Sahel tunisien

l’intervention américano-britannique de 2003 et à la chute du régime de Saddam Hussein. Il faut bien sûr ajouter l’interminable conflit israélo-palestinien qui dure depuis les années 1920. On peut aussi mentionner, à la périphérie du Moyen-Orient, la crise au Sahel, marquée par l’implosion de l’Etat malien en 2012 puis l’intervention de la France au Mali en janvier 2013 (opération Serval), ou l’instabilité chronique de l’Afghanistan depuis l’intervention soviétique il y a plus de trente ans (1979) jusqu’à l’intervention

source. La belle la contemplation, nous pentes rapides qui conduisent à Kef. Cette école est située au fond une assez mon- s'étend des de Sidi-Driss, célèbre marabout, qui a donné son sort ('c aux montagnes de tunisienne frontière Méditerranée. Après un descendons Nous avons mètres d'altitude. géodésique, à 1,270 du signal Kef, près là, aux face pendent, traverses servent à l'enseigne- ment, des peaux de bouc pleines de

la présente étude est l’examen de différentes voies de decadmiation de l’acide phosphorique : procédé OTP (Français), procédé OCP (marocain), la précipitation chimique par les réactifs type Thiol selon les procédés HOECHT-UHDE, procédé SIAPE (Tunisien), procédé Uranium-Pecheney-IRCHA-CRVM. Ce stage se déroule dans le laboratoire de la mine de phosphate de Djebel Onk (Tébessa. Algérie). Les travaux débuteront par la fabrication d’acide phosphorique, puis essais de decadmiation selon le brevet

ou le « made in » - L’innovation. - La gamme. - L’âge - Les contraintes de stocks et de service après vente. Bien que dans le cadre de partenariat, des composants peuvent être livrer à des fins de montage comme c’est le cas avec la société Tunisienne « STIA » à qui la SNVI livre des châssis de minicars qui après montage sont revendus sous une marque commune "SNVI-STIA"; le produit SNVI a pour vocation d’être un produit fini, nécessitant donc un investissement commercial important, la structure

développement de la filière oléicole marocaine, le Crédit Agricole du Maroc a organisé la 2ème édition en Mars 2007 à Meknès. Le thème retenu pour cette édition était « les différentes expériences réussies des pays oléicoles ». Ainsi, les expériences tunisiennes, espagnoles et marocaines ont été exposées par différents intervenants, dont des producteurs. D’autres interventions ont porté sur le rôle du Conseil Oléicole International dans le développement de la filière oléicole sur le plan international,

Azzedine qui était, avec Kaïd Ahmed et Ali Mendjeli, l’un des trois adjoints de Boumediène au sein de l’état-major général. Ferhat Abbas, ancien président du GPRA, est aussi féroce : « Avant même notre retour en Algérie, Bouteflika disait à des amis tunisiens : “Retenez bien mon nom, vous entendrez parler de moi.” Il est regrettable que l’on n’ait pas entendu parler de lui pendant que des hommes de son âge mouraient dans les maquis. » (2) L’allusion est claire : le commandant Abdelkader, alias Abdelaziz

Nouvelles rumeurs de coup d’État À plusieurs reprises ces dernières années, Doha a bruissé de rumeurs sur un nouveau coup d’État en préparation. Après une première alerte à l’été 2009, début mars 2011, dans la foulée de la chute des pouvoirs tunisien et égyptien, une pétition a circulé sur Internet demandant une lutte accrue contre la corruption, une remise à sa place de Cheikha Moza, et un rôle plus important donné à la charia. Plus grave, un dimanche matin, une quinzaine de membres d’une

Mais le cas tunisien permet aussi de différencier, au sein même du secteur informel dans son ensemble, une fraction procyclique qui se développe en phase et une fraction anticyclique. Ainsi durant la période 1975-80 où l'on voit se réduire la part de l'emploi informel, le secteur informel localisé - c'est-à-dire le segment des micro-entreprises - s'est renforcé, au contraire du segment non localisé plus précaire (travail à domicile, ambulant, tâcheronnage …). L'exception tunisienne provient évidemment

démocratie politique alors que les institutions internationales la qualifient de bon élève en économie et en programmes d’équipements sociaux. Le Maroc, quant à lui, 98 est gratifié d’un bulletin de notes qui est le double inversé de celui de l’élève tunisien. Les médias lui reconnaissent de gros progrès en pluralisme politique et en liberté d’expression, mais les bailleurs de fond sont plus sévères : « Elève très doué mais résultats économiques décevants. Peut mieux faire (1). » Il faut qu’il soit bien

Mitidja. Cette rivière reçoit successivement l’Oued-et-Kébir et l’Oued-Jer ; elle prend alors le nom de Mazafran et se dirige vers le nord-ouest, où elle se réunit encore à l’Oued-Boufarick ; puis elle contourne le massif d’Alger, perce les collines du Sahel et se jette dans la mer, à deux lieues de Sidi-Ferruch. Le cours du Mazafran est assez rapide ; mais quoique, en certains endroits, son lit présente quatre cents mètres de large, et ses berges quarante mètres de hauteur, ses eaux sont peu profondes