Saint-Firmin

Formes dansées minoritaires : Le Maloya Le Maloya est un art typiquement réunionnais. Il est à la fois une forme d'expression instrumentale, vocale et dansée. C'est une musique métissée à sa naissance par des esclaves malgaches d'Afrique de l'est, une musique qui a permis aux esclaves de résister pour exister. Sa naissance est marquée par la souffrance et la misère des esclaves, qui ne pouvaient se libérer de leur chaînes que par la musique et la danse, mais au fil des décennies cette musique

par un de ses successeurs Jacques Duhamel qui mène une politique visant à insérer la culture au sein de la société, dans la vie quotidienne. Ce dernier lui propose de faire renaître de ses cendres le Théâtre Nationale Populaire initialement créé par Firmin Gémier et transformé la Jean Villard. Planchon hésite tout d’abord craignant une censure de la part du gouvernement et une dépendance trop importante. Il accepte enfin, étant partisan d’un théâtre populaire, ouvert pour tous, mais impose une condition :

Coppée, en 1869. André Antoine, rénovateur de la mise en scène française, prend la direction du théâtre en 1906 et démissionne en avril 1914, Paul Gavault lui succède jusqu'en 1921. Firmin Gémier dirige le Théâtre de l'Odéon de 1922 à 1930 ; Paul Abram seconde Firmin Gémier à partir de 1925 et lui succède de février 1930 jusqu'en 1940. Pendant la seconde guerre mondiale l'Odéon connait une succession de directions temporaires : Jacques Copeau, Pierre Aldebert

cosecrétaire de la revue qu’il dirige, qu’Antonin Artaud fait vite des rencontres décisives. Et c’est avec une prodigieuse rapidité qu’il va s’imposer dans le monde des arts de la capitale, semblant fasciner tous ceux qu’il rencontre, que ce soit Firmin Gémier, Lugné-Poë – qui lui offre d’emblée d’entrer dans sa compagnie (où il restera près d’un an, apprenant Gaston-Louis Roux, Affiche pour Victor ou les Enfants au pouvoir, de Roger Vitrac, D. R. 29 décembre 1928 et 5 janvier 1929 BNF, Arts du

historiquement mais ne se substituent pas les unes aux autres. (beaucoup de combinaisons.) 1) la tentation archéologique Danemark médiéval, époques des 16 et 17è siècles. Cela se voit surtout en Angleterre, au théâtre du globe. 1913 Lugné-Poe avec Firmin Gémier puise dans les sources élisabéthaines. Au XIX on réalise sur scène des tableaux suscités par l'imaginaire de la lecture : apparition du spectre sur les remparts d'Elseneur, folie d'Ophélie, scène du cimetière . Une interprétation par le

caisses du théâtre, à chaque période difficile. Direction : 1892-1896 : Émile Marck et Émile Desbeaux 1896 : Paul Ginisty et André Antoine qui démissionne 1896-1906 : Paul Ginisty 1906-1914 : André Antoine 1914-1921 : Paul Gavault 1922-1930 : Firmin Gémier 1930-1940 : Paul Abram 1940 : Jacques Copeau 1941 : Pierre Aldebert 1941-1944 : René Rocher 1944 : Armand Salacrou et Jean-Louis Barrault, un mois 1944-1959 : Paul Abram Le décret du 27 février 1946 offre sa deuxième scène à la Comédie-Française

En 1717, il commence un second noviciat à La Flèche, puis s’engage à nouveau dans l’armée, cette fois comme officier. En 1721, il entre chez les bénédictins de l’abbaye de Saint-Wandrille, avant de prononcer ses vœux à l’abbaye de Jumièges et de passer sept ans dans diverses maisons de l’ordre, en Normandie. À l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, en 1727, il travaille à l’ouvrage des bénédictins, Gallia christiana. Il est ordonné prêtre en 1726. En 1728, il obtient une approbation pour les deux premiers

d'avant-garde, contre le monopole du théâtre de boulevard, et de s'élever contre la critique dramatique. En effet, ces quatre metteurs en scène aspirent au même renouveau du théâtre, inspiré par l'Appel du Vieux Colombier, le théâtre populaire de Firmin Gémier, la mise en scène moderne d'André Antoine et Constantin Stanislavski. Ils se retrouvent leur volonté d'une rupture le mercantilisme du boulevard, l'adoption d'un jeu plus naturel, la mise en scène d'auteurs contemporains et la prééminence du

et la misère. » (Anténor Firmin, L’effort dans le mal) Dernier texte de Firmin avant sa mort, ultissima Verba, le testament prophétique d’un homme usé, abusé, amer et un grand patriote meurtri1. 100 ans après sa mort, force est de constater non point sans amertume que nous sommes déjà sous notre troisième domination étrangère (1915, 1994, 2004). La première, celle de 1915-1934, a débuté quatre ans seulement après ce cri de cœur du « petit nègre de la fossette »2. Firmin : une vie d’homme d’état

individuelles. - Saint Lazare, saint Maximin, sainte Marie-Madeleine et sainte Marthe, partis de l'Orient quatorze ans après l'Ascension de Notre-Seigneur, apportèrent en Provence les lumières de la foi. - Vers la même époque, sept missionnaires, envoyés par saint Pierre, évangélisèrent plusieurs de nos provinces : saint Trophime s'arrêta à Arles, saint Martial à Limoges, saint Austremoine à Clermont, saint Paul à Narbonne, saint Saturnin à Toulouse, saint Gatien à Tours, saint Valère à Trèves. -