Saint-Loup-des-Chaumes

km² et compte 187 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 7,8 habitants par km², Chavannes a connu une nette hausse de 14% de sa population par rapport à 1999. Entouré par les communes de Saint-Loup-des-Chaumes, Serruelles et Crézançay-sur-Cher, Chavannes est situé à 26 km au Sud-Ouest de Bourges la plus grande ville aux alentours. Situé à 163 mètres d'altitude, le village de Chavannes a pour coordonnées géographiques Latitude: 46° 51' 11'' Nord

tandis que des bannettes d’arbuste, rhododendrons, seringas et boules-de-neige bombaient leurs touffes de verdure inégales sur la ligne courbe du chemin sablé. Une rivière passait sous un pont; à travers la brume, on distinguait des bâtiments à toit de chaume, éparpillés dans la prairie, que bordaient en pente douce deux coteaux couverts de bois, et par-derrière, dans les massifs, se tenaient, sur deux lignes parallèles, les remises et les écuries, restes conservés de l’ancien château démoli. Le boc de

intendant de Caen, possède dans sa collection une copie de la Tapisserie. Elle passe dans les mains de Claude Gras de Boze et d’Antoine Lancelot. Ce dernier signale la Tapisserie à l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres . 1728 : Le prieur de Saint-Vigor écrit que l’usage persiste de tendre la Tapisserie dans la nef de la cathédrale de Bayeux de la St-Jean à la fête de la Dédicace. 1729 : Le bénédictin Dom Bernard de Montfaucon la présente dans deux de ses ouvrages. Le texte de présentation

La légende de saint Julien l’hospitalier de Gustave Flaubert Chapitre 1 : Le père et la mère de Julien habitaient un château, au milieu des bois, sur la pente d'une colline. Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d'écailles de plomb, et la base des murs s'appuyait sur les quartiers de rocs, qui dévalaient abruptement jusqu'au fond des douves. Les pavés de la cour étaient nets comme le dallage d'une église. De longues gouttières, figurant des dragons la gueule

poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte. Tout dans ce lieu lugubre effrayait le regard. Sur le grabat gisait le cadavre hagard; C'était déjà la tombe et déjà le fantôme. Pas de feu; le plafond laissait passer le chaume. Les quatre enfants songeaient comme quatre vieillards. On voyait, comme une aube à travers des brouillards, Aux lèvres de la morte un sinistre sourire; Et l'aîné, qui n'avait que six ans, semblait dire: «Regardez donc cette ombre où le sort

LA LÉGENDE DE SAINT JULIEN L'HOSPITALIERLA LÉGENDE DE SAINT JULIEN L'HOSPITALIERGUSTAVE FLAUBERTILe père et la mère de Julien habitaient un château, au milieu des bois, sur la pente d'une colline.Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d'écailles de plomb, et la base des murs s'appuyait sur les quartiers de rocs, qui dévalaient abruptement jusqu'au fond des douves. Les pavés de la cour étaient nets comme le dallage d'une église. De longues gouttières, figurant des dragons

papier graisse, huile, sert de vitre. Le toit est en chaume. Dans les régions où la pierre abonde, les murs sont en pierres assemblées, mastiquées de terre séchée. Un trou en haut du toit tient souvent lieu de cheminée. Il n’y a pas d’éclairage, en dehors des flammes de l’âtre. On se couche avec le jour. Pourtant, la vie n’est pas triste au village, car si on partage les peines, on partage aussi les joies. Les récoltes, les fêtes des saints, les mariages et les naissances sont salues de folles

que vif, et mort, ton corps ne soit que roses.           Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie, 1578 Sur un Tombeau Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose  Fut le digne sujet de mes saintes amours.  Las ! Depuis qu'elle y dort, jamais je ne repose,  Et s'il faut en veillant que j'y songe toujours. Ce fut une si rare et si parfaite chose  Qu'on ne peut la dépeindre avec l'humain

mal-fini dans l’azur ; d’une voix de femme qui chantonne à l’intérieur de la maison et du bruit sourd, régulier, d’un pilon écrasant des grains.Le village domine cette solitude. Agrippées au flanc de la montagne, les huttes rapprochent leurs têtes de chaume et guettent toute la vie d’en bas. Le village est pauvre. La terre crayeuse se craquelle comme l’écorce, entrouvre des lèvres avides : le village a soif. La sécheresse dure depuis des jours et des jours, brûle la récolte de petit-mil. Le bétail maigrit

▪ 1.2.5 Les Vosges centrales ▪ 1.2.5.1 Haute-Bruche ▪ 1.2.5.2 Vallée de Villé ▪ 1.2.5.3 Vallée de Sainte-Marie-aux-Mines, ou le Val d'Argent ▪ 1.2.6 Les Hautes-Vosges ▪ 1.2.6.1 Vallée de la Thur ("Val de Saint-Amarin") ▪ 1.2.6.2 Vallée de la Lauch (Florival) ▪ 1.2.6.3 Vallée de Munster ▪ 1.2.7 Le Grand Ried ▪