Résumé Court De Dom Juan

(1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Contrairement à

Raphaël de Valentin, héros romantique Introduction Raphaël, c’est Dom Juan défiant Dieu par son insolent athéisme. Comme Dom Juan, Raphaël se moque du message d’amour évangélique. Comme Dom Juan, il s’adonne sans remords au vice, il savoure les vertiges et les ivresses de la débauche. Jamais, même aux pires moments de désespoir, la moindre prière ne sortira de sa bouche. Et c’est en accomplissant un ultime désir sexuel qu’il affrontera la mort sans crainte de quelque vengeance divine. Raphaël

choisir au moins un livre par genre littéraire proposé. Quels sont les intérêts de ces lectures ? Ces œuvres, plaisantes et faciles à lire pour la plupart, peuvent être empruntées en bibliothèque ou se trouvent en librairie. La lecture d’ouvrages, même courts, est bénéfique : –pour s’habituer à lire sans peine, car vous devrez lire au moins six œuvres en classe de première. –pour se familiariser avec une expression écrite correcte, acquérir des automatismes d’écriture et ainsi progresser en vocabulaire

l’équipe dramatique.  Les acteurs sont désignés par les termes suivants : « une amante affligée » (6), « une troupe de gens qui sont en haut sur le théâtre » (10). C’est le public qui représente la troupe théâtrale. L’ambiguïté du terme « comédie » (18) résume le passage fondé sur une inversion complète du regard. Le comique du renversement des rôles joue sur l’allusion : « les princesses qui y règnent ne sont point cruelles » (20) fait allusion aux mœurs réputées légères des actrices de tragédies, l’implicite

il devient « Molière ». Mais ses tragédies sont des échecs. En 1645, c’est la faillite. Il fonde avec Madeleine une nouvelle troupe qui tourne en province pendant treize ans. Leurs farces remportent de grands succès. En 1658, la troupe regagne Paris. Son Dom Juan (1665) provoque un nouveau scandale. Le Misanthrope (1666) reçoit un accueil mitigé. Entre 1668 et 1670, l'Avare, Tartuffe et le Bourgeois gentilhomme sont des triomphes. Le Misanthrope est une comédie de caractère et une satire de la société. Mort

l’équipe dramatique.  Les acteurs sont désignés par les termes suivants : « une amante affligée » (6), « une troupe de gens qui sont en haut sur le théâtre » (10). C’est le public qui représente la troupe théâtrale. L’ambiguïté du terme « comédie » (18) résume le passage fondé sur une inversion complète du regard. Le comique du renversement des rôles joue sur l’allusion : « les princesses qui y règnent ne sont point cruelles » (20) fait allusion aux mœurs réputées légères des actrices de tragédies, l’implicite

Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Contrairement

de la farce. Le personnage principal est emprunté à l’univers de la farce, le nom de Tartuffe fait référence au corps : étymologiquement, il désigne tantôt une tumeur, une excroissance qui ne cesse de grossir pendant cinq actes (la farce est plus courte), un parasite[3] qui veut tout manger ( la nourriture, l’argent et la femme) et tantôt une truffe, un aliment lui-même. A cet univers de la farce s’ajoute l’influence de la commedia dell’arte : si l’esthétique classique a tendance à effacer son

Plus vraisemblable, cette exposition permet de nouer une intrigue entre les personnages secondaires, en contrepoint de l'action principale. Sganarelle : Eh! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est Don Juan. (Molière, Dom Juan, Acte I, scène 1,1665)   Loin de s'en tenir à un rôle fonctionnel, l'importance de Sganarelle s'affirmera cependant de plus en plus tout au long de la pièce.   V- Le dialogue entre deux héros : Qu'ils s'affrontent ou se déclarent leur

RÉSUMÉ Au XVIIe siècle, les règles du théâtre se précisent : c'est ainsi que le théâtre classique est théorisé. Les principaux dramaturges classiques (Racine, Corneille, etc.), fascinés par la dramaturgie antique, puisent leur inspiration chez des auteurs de la Grèce antique. I. La comédie au XVIIe siecle A L'histoire littéraire de la comédie 1 La commedia dell'arte Bien que ce ne soit pas la première forme de comédie (on en trouve déjà durant l'antiquité grecque avec Plaute et Aristophane)