Sadisme

qu’est la sexualité infantile. C’est Freud qui va le premier, en 1905, définir, dans ses Trois essais sur la théorie sexuelle qu’il existe une sexualité chez l’enfant et que celle-ci possède toute les perversions des adultes, tel que le voyeurisme, sadisme etc. Il est toute fois important de souligné que même si elle possède les perversions des adulte, cette totalement différente de la sexualité adulte. La sexualité infantile est un sexualité centrée sur soi, elle est auto-érotique, c’est à dire que

toutes chose à la lumière de la raison ». Cette lumière doit éclairer toute l’humanité pour faire triompher la raison contre la superstition et l’intolérance. L’écrivain a voulu éclairer les esprits en dévoilant les horreurs que subit Suzanne. Le sadisme de la sœur Sainte-Christine, étroite d’esprit, superstitieuse, orgueilleuse, avec un certain gout pour la persécution illustre bien les pensées contre lesquelles les philosophes se battent. Diderot se sert de ce personnage, si cruel pour faire ressortir

nous savons à quoi nous en tenir concernant le Pasteur qui bat ses enfants pour les punir. Au fur et à mesure de l’histoire, son caractère violent, se confirme sous différentes anecdotes. Il ne frappe et ne punit ses enfants pour le plaisir ou par sadisme mais pour leur éducation. Pour lui, on obtient de la discipline chez des enfants seulement en passant par la force. Sous ses belles apparences, on ne soupçonnerait pas le docteur d’abuser sexuellement de sa fille et pourtant... Au début de l’histoire

et ici il va l’utiliser en proposant un syllogisme : «  Tu pries Dieu tout puissant OR tes prières ne sont pas récompensées DONC Dieu n’existe pas » → laisse entendre que Dieu est ingrat et qu’il n’a pas de reconnaissance. - surtout preuve de sadisme. Après avoir lui-même blasphémé (en se moquant de la prière), a recours à une autre forme de raisonnement avec l’utilisation du chantage : chois entre Dieu ou bien le matériel avec le louis d’or.qu’il va répéter 4 fois : l153-154, l157, l 160, l

matérielle et donc encore moins compréhensible pour le spectateur qui ne peut s’imaginer faire une telle violence pour de simple photographie. De plus, dans sa réplique, le détachement du personnage renforce l’incompréhension du spectateur et le sadisme dont Nihad fait preuve dans son explication l’éloigne encore plus de celui-ci. N’étant pas compris, ses motivations ne sont pas partagées par le spectateur. Dans la même catégorie, on peut également trouver le personnage de Lorenzo de Médicis dans

fait toujours peur les revenants.'' A cet instant il est considéré comme une personne sans cœur, mort vivant sous prétexte qu'il à vu des mort par millions, alors qu'il n'est pas la source du problème. Puis les 4 textes se relient sur le sadisme dans Le Chapon et la Poularde par exemple ''Une maudite servante m'a plongé une longue aiguille dans le cul, a saisi ma matrice, l'a roulé autour d'une aiguille, l'a arraché et l'a donné à manger à son chat.'' mais aussi '' la fête étant venu, ils

le ciel tout le jour », c'est sa priorité. Le pauvre préfère garder sa foi plutôt que d'avoir un Louis d'or, ce qui montre bien qu'il n'est pas si intéresser que ça par l'argent. Dans cette scène nous pouvons penser que Don Juan fait preuve de sadisme. En effet, Don Juan aurait du donner de l'argent au pauvre simplement pour le remercier. Or, il ne donne rien. Ensuite, il veut montrer au pauvre qu'en faisant autre chose que prier, on gagne de l'argent. Il remet en cause la religion. Par Don Juan

actions et la plupart du temps née apres coups un sentiment de regret sur l'individus qu'il soit petit ou grave les personne malade quand a eux possede surement une conscience vus que dans des temoinages ils nous racontes qu'il fesait cela par sadisme ou desires de vengeance mais je pense qu'il ne possede pas la partie de la conscience d'ou vienne les sentimens de compassion ou de remort, ces personne d'ont je n'ais pas parlé dans les deux premier parties sont celon moi des exeptions du fait

greffe une syllepse de sens ( double sens), le mal, au singulier actualisé par un article défini désigne toutes les formes de souffrance, le mal physique autant que métaphysique, le mal social (le poète s’intéresse aux êtres déchus), le mal moral (sadisme et goût du crime). A cela s’ajoute une intention ironique. Le mot « fleur » en tête d’un recueil poétique rappelle les anthologies (présentés comme des bouquets de poèmes) mais il désigne ici des fleurs vénéneuses avec lesquelles Baudelaire entend

cette chanson universelle. ●Le voyage pénible est la mort : « wagons plombés » (vers 2) et « Ils n’arrivaient pas tous à la fin du voyage » (vers 17), la difficulté d’échapper à la mort « Survivre un jour, une heure, obstinément » (vers 10), le sadisme des nazis « votre chair était tendre à leurs chiens policiers » (vers 24) mais aussi la difficulté pour les survivants de retrouver une vie normale « ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux. ●La censure : « Mais qui est donc de taille à