nous nous demanderons en quoi cette scène renverse le topos de la 1ere nuit d’amour grâce à l’ironie du narrateur ?· Plan :. Mouvement 1 : Les émotions négatives de Julien prennent le contre pied du topos traditionnel de la première nuit d’amour. Mouvement 2 : La souffrance de Julien rapporté de manière comique par le narrateur. Mouvement 3 : Le retournement de situation qui atténue l’ironie du narrateur· · Mouvement 1 : « comme le chant

Un Roi n’a que des « sujets », pas d’amis. Le ton est hypocrite, le roi reste maître en son Conseil. Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Au sens actuel de catastrophe. La fortune était le destin, bon ou mauvais. « Faire contre mauvaise fortune, bon cœur », faire preuve de courage dans l’adversité. Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune. Courroux = colère divine. Traits = flèches envoyées par les Dieux de l’Olympe. (cf. Artémis/Diane…Zeus…)

famille dominée par la toute-puissante grand-mère, Antoinette, qui ouvre et ferme l'histoire, boucle les saisons. Maîtresse femme tenant plus du garde-chiourme que de la bonne maman, elle, qui «chérissait trop orgueilleusement sa peine pour vouloir en finir», chez qui la mort est aussi présente que la vie, et pour qui amour, passion, luxure sont mêlés en un embrouillamini inextricable, régente en majordome tout ce petit monde fourmillant de cloportes inquiétants ; elle représente la tradition, le giron

voulu populariser sous cette innocente et candide forme littéraire. Il déclare donc, ou plutôt il avoue hautement que Le Dernier Jour d'un Condamné n'est autre chose qu'un plaidoyer, direct ou indirect, comme on voudra, pour l'abolition de la peine de mort. Ce qu'il a eu dessein de faire, ce qu'il voudrait que la postérité vît dans son oeuvre, si jamais elle s'occupe de si peu, ce n'est pas la défense spéciale, et toujours facile, et toujours transitoire, de tel ou tel criminel choisi, de tel

intellectuelle et compose quelques grandes pièces de son œuvre : contes philosophiques (Candide 1759 – L'ingénu 1967 ) et textes philosophiques (Poème sur le désastre de Lisbonne 1756 – Traité sur la tolérance 1763). Voltaire engage aussi sa grande croisade contre les injustices et le fanatisme religieux, symbolisée par l'un de ses mots d'ordre : «Écrasons l'infâme». Il prend la défense de Calas, de Sirven et donne naissance à la figure de l'intellectuel engagé. Composite, l'œuvre de Voltaire mêle des textes