Rôle Des Didascalies

1 d’Hernani est-elle une scène d’exposition représentative du drame romantique ? 1. Une scène d’exposition informative, dynamique et accrochantea. Informative (qui, quand, ou, personnages)b. Dynamique ( entrée in medias res, beaucoup de didascalie→ bcp d’action, dialogue rythmé, répliques( → Don Carlos) à l'imperatif)c. Accrochante (dynamie, contenus de l’histoire)2. Une entrée en matière scandaleuse a. In medias res ( → «Serait-ce deja lui?»)

pour une amourette » (v6) / « Ordre de l'épouser. Je refuse. On m'exile ! » (v13) [notez la phrase nominale juxtaposée à deux phrases très brèves qui résument dans une formule condensée les événements passés : économie remarquable du récit] Les didascalies qui décrivent les costumes des personnages participent aussi à cette efficacité : d'emblée, le spectateur est à même de deviner le statut social des différents personnages (p. ex. « Toison d'or » / « riche manteau » / « épée » / « chapeau » : autant

Proposition de lecture analytique pour l'exposition de Ruy Blas (acte I, scène 1) ✔ La fonction d'une exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

une ouverture sur d’autres pièces dans le même esprit que Dom Juan. Le premier mouvement explique donc la place du surnaturel dans cet acte. On peut par exemple le voir à travers le Spectre, le Temps, la Statue ou encore la mort de Dom Juan.La didascalie et les hyperboles aux lignes 60-61 « le tonnerre tombe… il sort de grands feux » montre une mort spectaculaire de Dom Juan alors que normalement, dans une pièce, on ne doit retrouver ni le tonnerre, ni le feu. L’expression « un feu invisible me

I. DEFINITION DE LA MISE EN SCENE Le rôle du texte : Le texte de la pièce de théâtre est écrit pour être représenté, plusieurs éléments peuvent le monter : * le langage dramatique : la représentation est déjà inscrite dans le texte ; le texte de théâtre est constitué du discours des personnages et des didascalies ; les uns et les autres sont conçus pour faciliter au lecteur la compréhension des personnages, guider les acteurs et suggérer une mise en scène. * L’espace dramatique : de même

(« Eh bien ! montez cueillir cette fleur sans pareille… ») : Cyrano répète ensuite à quatre reprises l’impératif « Monte ! » qui est ici un ordre. * Le baiser proprement dit. Rien ne dit précisément dans le texte que le baiser a lieu, mais une didascalie indique que Christian « l’enlace et se penche sur ses lèvres ». Les deux répliques finales de Cyrano laissent également comprendre au lecteur que le baiser au lieu : le pincement au cœur est la douleur de voir Christian obtenir la récompense qu’il

pour rendre perceptibles toutes les Intentions de l'auteur qui peuvent échapper à la lecture : l'humour, l'ironie, la dérision, le dépit passent souvent par un geste ou une intonation de la voix qui éclairent ainsi le texte. Et puis, comme les didascalies paraissent pauvres, confrontées à la réalité du jeu théâtral l Les coups de bâton chez Molière, les coups de théâtre dans la tragédie, les quiproquos burlesques du théâtre de boulevard prennent tout leur intérêt quand on les voit effectivement joues

236 ainsi que la didascalie « épanoui » mettent en exergue l’assurance non négligeable de Cyrano qu’on pourrait presque qualifier de prétention. De plus, celui-ci semble reconnaître sa vraie valeur et n’use pas de fausse modestie. Les vers 215 et 257 « Je vous assomme tous » et «Vous avez dit la seule intelligente chose ! » soulignent, par le recours à l’exagération, la confiance de Cyrano en ce qui concerne ses capacités physiques et la haute valeur de son jugement. La didascalie du vers 263 qui

d'apparence classique Ionesco compose une pièce et une scène d’exposition qui respecte la plupart des conventions théâtrales dans l’organisation du texte (scène, nom des personnages, didascalies), dans les informations délivrées : la didascalie initiale présente le décor -> rôle traditionnel de cette didascalie qui ouvre le texte. Les personnages : présentés dans les dialogues : le nom, la situation familiale, le lieu, le contexte. Il y a ici un aspect très traditionnel : famille de trois enfants

Fin de Partie LA de la didascalie initiale I Place des didascalies dans la pièce Occupent 30 % du texte – indications de mise en scène et texte à part entière : Beckett considère que les didascalies doivent être respectées par le metteur en scène ; s’est souvent chargé lui-même de la mise en scène de ses pièces (Irène Lindon, fille de Jérôme Lindon ancien directeur des Editions de Minuit, chargée de veiller au respect du texte, qu’il s’agisse des didascalies comme des paroles des personnages)