Résumé Menon

interroge toujours. Particulièrement sur la vertu. La vertu, il est un concept très important dans ce dialogue car Socrate discutais avec Menon et Anytos qui est un politicien athénien très riche dans son âge. Quand la démocratie devenait un pouvoir très fort, les Sophistes qui sont maîtres de la rhétorique et de la vertu, ont apparu. Tandis que Menon demandait que la vertu fût enseignable, Socrate a lui répondu qu’il ne savait rien sur elle. De plus personne ne connaissait la vertu, selon

soit l'expression d'une révolte, d'un ressentiment plébéien. Nietzsche formule l'hypothèse que Socrate se vengeait des aristocrates qu'il parvenait à fasciner : la dialectique en effet réduit l'autre à l'impuissance (exemple de la torpille dans le Ménon), et laisse le soin à l'adversaire de prouver qu'il n'est pas un crétin. Mais il reste à expliquer comment Socrate a pu fasciner. En premier lieu, la dialectique a séduit l'instinct agonal des Grecs qui aimaient les joutes physiques et intellectuelles

produisent tous les biens. Mais elles ne veulent pas demeurer en place longtemps et s’enfuient de l’âme humaine, de sorte qu’elles n’ont pas une grande valeur tant que quelqu’un ne les a pas enchainées par un raisonnement sur leur cause. Et cela, mon cher, Ménon, c’est de la réminiscence, comme nous l’avons admis plus tôt. Et une fois qu’elles sont enchainées, elles deviennent d’abord du savoir et ensuite elles sont stables. C’est donc pourquoi le savoir est plus honoré que l’opinion droite, et c’est par un

de L’ETHIQUE que « l’opinion est sujette à l’erreur » dans la mesure où la diversité des opinions nous conduit à une multiplicité des formes telles que préjugés, superstitions et autres stéréotypes. En effet dans le MENON, Socrate et Ménon s’interrogent sur l’essence de la vertu. Ménon s’empresse de donner des réponses à la question qu’est ce que la vertu. Il dit ce qu’est la vertu de l’homme, de la femme, de l’esclave. Selon lui, il sait. Cependant en réalité il croit savoir. Ce savoir est celui

Dès le VI e siècle, la question de l’origine du mal et de ses responsables est bien là ce que prouve la maxime de Socrate reprise par Platon dans le Ménon : « Nul n’est méchant volontairement ». Cela signifierait que tout homme voire tout être acteur ne peut faire le mal volontairement en l’ayant décidé à partir de sa raison. Nous sommes en mesure de nous interroger sur l’interdépendance du mal et de l’ignorance. Rousseau, notamment dans la Profession de foi du vicaire savoyard, semble penser que

« Ménon » - Platon Explication de texte. Né à Athènes, Platon fut l’élève de Socrate. Célèbre philosophe du VIème siècle, il écrira ses dialogues en mettant Socrate en scène, s’entretenant avec des figures dominantes de la vie politique et intellectuelle d’Athènes. Parmi ses différentes œuvres nous retiendrons ici « Le Ménon », où la question de savoir si la vertu peut enseigner est posée. La vertu désigne la participation à la vraie connaissance (nul n'est méchant volontairement

Ménon Platon Traduction Victor Cousin Présentation © Wikipédia PhiloSophie septembre 2009 Table des matières Présentation .............................................................................. 3 Qu’est-ce que la vertu ? ............................................................... 3 Modèles de définition .................................................................. 5 Définition de la vertu ................................................................... 6 Socrate

La vertu s'enseigne-t-elle ? Encouragé à poursuivre la recherche, Ménon insiste cependant pour que l'on abandonne la recherche de l'essence de la vertu et que l'on passe à la question qu'il posait au tout début du dialogue : la vertu s'acquiert-elle par enseignement ou d'une autre manière ? Socrate accepte, bien que cette démarche ne lui semble pas correcte : comment savoir quelque chose de la vertu si l'on ne sait pas ce qu'est la vertu ? Il propose donc une nouvelle méthode : la méthode des hypothèses

expose l’immortalité de l’âme et leur cheminement après la mort. Un tel mythe est doté d’un intérêt philosophique considérable. D’abord il a une fonction gnoséologique ou épistémologique. Comme Socrate le fait aussi dans le Ménon, pour réhabiliter la connaissance qui d’après Ménon est inutile car, du fait de la mort à laquelle l’homme est destiné, il ne saurait que faire de ses connaissances. Socrate invente donc le mythe de l’immortalité de l’âme car si l’âme continue de vivre, elle aura nécessairement

fuir le mal du bien sans nécessairement être abstrait. Il suffit de mettre de l’emphase sur l’action. Pour conclure cette idée, je maintiens mon point sur le fait que la vertu ne peut s’enseigner tel qu’une matière concrète. Pour faire référence à Ménon (70a), la façon la plus simple d’expliquer ce questionnement, c’est qu’elle n’est pas inée et ne peut s’apprendre par le billet de la connaissance. On ne peut pas naître vertueux ni connaître en quoi consiste cette doctrine si on ne sait pas en quoi