Salammbô

commune de Canteleu. Il est né dans une famille catholique et de la petite bourgeoisie ( son père, Achille Cléophas Flaubert, était chirurgien-chef ). Son mouvement en écriture était le réalisme. Ses œuvres principales sont : Madame Bovary ( 1857 ) Salammbô ( 1862 ) L’éducation sentimentale ( 1869 ) Les trois contes ( 1877 )b Bouvard et Pécuchet ( 1881 ) Suite à une déception amoureuse, Félicité quitte la ferme ou elle était employée et part pour Pont l’Êvêque pour devenir bonne. Elle se ferra

profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style à travers de grands romans comme Madame Bovary (1857), l’Éducation sentimentale (1869), Salammbô (1862), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1878).

tout est prévu, tout est écrit Flaubert • XIXème siècle • écrivain français réaliste et romantique • il a influencé Maupassant • il a été influencé par Victor Hugo • fait passer ses textes à l ‘épreuve du gueuloir • il a écrit : Mme Bovary, Salammbô, l’éducation sentimentale • considéré comme auteur de l’anti héros avec Mme Bovary L’éducation sentimentale : • roman • Frédéric Moreau est le héros il est amoureux de Mme Arnoux, une femme mariée Étude : I-l’image du héros : ces caractéristiques

romantisme ou du symbolisme. Il est reconnu par les jeunes romanciers de son siècle sur lesquels il a une influence décisive, comme Maupassant. On peu le considérer comme un romancier n’ayant pas beaucoup d’œuvres à son actif : Madame de Bovary, Salammbô, Trois contes et l’Education sentimentale. Il travaillait ses phrases comme un poète, c’est ce qui explique ses œuvres peu nombreuses. Ce roman se range parmi les romans d’apprentissage car on y suit le parcours d’un étudiant faisant ses expériences

Bovary, 1857), compose, dans son double parti pris de réalisme désenchanté et d’extrême rigueur stylistique, une tentative pour dominer à la fois la bêtise d’une époque bourgeoise qu’il exécra et la tentation romantique qui ne cessa de l’obséder (Salammbô, 1862 ; l’Education sentimentale, 1869 ; la Tentation de Saint Antoine, 1874). Guy de Maupassant (château de Miromesnil, 1850 – Paris 1893) Ecrivain français. Admirateur et ami de Flaubert, il publia sa première nouvelle (Boule-de-Suif) dans

de l’année, avec la conscience de plus en plus paralysante de l’impossibilité de la littérature. 1859 Rédaction des chapitres IV et VI de Salammbô : à la fin de l’année, il entre enfin « dans le temple du Moloch » (à Ernest Feydeau, 22 novembre). Seul divertissement : la lecture de Lui, roman à clés de Louise Colet dont il est l’anti-héros. 1860 Salammbô : chapitres VII à X. « Je suis présentement accablé de fatigue ! je porte sur les épaules deux armées entières, 30 mille hommes d’un côté, onze

précision des détails : les objets, les personnages, les lieux sont minutieusement décrits (ex : Madame Bovary description de la casquette de Charles Bovary qui fait plusieurs pages, ou encore la pièce montée du repas de noces) Vocabulaire technique : Salammbo de Gustave Flaubert, pour avoir un vocabulaire technique, il a été obligé d’étudier des traités d’archéologie Naturalisme Zola= grand théoricien de ce mouvement Zola emploie dès 1866 le mot « naturalisme », le Naturalisme se

insu. En fait la beauté intrinsèque d’un spectacle naturel n’est pas suffisante : un bel objet ne garantit pas la réussite d’un tableau. Inversement la laideur a pu constituer un sujet artistique. Prenons-en pour exemple certaines scènes atroces de Salammbô de Flaubert, comme l’extermination des mercenaires dans « le défilé de la Hache », ou Germinal de Zola, comme la révolte des femmes de mineurs qui brandissent les horribles restes de l’épicier qu’elles viennent d’émasculer par vengeance et en signe

propriété de Croisset où il se consacre au "culte fanatique de l’art", seule consolation à la "triste plaisanterie de l’existence". Les quelques évènements qui troublent sa retraite sont de grands voyages en Egypte puis en Tunisie, qui lui inspire Salammbô. Il entretient aussi de grandes correspondances qui deviennent célèbres par la suite, notamment celle avec Louise Colet. La dernière partie de sa vie est marquée par des deuils douloureux, des échecs littéraires et des soucis financiers. Amer et

1828), Notre-Dame de Paris (Hugo – 1831), Les Trois Mousquetaires (Alexandre Dumas père – 1844), Le Bossu (Paul Féval – 1858). Le genre se prolonge tout au long du siècle avec quelques œuvres notables comme Le Roman de la momie (Gautier – 1857), Salammbô (Flaubert – 1862), Quatrevingt-treize (Hugo – 1874)… Il est cependant concurrencé par le genre voisin du roman-feuilleton qui fait la fortune de la presse et le bonheur des prosateurs comme Eugène Sue avec ses Les Mystères de Paris (1842-1843) et