Sage Coala

homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. injuste : Un mal, ce qui est contraire à la loi, une inégalité. peut : Est-il possible, est-il légitime

Dans les quatre premiers chapitres, Zadig, jeune sage oriental de Babylone, dont le nom désigne « celui qui dit la vérité », est d’abord victime de l’inconstance féminine. Sa fiancée Sémire l’abandonne pour épouser Orcan. Il épouse Azora qui lui manifeste son infidélité en n’hésitant pas à lui couper le nez au bénéfice de Cador, son nouveau mari qu’elle prétend guérir ainsi. Zadig est donné pour mort, mais il se réveille au moment opportun… Il répudie Azora et se consacre alors à l’étude des sciences

La Mort et le Mourant Jean de La Fontaine La Mort ne surprend point le sage ; Il est toujours prêt à partir, S'étant su lui-même avertir Du temps où l'on se doit résoudre à ce passage. Ce temps, hélas ! embrasse tous les temps : Qu'on le partage en jours, en heures, en moments, Il n'en est point qu'il ne comprenne Dans le fatal tribut ; tous sont de son domaine ; Et le premier instant où les enfants des rois Ouvrent les yeux à la lumière, Est celui qui vient quelquefois Fermer

furent les conséquences de l'enquêtes de Socrate auprès des politiciens, des poètes et des artisans ? Un jour, ayant été proclamé le plus sage des hommes par l’oracle de Delphes, Socrate voulu comprendre pourquoi et s'il disait vrai, en interrogeant les politiciens, les poètes et les artisans en les trouvant et en leur montrant qu'ils n'étaient pas sage et que même lui étant conscient qu'il ne l'était pas et proclamait qu'il était supérieur à eux en sachant qu'il ne l'était pas. Ainsi il éveil

mais seule la mort offre l'oubli, la vie n'a pas cette indulgence De toutes les manières que l'homme a trouvé de se faire du mal à lui-même, l'Amour est la pire. Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil. Celui qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit. Il ne faut pas allumer un feu que l'on ne peut pas éteindre. Quand le soleil se perd dans la nuit, l'espoir guette un reflet. Au fond d'un trou ou d'un puits, il arrive qu'on aperçoive les étoiles J'aime celui qui rêve l'impossible

problème des opinions est l’art de la rhétorique. Plus facile de les recevoir que de les concevoir. Alain, philosophe du 19ème s: « philosopher, c’est dire non ». Aux opinions, aux idées reçues. -Sophos (sage) / Sophistes / Philosophes : figures intellectuelles d’auparavant à nos jours. Sage: celui qui sait Le philosophe cherche à savoir Le sophiste prétend tout savoir , mais sans examens critique. Le philosophe est à mi-chemin entre savoir et l’ignorance. L’outil de référence est la pensée

que tu perdrais la tête et resterais bouche bée sans savoir que dire, et que, lorsque tu serais monté au tribunal, quelque vil et méprisable que fût ton accusateur, tu serais mis à mort, s’il lui plaisait de réclamer cette peine. Or qu’y a t il de sage, Socrate, dans un art qui « prenant un homme bien doué le rend pire », impuissant à se défendre et à sauver des plus grands dangers, soit lui-même, soit tout autre, qui l’expose à être dépouillé de tous ses biens par ses ennemis et à vivre absolument

Peut-on être sage et ignorant à la fois ? Il est possible pour un individu d’être sage, c'est-à-dire d’être une personne raisonnable, dotée d’une raison. Une personne dont la façon de vivre l’éloigne de l’agitation et des prises de position hâtive envers la société. Comme le disait Platon : « Le sage parle parce qu’il a quelque chose à dire, le fou parce qu’il a à dire quelque chose ». Il est possible aussi d’être ignorant c'est-à-dire d’avoir peu ou pas de connaissances. Selon Galilée « je

homme, je préférais mourir que souffrir. Il y a surement entre vous, des chuchotements dans vos têtes qui perçoivent une certaine vision des choses comme quoi dans un niveau de maladie l’homme n’est plus apte a être sage, et bien détrompez vous mes chers car l’homme n’est jamais aussi sage, qu’à cet instant même. Au début tout est un rêve, une vie normale, une routine dans un langage assez vulgaire, mais par la suite, la vie se montre féroce et nous mène à tomber dans des maladies aussi répugnantes

mesure où il s’accorde avec notre nature, est donc un bien, mais tout plaisir n’est pas cependant nécessairement souhaitable. De même, toute douleur est un mal, mais pourtant toute douleur n’est pas nécessairement à fuir. Il reste que c’est par une sage considération de l’avantage et du désagrément qu’il procure, que chaque plaisir doit être apprécié. En effet, en certains cas, nous traitons le bien comme un mal, et en d’autres, le mal comme un bien ».      Épicure, Lettre à Ménécée, in Diogène Laërce