Sacha Guitry

féminines. Ces citations en sont un exemple: « Il y a un principe bon qui a crée l’ordre, la lumière, et l’homme et un principe mauvais qui a crée le chaos, les ténèbres et les femmes » Pythagore « Si la femme était bonne dieu en aurait une » Sacha Guitry « La femme est naturelle, donc abominable » Baudelaire Il y a dans l’origine de cette inégalité homme-femme, une base très ancienne : la religion. Que ce soit la religion chrétienne, judaïque ou musulmane, il y a une différenciation de l’homme

la radio prennent de plus en plus d'importance au détriment de l'école et de la lecture. Quelques vedettes sont très populaires : Fernandel, Gabin, Piaf, Mistinguett, M. Chevalier, T. Rossi, Carné, Renoir. Au théâtre du boulevard, on applaudit Sacha Guitry. La comédie de moeurs est illustrée par M. Pagnol maître de l'exotisme provincial. La bande dessinée américaine se répand à côté des productions européennes : Tintin, les Pieds Nickelés, Bibi Fricotin, Bécassine. De 1940 à 1960 Les médias

des Insurgents et l’édition des œuvres de Voltaire furent les deux grandes fiertés de sa vie --------------------------------------- III – BEAUMARCHAIS EN IMAGES Edouard Molinaro, réalisateur, s’inspire de l’œuvre inédite de Sacha Guitry (comédien, dramaturge, metteur en scène de théâtre, réalisateur et scénariste de cinéma – 1885-1957) pour mettre en images la vie de Beaumarchais dans le film « Beaumarchais l’insolent » sorti en 1996 ; le rôle de Beaumarchais étant interprété

Chéreau…) qui met en partie en crise le texte de théâtre à la fin du siècle. La persistance du théâtre de boulevard, populaire, amusant et satirique est assurée par Jules Romains (Knock, 1928), Marcel Pagnol (Marius, 1929 - Topaze, 1933) puis par Sacha Guitry (Désiré, 1927 – Quadrille, 1937), Marcel Achard (Jean de la Lune, 1929) - Patate, 1954), André Roussin (Les Œufs de l'autruche, 1948) et d'autres, jusqu'à Agnès Jaoui /Jean-Pierre Bacri (Cuisine et dépendances, 1989) ou Yasmina Reza (Art, 1994)

Je fus un saint », initiant une œuvre littéraire truculente et engagée où le réalisme, la précision de l’observation sont vivifiés par un humour plein de verve, mordant et « bien envoyé » inspiré d’Alphonse Allais, Courteline, Pierre Dac ou Sacha Guitry comme de ses racines bourguignonnes. Chantre de la Bourgogne, de sa culture et de sa langue, il est aussi le témoin du monde des cheminots. En 1968 il s’installe définitivement à Commarin en Côte-d’Or et entreprend avec ses enfants la reconstruction

quelques célèbres créateurs : «comme d’autres esprits voguent sur la musique, le mien, ô mon amour ! Nage sur ton parfum» Baudelaire «la chevelure», les Fleurs du Mal ; «deux choses rendent inoubliables les femmes : leur larmes et leur parfums» Sacha Guitry ; «Le parfum n'est pas une marchandise, sa création est un acte d'amour. Il doit refléter l'âme de la femme qui le portera. » Robert Ricci ; «Une femme sans parfum est une femme sans avenir... » Coco Chanel et pour finir sur une touche d’humour

culture années 20CHAPITRE IX : LES « ANNÉES FOLLES » : CULTURE ET PRATIQUES SOCIALES DES ANNÉES VINGT Introduction : Retour de la paix et de la prospérité : contexte de relative détente Les changements qui affectent au lendemain du conflit les pratiques sociales et la culture du monde citadin ont un pouvoir de contagion qui donne aux années vingt leur tonalité optimiste et débridée. Entre la terrible guerre qui prit fin en 1918 et les années sombres de la crise et de la montée des périls

qu’il m’a fait peur! (Guitry). ( Sont-il bêtes quand même de faire tant de bruit! (Ikor). ( Là je ne peux pas l’éviter. C’est d’un bête, d’un trivial (Pinget). ( Cette petite est d’un mal élevé! (Marceau). ( Tu es d’une immense bêtise! (Bruno). ( Qu’est-ce qu’elle peut m’énerver avec son tricot (Foissy). ( Quel enfant vous êtes! (Mauriac). ( Comment que c’est grand chez vous! (Gérard). ( Je trouve ça d’un fade! (Marceau). ( Oh! Ce qu’il parle bien! (Guitry). ( Combien je suis heureux

Blistène : Madeleine 1948 : Neuf garçons, un cœur de Georges Friedland : Christine 1952 : Paris chante toujours de Pierre Montazel : Elle-même 1954 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge : Elle-même 1954 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry : Une fille du peuple qui chante Ah ! ça ira 1954 : French Cancan de Jean Renoir : Eugénie Buffet 1959 : Les Amants de demain de Marcel Blistène : Simone Ses grandes chansons … 1936 : Mon légionnaire, paroles de Raymond Asso et musique

populaire de Dédé, crée en 1921 aux Bouffes-Parisiensavec à nouveau Maurice Chevalier. Des compositeurs se révèlent talentueux comme le marseillais Vincent Scotto mais aussi Maurice Yvain (le compositeur de Mon homme) ainsi que des auteurs comme Sacha Guitry qui écrit le livret de l'Amour masqué. À l'Olympia, à Bobino où au théâtre de la Gaîté-Montparnasse, on retrouve Marie Dubas et Georgius qui inaugurent le Théâtre Chantant en mettant en scène diverses chansons populaires. Il y a aussi Damia surnommée