Saddam Hussein

de la superpuissance américaine. c / Un bilan de la guerre lourd. II / DE NOUVELLES CONFLICTUALITÉS DEPUIS LA FIN DE LA GUERRE FROIDE (1991 À NOS JOURS). A / LA GUERRE DU GOLFE (1990-1991) : LA FIN DU MONDE BIPOLAIRE ... a / L’Irak de Saddam Hussein : un état au cœur de la guerre fraiche. b / Une guerre dissymétrique et rapide. c / Les conséquences de la guerre du Golfe. B / ... QUI N’EFFACE PAS LES CONFLITS : LE DRAME YOUGOSLAVE A TRAVERS L’EXEMPLE DU SIEGE DE SARAJEVO (1992-1994). a

l’Irak dans sa guerre contre l’Iran. En effet,les saoudiens craignent une contamination de la révolte islamique chiite à la région du Hassa qui abrite les principaux puits de pétrole et qui est peuplé à majorité de chiites. Mais en 1991, lorsque Saddam Hussein a des visées sur le Koweït,l’Arabie Saoudite se sent menacée et en appelle à la protection américaine qui n’est pas longue à se déployer. Les Américains pourront ainsi installer pour la première fois malgré l’hostilité de la population des bases

d’Histoire 1) L'Irak de Saddam Hussein sort avec une industrie pétrolière exsangue et une dette pharaonique (150 % du Produit Intérieur Brut) de la longue et coûteuse guerre qui l'opposa à l'Iran. L'énorme diminution des exportations de pétrole de ces deux pays de l'OPEP est autant de bénéfices pour l'Arabie saoudite et le Koweït, auprès desquels l'Irak est respectivement endetté à hauteur de 45 milliards de dollars américains et de 15 milliards de dollars. Saddam Hussein exige des deux pays arabes

Bretagne, La France mais aussi les pays du golfe comme l’Arabie Saoudite. Ce premier conflit post-guerre froide est provoquée par l’agression du Koweït (qui détient 10% des réserves mondiales de pétrole) par l’Irak afin d’effacer ses dettes. Saddam Hussein, qui présidait le pays a l’époque, veux faire de l’Irak la puissance hégémonique du golfe persique et effacer ses dettes envers le Koweïti. Celui-ci lui avait prêté 10 a 15 millions de dollars pour sa guerre contre l’Iran, dans les années 1980

Koweït, la région du Golf Persique est une région qui depuis des années subit de multiples guerres. C’est exactement le 20 mars 2003, lors de l'invasion de l'Irak par les États-Unis, que la guerre est déclarée, une guerre contre le parti Baas de Saddam Hussein et le terrorisme. Après une mission échouée de l’ONU, qui était de comptabiliser le nombre d’armes du pays ainsi que de le désarmer, les États-Unis et le Royaume Uni s’unissent et déclarent la guerre contre l’Irak. Cette guerre a été débutée sans

il y a plus de 10 ans au paravent. Mais que voulez vous c'est une histoire de famille chez les bouches, le père n'a pas réussi alors le fils vas testé aussi mais si il n'arrive pas a avoir ben Laden dite moi comment ils peuvent réussir a avoir Saddam Hussein .Surtout qu'on se rappelé bien que ben Laden a réussi a échappé a des américains qui on a dis entrainé pour toute épreuves (armes piloté, le froid, warrior quoi) et Ben Laden lui s'échappe devant eux en moto, on se fou de qui la? mais revenons

déjà à plusieurs reprises notamment pendant la guerre du Kosovo ou celle de Corée. II. Le contexte historique Saddam Hussein président de l'Irak de 1979 à 2003. Son ascension fût rapide notamment grâce à l'aide de l'ancien président de l'Irak Ahmad Hassan al-Bakr (oncle par alliance) qui lui offre le poste de vice président du Bureau révolutionnaire a 31ans. Saddam Hussein élimine ces rivaux au fur et à mesure par des moyens plus que douteux, il devient vice président de la république en 1971

La guerre du Golfe 1. Contexte de la guerre du Golfe a. Du côté irakien En août 1990, Saddam Hussein envahit et annexe le Koweit, qu’il accuse de pomper illégalement le pétrole situé à cheval sur la frontière entre les deux pays. En réalité, son objectif est triple : •  financier : Le Koweit détient 122 milliards de capitaux investis en Occident qui rapportent énormément. Ceci ne peut qu’attirer un pays sorti exsangue de sa longue guerre contre l’Iran et qui s’est fortement endetté auprès

tous les moyens. Ceci pour servir, bien entendu, uniquement les intérêts de sont pays (« security first ») En 2003, il ordonne unilatéralement (sans l’approbation de ses alliés ni de l’ONU) l’intervention militaire en Irak contre le régime de Saddam Hussein, accusé de cacher des armes de destruction massives. Bush agit de façon exactement contraire à une fameuse phrase de Clinton « Unilatéraux quand on peut, multilatéraux quand il le faut » (en parlant des EU) Cette intervention,

ces minorités du chaos. Le retrait des troupes américaines devra prendre en compte la sécurité de ces groupes minoritaires qui étaient sous la protection américaine ces sept dernières années. Les minorités étrangères et les réfugiés acceptés par Saddam Hussein comme les Mujeheddins devront être protégé par le gouvernement iraquien. Le gouvernement est déjà contre l’idée de protéger ces groupes généralement sunnites. Avec peu de protection et de support, ces groupes seront laissé vulnérables à la violence