Salafisme

les 25 autres sont dites « converties »  dont la moitié d'entre elles auraient moins de 30ans. Les femmes dites « converties » ne font pas d'elles même le choix du port de la burqa ou non. En effet puisque derrière, se trouve souvent un conjoint salafisme ( il considère qu'il est nécessaire de revenir aux fondements de l'Islam) Pourtant en 2011, le Parlement a interdit le port de la burqa, il en est fini de ce voile dans les lieux publics, sous peine de 150€ d'amendes et d'un stage de citoyenneté

nations arabes après l’effondrement de l’empire ottoman. Par sa valeur « émancipatrice » il redonnera vie au salafisme dont il n’était qu’une variante mais surtout il servira d’armature idéologique à l’islâm radical politique des « frères musulmans ». Mais il ne faudrait pas confondre les frères Musulmans et le wahhabisme, car cette Confrérie est très hétéroclite et utilise le salafisme comme d’autres courants (soufisme) uniquement dans un but de prise de pouvoir, (de rétablissement du Califat et

un islam radical ou la femme, pour être « tolérée », doit porter un voile cachant son corps aux yeux du monde. Ces images ont choqué l’opinion, mais ont surtout fait découvrir une autre vision de l’islam, une islam plus radical, intégriste : le salafisme. Les adeptes de ce mouvement sectaire de l’islam composent la majorité des organisations terroristes islamistes du monde notamment Al Qaida. En France, en revanche, les salafistes sont considérés commme modérés et évitent le terrain politique

différence fondamentale entre l'Etat islamique et les groupes djihadistes qu'on a pu connaître jusqu'à présent, comme Al-Qaïda", estime Mohamed Ali Adraoui, chercheur à l’Institut universitaire européen de Florence et auteur de Du Golfe aux banlieues, le salafisme mondialisé, aux Presses universitaires de France. "Il ne s'agit plus de s'en prendre, par la violence, aux ennemis de la religion, mais bien d'exercer le pouvoir sur un territoire donné", souligne-t-il. ► Une administration structurée Puisque l'objectif

authentique défendue par les savants ach'arites et matouridites. * 1744 : Alliance historique entre la tribu des Al Saoud et le fondateur du Salafisme, le réformateur religieux, Mohammed ben Abdelwahhab. Le pacte est passé pour faire triompher « fût-ce par les armes, le règne de Dieu ». Mohammed ben Saoud mettait ses armes au service de l'expansion du salafisme, et le second imposait à ses fidèles de reconnaître l'autorité des Saoud. * 1878 : Naissance d'Abdelaziz ben Abderrahmane Al Saoud, fondateur

brassard, qu'il y ait des comités de protection de défense des valeurs sociales et qu'ils soient constitués par les porteurs du Coran. Ils sont au nombre d'un million constitués des imams qui connaissent le véritable salafisme. Pas le salafisme des assassins, le véritable salafisme qui assure la sécurité des femmes et des mœurs.» [pic] «Des femmes ont été kidnappées par ces groupes criminelles. La population vit un véritable cauchemar, avec ces blindés, ces hélicoptères, avec ces menaces sur notre

unité du monde musulman qui ne sera que le fruit de l’indépendance de chaque pays arabe. Il a publié « la nation arabe » vivement retentissée au Maroc. Ces idées panarabes ont été favorablement reçues par les Oulémas du pays, ce qui a permis au salafisme et au panarabisme de donner des bases historiques et un fondement idéologique au mouvement nationaliste marocain. 2)- Les facteurs sociaux : Les nouveaux lauréats qui désirent voir leur pays évoluer et participer à cette évolution, n’ont

des valeurs étatiques. Ils imposent leurs intérêts politiques ou religieux pars des méthodes souvent violentes. Ils essaient ainsi chacun d’imposer un nouveau type de société avec des valeurs religieuses dans la vie quotidienne. Exemple du courant Salafisme qui a pour but d’imposer la charia. L’islam doit faire partie de la sphère politique et démocratique. Les Jihadistes prêchent l’usage de la violence et de la résistance contre les ennemis de l’islam (les Etats et leurs dirigeants, les non musulmans

responsable des affaires religieuses." Le premier État saoudien trouve sa source aux alentours de 1744. Un chef tribal local, Ibn Saoud, s'associe avec un religieux, Ibn Abdelwahhab afin de réinstituer les dogmes revendiqués plus tard par le salafisme, forme de l'islam dite authentique. La famille Al Saoud et le royaume connaissent ensuite des confrontations augmentant ou réduisant leur pouvoir en fonction des accords et désaccords avec l'Égypte, l'Empire ottoman et d'autres familles arabes pour

foi qu'une partie de l'islam sunnite a refusé dès le IXème siècle (« ne dire de Dieu que ce qu'en dit Dieu dans le coran et son prophète dans la sunna». Ibn Hanbal.); ce refus de toute interprétation du Coran par le hanbalisme qui a donné jour au salafisme et au Wahhabisme dominant en Arabie Saoudite, fait du livre sacré, considéré comme directement dicté par Dieu, et de la sunna (tradition du prophète) des textes à suivre à la lettre. Ce refus de toute interprétation a été imposé par une des traditions