Résumé Les Confessions Livre 1 à 4

Voltaire , de son vrai nom François-marie Arouet Le Jeune est né en 1694 à paris ,son père est notaire et conseiller du roi et sa mère meurt alors qu'il est seulement âgé de 7 ans . Il étudie chez les jésuites la rhétorique et la philosophie , puis il a étudié à la faculté de droit de Paris. C'est un écrivain , dramaturge , poète et historien . A 23 ans il compose des écrits satiriques qui le conduisent à la Bastille pour 11 mois. C'est à ce moment la qu'il prend le surnom de Voltaire. Il s'exile en Angleterre

l'ouvrage.p 24 Discographie.p 25 Résumer de l'ouvrage.p 25-26 Analyse et commentaire personnel p 26-27 Citationp 27 VII. Tablep 28 Bibliographie Ouvrages.p 29 Documents électroniques.p 29 Site internet.p 29 Film.p 29 Analyse d'entretiens Présentation/Introductionp 31 Analyse croisé des entretiensp 31-32 Conclusion p 32 ANNEXES Entretien avec un usager Guide d'entretien pour usagerp 1-2 Retranscription de l'entretien avec

1 | P a g e Tables des Matières 1. Jésus est-il réellement le seul chemin vers le ciel ? 2. Comment définir une secte ? 3. Quelle est la meilleure manière d’évangéliser un membre d’une secte ou d’une fausse religion ? 4. Comment reconnaître un faux enseignant / prophète ? 5. Qui sont les témoins de Jéhovah et quelles sont leurs croyances ? 6. Le mormonisme est-il une secte ? Que croient les Mormons ? 7. Les chrétiens doivent-ils tolérer la religion des autres ? 8. Qu’est-ce que le bouddhisme

L’Ingénu (1767) de Voltaire (1694-1778) Résumé par chapitre : 1 : A Saint-Malo, St DUNSTAN ( Irlandais) fonde un prieuré. Il vit avec sa sœur Melle KERKABON, elle a 45 ans. Le 15 / 07 / 1689, ils rencontrent un Huron et décident de l'héberger. Il se nomme L' INGENU parce que, confie-t-il " je dis toujours naïvement ce que je pense." 2 : Il s'avère que le Huron est le neveu de St Dunstan ( son frère était parti avec sa femme au Canada où ils ont péri.) 3 : L'Ingénu apprend par cœur le " Nouveau

Hygiène de l’assassin d’Amélie Nothomb (1992 ) 1 ) Présentation de l’oeuvre Cette histoire se passe au début de la guerre du golfe, en mi-janvier 1990. Un écrivain octogénaire appelé Pretextat Tach, auteur de vingt-deux romans et prix Nobel, est sur le point de mourir d’un cancer des cartilages, le syndrome d’Elzenveiverplatz. Les journalistes du monde entiers voudraient lui soutirer une interview. Il en choisira seulement cinq. Ce vieillard va se révélait être un

Médecin, il fut aussi, sous ce pseudonyme, romancier et nouvelliste :www.comptoirlitteraire.comAndré Durand présente ‘ ’La confession d’un enfant du siècle’’(1836)roman d’Alfred de MUSSET (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 3) l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page 7) l’intérêt psychologique (page 11) l’intérêt philosophique (page 15)la destinée de l’œuvre (page

Maalouf Confessions d’un musulman de mauvaise fois, Slimane Benaissa 1 Après un certain nombre d’exercices visant à nous faire avancer dans l’univers de la communication, on aurait pu penser que le concept nous paraisse désormais assez familier. Certes, il serait également faux de dire qu’il nous est totalement étranger. Néanmoins, il est indéniable que cet apprentissage se distille vraiment « au compte-gouttes ». Notamment, on s’aperçoit avec un peu de recul qu’on oublie vite ce que l’on a appris

1) Résumé de l’intrigue Manon Lescaut, parut en 1753, est en fait le 7ème tome des « Mémoires et Aventures d’un homme de qualité qui s’est retiré du monde » rédigées par l’abbé de Prévost et publiées entre 1728 et 1731. Le roman combine deux structures narratives. Il apparaît d’abord comme un récit mené à la première personne par « l’homme de qualité » du titre Renoncourt, auteur supposé des Mémoires. Cependant les interventions de celui-ci demeurent peu nombreuses, elles se cantonnent à un

novembre 354 à Thagaste (aujourd’hui Souk Ahras) et il est mort le 28 août 430 dans sa ville épiscopale d’Hippone (aujourd’hui Annaba, hier Bône) en Algérie. Pourtant ce personnage, de la fin de l’antiquité, est si attachant et son œuvre si imposante, qu’il convient plutôt de reconnaître que ces seize siècles nous unissent à lui, tant cette longue période garde l’empreinte de sa présence et du rayonnement de sa pensée. En effet, non seulement Saint Augustin a accompagné les

: « J’ai procédé » à l. 3265 « jamais… ».) Texte étudié : Il est bien difficile que la dissolution d'un ménage n'entraîne un peu de confusion dans la maison, et qu'il ne s'égare bien des choses: cependant, telle était la fidélité des domestiques et la vigilance de monsieur et madame Lorenzi, que rien ne se trouva de manque sur l'inventaire. La seule mademoiselle Pontal perdit un petit ruban couleur de rose et argent déjà vieux. Beaucoup d'autres meilleures choses, étaient à ma portée; ce ruban