Sadisme

le texte de la Fontaine s’achève sur la mort du chêne tandis que la fable d’Anouilh se terminent sur les dernières paroles du chêne souffrant et affrontant son destin, le roseau précède ces paroles en tombant le masque et en laissant place à son sadisme : « Hé bien, dit le roseau[…]Qu’en dites-vous donc mon compère ? […] Ce que j’avais prédit n’est-il pas arrivé ? » v.24. Ainsi, comme nous pouvons en douter, des opinions différentes donnent irrévocablement des morales différentes et donc opposées

les valeurs du mariage et de l'amour , juste celle apporté par nos envie et qu'importe la souffrance engendré . Molière en fait une très belle démonstration dans sa pièce de théâtre « Don Juan » . Toujours dans ce même excès nous connaissons le Sadisme , mouvement inventé par l'auteur Sade qui pense que le bonheur consiste a la recherche de son plaisir sans ce préoccuper des conséquences pour les autres . Dans cette conception , le crime est justifié ainsi que la torture au nom du plaisir personnelle

leur rôle d’épouse (donc de dominée) devient essentiel dans leur normalité sexuelle. Ainsi (très intéressant) dans Psychopathia sexualis, l’acte dans lequel la femme est sur l’homme est interprété soit comme un masochisme masculin, soit comme un sadisme féminin. Par contre le masochisme féminin est considéré comme normal. La question du plaisir des femmes va se constituer par la suite comme l’enjeu d’une nouvelle sexologie qui commence à délaisser la normalité sexuelle. Havelock Ellis publie

bonne signalisation des citations.QUESTIONS SUR LE TEXTE.ACTE III PAGE 87 A 1391 - Scène 1 (87 - 93) Que fait le marchand pour sauver sa vie ? De quelle façon Izquierdo profite-t-il de la situation pour exercer son sadisme? 2 - Scène 2 (94 - 104.) Quelle nouvelle manifestation du sadisme d’Izquierdo observe-t-on dans cette scène ?3 -Scène 3 (105 A 107 ). Quel argument Izquierdo utilise-t-il dans cette scène pour convaincre Montserrat de livrer Bolivar?4 - Scène 4 (107 - 114) . Montrez que cette scène

entérinent l’union (p.572). Le regard est un franchissement, un don de soi. Le refus de don peut être un modèle d’appartenance (// La Princesse de Clèves). Le regard exprime la violence des sentiments (jalousie, haine). La Femme de 30 ans (p.216) + sadisme d’Heathcliff (p.31). Importance du voyeurisme. AK : regards des héros se modifient lorsqu’ils s’éloignent l’un de l’autre. p.397 : « Vronski crut voir à travers… ». La jalousie d’Anna vire au chantage (p.811). Regard de Vronski change. Le regard

théorisation des pulsions et de leur destin (1915 b ), S. Freud s’intéresse au retournement de la pulsion en son contraire ou sur le sujet lui-même : c’est ce qu’il décrit avec le couple voyeurisme/exhibitionnisme et celui du sadisme/masochisme. Le masochisme deviendra d’ailleurs le paradigme de la perversion avec le texte de 1919 « Un enfant est battu ». S. Freud donne comme sous-titre à cet article : « Contribution à la connaissance de la genèse des perversions sexuelles »,

par un héritage culturel et non génétique. (la préhistoire, hommes qui va chasser, femme qui reste à la caverne). 5iem La violence des femmes Les femmes qui ont participé au génocide 39-45, et aussi des femmes intellectuel qui procédé par pur sadisme. Qu’on en parle pas forcément, et qu’on n’arrive pas a imaginé. Le mythes de la femme est douce.. Femme violente avec leur conjoint, pas d’étude en France. Pour ce défendre l’homme donne un claque, et c’est la femme qui porte plainte. La montée des

limage mauvaise parentale vacue en eux. Laccs leurs propres motions et initiatives est particulirement complexe. Ils engagent trs rapidement des relations masochiques o la qute de souffrance pour exister ractive, en cercle vicieux, et/ou majore le sadisme parental et donc le risque de violence et de maltraitance en raison de leur agitation physique, des dcharges frquentes dans les cris et dans les pleurs et dans leurs dsorganisations STRATEGIES THERAPEUTIQUES A Les principes organisateurs 1 Les

organisées en un dispositif autonome qui poursuit ses propres fins extra-morales, et la vie morale de surface (les "bonnes raisons" de se sentir coupable, par exemple) n'en est plus désormais qu'un épiphénomène, d'une teneur quasi fortuite. Ce "sadisme du Surmoi" est aux yeux de Freud l'explication nécessaire de la croyance au destin (simple manière de projeter au-dehors la contrainte interne qui pèse sur tout ce que l'homme peut espérer), précisément dans ses aspects affectifs les plus irrationnels

pensées, mais ses actes et paroles appartiennent à l’étranger puissant. Il semblerait qu’avant d’agir, on doive se reporter à l’étranger. C’est en se reportant à lui qu’on sait ce qu’on doit dire ou faire. On a affaire ici à une certaine forme de sadisme de la part du peuple puisque c’est lui qui veut cela. On se pense libre de le faire mais pourtant on confit nos dire et faits au « tout-puissant ». L’individu se prive lui-même de sa propre liberté, du moins, il l’a réduit considérablement. Mais pourquoi