Sadisme

dialogue en répondant aux questions de Hamm par des monosyllabes ( « oui », « non ») ou par des réponses évasives. Le frappe avec le chien « tu me rends enragé, je suis enragé! »p.99 ( dimension comique Clov lui aussi semble faire preuve d’un certain sadisme : voir le gag filé du calmant. Après avoir répété à Hamm que ce n’était pas l’heure tout au long de la pièce, Clov lui annonce finalement qu’il « n’y a plus de calmant » ! III. Pourquoi cette comédie ? 1. Une obéissance qui semble absurde Clov

les dieux. Cela rappelle la malédiction qui pèse sur sa famille, comme le vers 11 le montre : « le feu fatal a tout mon sang ». Phèdre rejette d’ailleurs la faute sur les dieux par une anaphore « Les dieux » / « c’est dieux ». Elle évoque aussi le sadisme des dieux avec l’oxymore « gloire cruelle » (v12). Elle se voit donc comme la victime des dieux, comme l’ « objet infortuné de vengeances célestes » ; comme un « objet » entre leurs mains. De plus, pour mieux accuser les dieux, Phèdre énumère toutes

Tortures (Tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales sont intentionnellement infligées à une personne) Exorcisme (Pratique religieuse ayant pour but de chasser le démon qui a pris possession de quelqu'un.) Sadisme (Plaisir pris à faire souffrir, jouissance tirée du malheur des autres.) L’indication au bas de la page nous informe que ce document est un article tiré de Courrier International (journal hebdomadaire reprenant des articles de la presse internationale)

l’action l’homme devient de moins en moins crédible, il refuse d’affirmer que les preuves qui accusent le jeune homme puisse être fausse alors que Henri Fonda nous prouve par tous les moyens que les mobiles sont faux. Il fait preuve d’égoïsme et de sadisme en envoyant un homme a la chaise électrique sans vouloir même écouter la réalité des choses il continue dans sa folie car il ne peut plus reculer il est face contre 12 jurés et ne peut alors retourner sa veste car cela le rendrait peu crédible.

deplacement de sa peur par exemple, mecanisme de defense . retournement sur soi : processir par lequel la pulsion remplace un objet exterieur independant par le sujet lui meme. la charge affective reste inchangé mais se retourne sur le sujet. ex : sadisme / masochisme / agressivité / auto-mutilations => suicide. la denégation le representant pulsionnel génant n'est pas refoulé , il apparait donc dan le conscient mais le sujet s'en defend en refusant d'admettre qu'il puisse s'agir d'une pulsion qui

même l'art classique, même la sculpture nous laissent déjà deviner que la beauté artistique est autre chose que la beauté naturelle. La sadisme de Néron qui éprouve un trouble de jouissance à faire pleurer la malheureuse Junie est une ignoble passion, propre par elle même à susciter le dégoût, mais la scène admirable de Britanicus ou Racine met en scène ce sadisme, dans une atmosphère de clair-obsur qui rapelle Rembrandt, est un des chefs-d'œuvre incontesté de l'art graphique. Rodin n'a-t-il pas créé

horreur et une réprobation générale ». Dans cette définition, on relève d’abord que ce qui singularise les tortures et les actes de barbarie, c’est la gravité de la souffrance infligée à la victime. C’est aussi un état d’esprit de l’auteur qui est son sadisme. Il ne commet pas des violences pour commettre des violences, mais pour faire mal. On peut également y voir une forme d’acharnement de la part de l’auteur. On retrouvait d’ailleurs cette idée d’acharnement du coupable dans la jurisprudence, particulièrement

excitation sexuelle. L’auteur est qualifié de criminel narcisso-sexuel. En cas de pluralité de victimes, c’est un criminel narcisso-sexuel en série (ou tueur en série). L’homicide narcisso-sexuel est violent par définition. Il s’accompagne souvent de sadisme ou de nécrophilie. L’acharnement, la mutilation, l’égorgement, la décapitation, la castration, l’énucléation, l’éventration, l’éviscération, la nécrophagie sont des indicateurs importants. Le simple fait, pour l’enquêteur, d’être impressionné par

merveilleuses pièces sont toujours jouées. 2 Présentation de l’œuvre : Sganarelle présente Dom Juan à Gusman, serviteur de Done Elvire, que le Héros a épousée et quittée. Dom Juan a décidé d'enlever une jeune fiancée. Il traite avec désinvolture et sadisme Done Elvire, qui le menace de la vengeance. Un paysan, Pierrot, raconte à sa promise comment il a sauvé des eaux un gentilhomme et son valet. Dom Juan aperçoit Charlotte, et lui fait aussitôt la cour, en présence de Sganarelle. Pierrot est mal reçu

croyant pour prouver que Dieu n'est pas et appel à la pitié de l'ermite qui avec sa "foi de charbonnier" ne comprend pas le piège. La dernière partie du dialogue occupée par le défi lancé par Dom Juan est du domaine de la provocation blasphématoire. Le sadisme de Dom Juan l'associe au diable tentateur. L'un jubile, l'autre gémit. Tension croissante : répétitions, insistances, impératifs, répétitions. Défaite ou victoire ? l'appat du gain a certes ébranlé le pauvre mais il a tenu bon et le révolté substitue