Résumé Des Paragraphes Du Léviathan

et que vous vous efforciez de les comprendre en y consacrant le temps nécessaire. Il s’agit d’abord – et c’est là l’objectif principal de cette étude – de vous mettre très concrètement, c’est-à-dire autrement que par l’intermédiaire d’un simple résumé de doctrine, toujours très approximatif, en contact direct avec une œuvre écrite par un grand philosophe et le cheminement original de sa pensée. La philosophie en effet, telle qu’elle fut inventée dans l’Antiquité grecque et telle qu’elle n’a cessé

manifester la volonté divine. L’Ordalie peut encore existé de nos jours. L’occupation perse, puis romaine on laisser subsister partiellement ce système car il le trouve cohérent notamment au niveau du droit public. SECTION 2 : la Mésopotamie Paragraphe 1 : L’évolution générale Mésopotamos : au milieu des 2 fleuves. Documentations très stables. Les docs les plus anciens remontés au 3ème millénaire. Le plus connu est l’Hammourabi. On appel cet ensemble de lois les droits cunéiformes (En forme

qui vont contester l'autorité du Roi catholique ( Comme F.HOTMAN)( Theorie de BEZE 1519-1605). Le roi ne doit plus son pouvoir à Dieu mais aux Hommes à qui il doit des comptes. B : L'origines de l'Etat chez les Hobbes En 1651, Hobbes publie le Leviathan (ouvrage) où il va s'interroger sur ce qu'on appelle l'état nature "L'homme est un loup pour l'Homme" => Insécurité permanente, l'Homme est Méchant. Lorsque les Hommes quittent l''état nature et accepte l'Etat c'est pour garantir leur sécurité. Pour

sociales et humaines, religieuses, politiques et philosophiques L’analyse « micro » : stratégies de traduction La traduction littérale Le résumé La suppression Supprimer ou transformer le style direct Couper les énumérations La compensation Adapter le texte au lecteur néerlandais La réécriture Changer le style L’intervention Les combinaisons Conséquences (résumé) 4 5 5 9 10 12 13 14 15 16 18 18 20 25 30 30 31 32 35 37 38 39 39 41 42 43 44 46 47 48 Conclusion Bibliographie Supplément 2 Introduction

père de l’école réaliste est le philosophe Thucydide. Deux grands philosophes sont également fondamentaux : Hobbes et Machiavel. Hobbes : L’Homme ne peut pas vivre en société, il faut fonder un système sur le droit. Il détourne le concept du Léviathan qui représente la construction de l’Etat. Il critique la position de l’Etat (à cause de la répression en Irlande). Il est choqué par l’instauration de la 1ère République anglaise qui se met en place autour d’une violence étatique. Machiavel

l’intellect pour l’homme « est réduit à un temps et à des lieux précis du monde, à des objets particuliers et à d’autres conditions semblable. » Il ajoute d’autres considérations sur ce sujet « notre vue suit les passions du corps et de l’âme » Il va résumer en quelque mot la vie de l’homme « ainsi on voit d’abord avec amour et joie, puis avec douleur et colère, d’abord comme un enfant, puis comme un homme, et enfin avec sérieux comme un vieillard » Notre vision du monde est conditionnée par nos situations

fonctionnant selon deux normes différentes mais complémentaires : la justice privée et la justice publique. La justice privée est rendue en dehors de l'État, c'est la médiation mais aussi la loi du Talion. Cette justice, la plus ancienne (voir le paragraphe historique) est à l'origine du droit privé que l'on pourrait qualifier de « droit des individus ». La justice y est ici une « affaire privée », un conflit entre particuliers. C'est selon l'adage juridique latin : « Justicia est voluntas suum quique

n’offre pas la possibilité d’une liberté politique. De même encore, la durée qui ne peut être en christianisme celle relative aux affaires publiques, tant le monde, selon Arendt, est déprécié au profit de l’attente eschatologique. Enfin, dans un long paragraphe qui précède celui sur « le caractère non politique, non public, de la communauté chrétienne », la charité comme autre principe de cohésion, que la philosophe reconnait unique en son genre dans l’histoire : L’Histoire ne nous fait connaître qu’un

toutes les autres et qui amènent les hommes à s’accorder pour se concerter. Cette passion est la peur de la mort, la crainte de la mort violente. Cette peur de la mort doit être suscité par un pouvoir absolu, pouvoir de donner la mort (pouvoir du Léviathan). On ne sort cependant pas du cadre passionnel, on ne fait que faire jouer les passions entre elles. Avec l’avènement du capitalisme, un autre type de réponse apparaît et s’organise autour du « paradigme de l’intérêt » (Hirschmann). Il s’agit de

structure pluraliste. PARTIE 1 : LE POUVOIR Il faut constater que dans toutes les sociétés se manifestent un pouvoir et celui-ci connait un certain nb de limites misent en place pour protéger les citoyens CHAPITRE 1 : l’existence du pouvoir Paragraphe 1 : Permanence du pouvoir dans les sociétés : A) La présence constante du pouvoir dans tous les groupes humains Le phénomène du pouvoir apparait dans toutes les sociétés humaines, il existe par contre une différence d’approche suivant les philosophes