Saint-Tite

femme de 18 ans qui est enseignante dans une école de rang à Saint-Tite, en 1898. Elle tombe amoureuse d’un de ses élèves, Ovila Pronovost et finit par se marier avec lui. Même s’ils s’aiment à la folie, Ovila et Émilie vivent des moments difficiles tout au long de leur mariage. La série se termine lorsqu’Émilie quitte Ovila en compagnie de leur 9 enfants. Les personnages principaux: Émilie Bordeleau: Elle vient originalement de Saint-Stanistlas. Dans le premier épisode de la série, on peut déjà

Études des évènements d’un roman : Émilie Bordeleau, veut devenir institutrice. Elle part donc pour St-Tite, où elle aura sa propre classe alors qu’elle est âgée de seulement 16 ans. Elle fait la rencontre de la famille Pronovost. Les garçons Pronovost s’intéresse à elle et Émilie ne demeure pas indifférente à leurs avances. Particulièrement Ovila, un des ses élèves est entêté à tout faire pour plaire à mademoiselle Bordeleau. Pendant l’été, Ovila se rend à St-Stanislas, le village d’Émilie, pour

décembre 1879 à Saint-Stanislas au Québec ; décédée le 28 décembre 1946 à Saint-Stanislas1) fut une institutrice québécoise (canadienne) de Saint-Tite du début du xxe siècle dont la vie a inspiré la série de livre à succès d'Arlette Cousture Les Filles de Caleb, eux-mêmes portés à la télévision par Jean Beaudin dans une télésérie sous le même titre. Émilie Bordeleau a quitté les terres de son père à l'âge de 15 ans pour devenir institutrice dans une école de rang à Sainte-Thècle de Champlain

tous les lettrés de son époque, Corneille avait une connaissance parfaite des auteurs romains de l’Antiquité. Il puise le sujet d’Horace1 dans le récit de Tite-Live, dans son ouvrage intitulé Histoire romaine. Les chapitres XXIII à XXVI du livre Ier relatent la guerre entre Rome et Albe tout comme la pièce de Corneille. Dans le livre Ier, Tite-Live narre d’abord l’arrivée d’Enée en Italie, ses hauts faits et sa mort. Puis, il en vient à la fondation et à l’histoire d’Albe la Longue. Ensuite, il raconte

 Bérénice(1670), qui est l'occasion d'une joute théâtrale avec Corneille dont la propre pièce, Tite et Bérénice, est sous-titrée "comédie héroïque" (c'est Racine qui l'emporte indéniablement), Bajazet (début 1672), Mithridate (fin 1672), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Toutes ces pièces sont créées par la troupe de l'Hôtel de Bourgogne. Racine meurt rue des Marais-Saint-Germain à Paris (Paroisse Saint-Sulpice) le 21 avril 16999, à l'âge de cinquante-neuf ans, des suites d'un abcès ou d'une tumeur

révélé la ferveur mystique du poète et la qualité de son inspiration chrétienne, mais le public contemporain avait été surpris de voir exprimer ces sentiments sur la scène. Plus tard (1670), Corneille donnera encore une traduction de l'Office de la sainte Vierge (vers et prose) avec les Sept Psaumes pénitentiaux, les Vêpres et Complies du dimanche et tous les Hymnes du Bréviaire romain. Dans cette même période de retraite, il se livre aussi à des réflexions sur son art et son système dramatique, et

après une dernière comédie qui s'intitule Les plaideurs, jouée en 1668. Jean Racine livre alors les plus belles tragédies de la littérature française à commencer par Britannicus l'année suivante. En 1670, pour devancer son rival Corneille qui écrit Tite et Bérénice, il sort Bérénice qui s'inspirerait de la relation entre Marie Mancini, nièce du cardinal Mazarin, et Louis XIV. Parmi les grands auteurs de l'époque, Jean Racine aura tout de même des amis et notamment Jean de la Fontaine et Boileau. Bajazet

faut pour se fortifier ; et, à l’égard de leurs armes, ils n’en sont pas plus embarassés que de leurs mains. » Tusculanes, II, [M]. Livre II, Chapitre XXV, [M]. Surtout par le fouillement des terres, [M]. Voyez Végèce, Livre I. Voyez dans Tite-Live, Livre XXVI, les exercices que Scipion l’Africain faisait faire aux soldats après la prise de Carthage la Neuve. Marius, malgré sa vieillesse, allait tous les jours au Champ de Mars. Pompée, à l’âge de cinquante-huit ans, allait combattre tout

partir de 1669, il collabore avec le recueil des poésies chrétiennes publié sous leur direction. Les chefs-d'oeuvre se succèdent sur la scène de l'hôtel de Bourgogne : Britannus en 1669, Bérénice, en 1670, sujet où il entre en rivalité avec Corneille (Tite et Bérénice, créé par la troupe de Molière), Bajazet, en 1672, Mithridate, en 1673, Iphigénie, créée à Versailles en 1674. Il est ami avec de Boileau et de La Fontaine et il a la protection de Mme de Montespan. En janvier 1677, il joue sa tragédie

 et l’histoire. II- Bibliographie Nicolas Machiavel a écrit de nombreuses œuvres en italien, dont certaines ont été traduites en français. On peut citer : Discorsi sopra la prima deca di Tito Livio, 3 vols, (Discours sur la première décade de Tite-Live) 1512-1517 Il Principe, 1513 (Le Prince), publié en 1532 Discorso sopra le cose di Pisa, 1499 Del modo di trattare i popoli della Valdichiana ribellati, 1502 Decennale primo (poème en terza rima), (Les décennales) 1506 Ritratti delle cose