Saint-Élie-de-Caxton

sont bien entendu des aspects très importants des deux œuvres. L’influence qu’avait l’Église sur les habitants du village de Fred Pellerin est nettement très marquée. On sent effectivement l’oppression qui s’exerce sur les paroissiens de Saint-Élie-de-Caxton autour des années 1920. On dénombre 474 enfants dans la famille Gélinas. L’exagération est à son comble, mais la réalité reste très évidente : il fallait vivre dans la même ligne de pensée que celle dictée par l’Église. Dans cette situation

écouter ! ». Ce sont les paroles de ce communicateur au cerveau rempli de mondes tous les uns des autres les plus farfelus et extraordinaires. Cet homme à la grande parole facile est né dans un petit village de la Mauricie, au Québec, du nom de Saint-Elie-de-Caxton pendant une journée d’automne le 22 novembre 1976. Il est un conteur très connu de son pays natal, mais il est aussi un auteur-compositeur-interprète et aussi un scénariste. Fred Pellerin a été bercé par les histoires, les contes et les légendes

passe dans un petit village d’environ 1500 habitants qui porte le nom de Saint-Élie-De-Caxton. L’auteur Fred Pellerin décrit l’histoire en donnant une vision exagérée d’un village, le sien où il a vécu toute sa jeunesse. De plus, celui-ci utilise un langage digne de la réalité québécoise en faisant beaucoup de jeux de langue. Après avoir lu et écouté le livre CD, il est possible de voir que la communauté de Saint-Élie-De-Caxton vivait en collectivité et en s’entraidant pour faciliter leur mode de vie

BIOGRAPHIE 22 novembre 1976, Saint-Élie de Caxton (Mauricie), diplômé de littérature à l’université du Québec, Trois-Rivières Conteur, scénariste (Babine et Ésimésac), chanteur québécois (folklorique) et écrivain, ces contes sont écrits sur des personnages de Saint-Élie de Caxton, il s’inspire de ses valeurs et de son village Babine, un conte du livre Il faut prendre le Taureau par les contes, est adapté au cinéma avec le réalisateur Luc Picard 2012 : Jean Charest voulait transmettre, devant

planétaire. Dans le recueil de contes De peigne et de misère2 (2013) de Fred Pellerin, plus précisément dans l’extrait « L’Odyssée de l’espoir », on parle plutôt d’une fin du monde engendrée par l’absence de paroles au sein de la communauté de Saint-Élie-de-Caxton. Le thème de la parole est donc observé dans cette œuvre. D’ailleurs, cette analyse traitera du fait que la parole permet à la communauté de survivre. D’une part, il est vu que la parole encourage les liens dans la communauté. D’autre part

. Le narrateur est dans un grenier en train de fouiner dans les affaires de sa grand-mère. Il prend d’abord une photo et sa grand-mère lui raconte l’histoire derrière cette photo.Une très belle femme emménage seul avec son fils à Saint-Élie-de-Caxton. Elle est surnommée la Stroop et la population croit qu’elle a des pouvoir magique. Elle se fait traiter de sorcière et le curé neuf interdit à la population à aller la voir. À chaque année, la cloche sonne pour y annoncer la mort d’un des

Gildor Roy (Riopel) ; Maude Laurendeau (Lurette Riopel) Fiche technique Genre: Conte, fantastique - Origine: Québec, 2008 - Sortie en salles: 28 novembre 2008 - Durée: 1h50 - Visa: Général - Tournage: 28 octobre au 14 décembre 2007 à Montréal et St-Élie de Caxton (une journée) - Budget: 6,5 M$ Réalisation: Luc Picard - Scénario: Fred Pellerin d'après ses propres textes - Production: Lorraine Richard ; Luc Martineau - Société de production: Cité Amérique - Distribution: Alliance Vivafilm Équipe technique

humoristique à leurs œuvres. Fred Pellerin fait partie de ces derniers avec son conte L’arracheuse de temps , paru pour la première fois en 2009. Au cours de ce récit, de nombreux personnages cocasses habitent le village de Saint-Élie-de-Caxton. Cette histoire se déroule au début des années 1900, une période centrée sur la religion catholique. Pour confirmer le lien unissant cette œuvre et l’univers amusant, deux éléments de contenu et deux éléments de forme seront analysés. (86 mots)

parmi les contes urbains. Il est surtout associé a la ville est ses habitants. Preuve l’appuie : << mon père, je m’accuse […] >> (p.35). Cette phrase ce refaire a un habitant qui confie a cure et qui tous deux font partie de Saint-Élie-de- Caxton. Ce conte redonne une éphémère cohésion aux citadins, surtout grâce à Grodin : << […] il continue de nous faire sourire par des traces débiles et indelées.>> (p.15). Ainsi, grâce à ses débilités, il donnait le sourire au villageois

intérêts ; ils semblent sacrifier à des ambitions de grandeur temporelle leurs devoirs de pasteurs, et la cour de Rome offre trop souvent à la chrétienté un spectacle de scandale. Réclamée par les assemblées œcuméniques, plusieurs fois esquivée par le Saint-Siège, la réforme de l’Église, dans son chef et dans ses membres, apparaît comme de plus en plus urgente. Sans rajeunir beaucoup leurs doctrines, les écoles hérétiques maintiennent leur protestation contre ses enseignements, et les rigoristes, qui