Résumé Pension Bourgeoise

Elle allait grandir maintenant ; chaque saison, vite, amènerait un progrès. Il la voyait déjà revenant de l’école à la tombée du jour, toute rieuse, avec sa brassière tachée d’encre, et portant au bras son panier ; puis il faudrait la mettre en pension, cela coûterait beaucoup ; comment faire ? Alors il réfléchissait. Il pensait à louer une petite ferme aux environs, et qu’il surveillerait lui-même, tous les matins, en allant voir ses malades. Il en économiserait le revenu, il le placerait à la

Laure : il a repris tous les détails de ses notes, y compris le baiser à l’hôtesse, qui signale la tendance à l’homosexualité féminine. Satin : est une adorable fillette de 18 ans. Elle est née dans le quartier de la Goutte d’Or et a connu Nana en pension. Satin est une très belle fille, blonde cendrée presque comme Nana, une figure de vierge, au sourire angoleur, aux yeux noyés, rêveurs, d’un velours et d’une douceur extraordinaires. Elle va régulièrement chez Laure. Elle mène une vie sale et désordonnée

d’Orléans, devenu Louis-Philippe Ier. Il s’agit d’une monarchie parlementaire, le drapeau tricolore est l’emblème national et le catholicisme n’est plus la religion d’Etat. La période qui suit permet les débuts de la révolution industrielle. * Résumé Louise de Chaulieu et Renée de Maucombe ayant toutes deux « étudié » au couvent des Carmélites de Blois, vont suivre des destinées contraires mais vont tout de même rester proches l’une de l’autre par lettres interposées. Louise, pour obéir à ses

de 13 ans. Aujourd’hui vendeuse de roses, il l’avait vue pour la première fois alors qu’elle se trouvait avec sa grand-mère. Ils se fréquentèrent mais jamais il ne put répondre à ses demandes, car celle-ci l’obligeaient à surmonter son éducation bourgeoise : « J’ai senti la crainte, à nouveau, non plus la solitude, ni le vide, mais la crainte d’être dérobé, de devenir un autre, de changer de destin. » 18 ans plus tard, dans un restaurant de luxe, il croise son regard, éveillant en lui tout les sentiments

le coût de la vie a augmenté et les salaires ont plus ou moins bien suivi. En juin 1920, un ouvrier métallurgiste chez Cockerill gagne 2,10 fr. par heure. A la fin de 1920, le chômeur doit se débrouiller avec 2,5 ou 3 fr. par jour. La réaction bourgeoise et patronale : la lutte contre les allocations de chômage Bien qu’il ne participe à l’élaboration du système de chômage d’après guerre et qu’il ne participe pas au financement du Fonds de crise, le patronat manifeste son hostilité. Selon lui, les

grève générale de 1920 contre de l’argent Histoire d’un mouvement de masse p.62 L’UNC décline au profit des associations de mutilés (l’UF domine). Processus d’unification. 1924 : cahier unique de revendications aux candidats  revalorisation des pensions (80%). Habitue les assoc. à collaborer. 1927 : Etats généraux de la France meurtrie, création de la Confédération nationale Rivalités au sein de la CN entre UNC et UF : 1929 soutien à Briand (guerre « hors la loi ») Election d’un secrétaire général

clientes : combien gagnent-elles ? Ces femmes sont immédiatement catégorisées selon leur revenu : «ouvrières, une maîtresse de musique, […] deux bourgeoises »[13]. Sont-elles libres ? Il note que les « deux bourgeoises [sont] mariées »[14]. La terrasse propose un échantillon de femmes à ne pas séduire car aucune n’est intéressante financièrement, y compris les bourgeoises qui viennent manger dans une « gargote à prix fixe »[15] donc soit elles ne sont pas suffisamment riches, soit elles dépensent peu. Ensuite

détail, ces accumulations, ce vocabulaire cru qui colle aux situations pour leur donner plus de vérité. Si Balzac n’est pas tout à fait romantique, nous pensons que son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale

beau-père lui prenait une partie de l'affection de sa mère. [...] Une seule personne a réellement compté dans la vie de Charles Baudelaire : sa mère4 » En 1831, le lieutenant-colonel Aupick ayant reçu une affectation à Lyon, Baudelaire est inscrit à la pension Delorme puis suit les cours de sixième au Collège royal de Lyon, en cinquième il devient interne. En janvier 1836, la famille revient à Paris où Aupick est promu colonel en avril. Baudelaire, alors âgé de quatorze ans, est inscrit au Collège Louis-le-Grand

Yougoslavie ou celle de Primo de Rivera, qui vient de s'abattre si peu glorieusement sur l'Espagne. C'est évident que la mise en œuvre de méthodes dictatoriales et répressives ne constitue pas l'unique trait caractéristique du fascisme. Nous essayerons de résumer, de façon concise, les causes et les particularités de ce mouvement. À notre avis, ses causes fondamentales sont les suivantes : 1. le désenchantement résultant de la guerre ; 2. les inconsistances des relations capitalistes et la nécessité