Résumé De La Parure

Lettres Persanes, Montesquieu, dans la lettre 99 sur les caprices de la mode, dit : « les Français changent de mœurs selon l’âge de leur roi. » et « les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d’élargir les portes, selon que les parures des femmes exigeaient d’eux ce changement, et les règles de leur art ont été asservies à ces caprices. » Dans ce texte, ce philosophe des Lumières critique l’inconstance de la mode mais également celle des mœurs des Français. Ainsi, il montre que

traite en particulier du thème de la domination masculine, selon les termes de l'auteur, ou si l'on préfère des formes de la valence différentielle des sexes propres à cette société. C'est principalement cette thématique qui sera présentée dans ce résumé. La société Baruya Les Baruya sont environ 2000, ils vivent dans des zones forestières en altitude en Nouvelle Guinée. Ils font partie de groupes de tribus en guerre perpétuelle. Ils ont opposé une résistance armée aux expéditions australiennes

yeux cernés de noir, les cheveux ébène. Les gothiques ne sont pas franchement appréciés dans la rue mais suscitent néanmoins une certaine fascination. . Les Racailles_ Filles ou garçons, ce qu'ils aiment se sont les embrouilles. Leur quotidien se résume à enfiler leurs survêtements, mettre la casquette, les chaussures dernier cri, la banane Lacoste, le jogging dans les chaussettes et aller rejoindre leurs potes dans le hall HLM voisin. Ils sont reconnaissables par un accent presque incompréhensible

est grise ou blonde » : l’éros corbièrienC’est une érotique très singulière qu’il construit avec fierté. C’est la deuxième grand mouvement de l’œuvre. On peut lire l’œuvre comme une série de scénarios érotique. La poésie en générale se résume à l’amour. Au point que parfois elle est cantonné a ce thème unique. En choisissant cette thématique qui monopolise les poèmes du XIX° c’est une manière de renouvelle le langage poétique. // Lamartine, femme idéalisé, corps quasiment inexistant, elle

montre une prédilection très marquée pour le militaire, pour le soldat, et je crois que cette affection dérive non seulement des vertus et des qualités qui passent forcément de l’âme du guerrier dans son attitude et sur son visage, mais aussi de la parure voyante dont sa profession le revêt. M. Paul de Molènes a écrit quelques pages aussi charmantes que sensées, sur la coquetterie militaire et sur le sens moral de ces costumes étincelants dont tous les gouvernements se plaisent à habiller leurs troupes

RESUME – LE DEUXIEME SEXE SIMONE DE BEAUVOIR (1949) Le Deuxième Sexe est un essai écrit par Simone de Beauvoir sur la condition des femmes. Il se divise en deux tomes. Il est précédé d’une note indiquant que la situation qu’elle décrit, quand elle mentionne le mot « aujourd’hui », est celle de la parution du livre (1949). Tome 1 Introduction Beauvoir constate que les êtres humains sont divisés en deux catégories : l’homme et la femme. Elle pose une première différence fondamentale en affirmant

alors un rôle proche de celui qu'il tient chez les vivants, celui de nourriture. Autre fonction alimentaire pour l'animal : celle qu'il occupe dans la pratique du repas funéraire, geste qui conclut les funérailles. Certain os sont des éléments de parures en particulaire les dents perforés montées en collier. Enfin, noble tâche est celle qui consiste à accompagner le mort dans sa dernière demeure ; l'animal dans son rôle psychopompe est alors sacrifié lors du décès de celui qu'il doit guider dans l'au-delà

hommes ne sont pas le tout de l'humanité, faut-il en conclure qu'ils lui sont inutiles ? Faut-il ne reconnaître au génie qu'une sorte de valeur et d'intérêt esthétiques ? Faut-il, comme on fait trop souvent, le réduire à n'être qu'un ornement, une parure de luxe dont les sociétés sages feraient bien de se passer ? Ici nous ne sommes plus en présence d'un véritable système illustré par un grand nom. Mais nous avons affaire à toute sorte d'idées et de sentiments, qu'on ne formule guère en théories

noblesse n’est alors plus un titre, un statut, mais une qualité de son caractère, voire de son cœur. Elle offre un exemple vivant d’un caractère noble, en « se [montrant] supérieure à son mal. » (l. 6). Enfin, analysons plus précisément cette phrase qui résume la situation ce soir chez la Beauséant : « Nul désastre de cœur ne fut plus éclatant que ne l’était celui de Mme de Beauséant. » (l. 5). Comment ne pas entendre la phrase qui ouvre La Princesse de Clèves ? « La magnificence et la galanterie n’ont

montre une prédilection très marquée pour le militaire, pour le soldat, et je crois que cette affection dérive non seulement des vertus et des qualités qui passent forcément de l’âme du guerrier dans son attitude et sur son visage, mais aussi de la parure voyante dont sa profession le revêt. M. Paul de Molènes a écrit quelques pages aussi charmantes que sensées, sur la coquetterie militaire et sur le sens moral de ces costumes étincelants dont tous les gouvernements se plaisent à habiller leurs troupes