Salésiens

lui faut une rhétorique, car le logos ne suffit pas (sauf peut-être lors de la vertigineuse démonstration du fameux « pari », qui est toute fondée sur la logique) ; mais cette rhétorique sera celle de l’énergie, bien plus que celle de la douceur salésienne. Cela s’explique par la situation de dialogue dans laquelle Pascal se trouvait avec ses amis libertins, incroyants convaincus qui refusaient d’entreprendre la démarche de la conversion. La dévotion n’est pas « aisée » pour Pascal, elle demande un

savoir passer par son époux. En effet, c’est souvent elle qui découvre ce qui habite le cœur de son enfant mais c’est plus souvent au père d’intervenir. 1 Le rôle du père est de poser des limites Pour Jean-Marie Petitclec, prêtre catholique salésien, polytechnicien, éducateur spécialisé, professeur, un des principaux rôles du père est de poser des limites : - Il conjugue amour et loi «  je te dis non parce que je t’aime ». Un enfant se construit grâce à des repères et pas uniquement dans

s’ingénie au sacrifice et fonce dans la voie des pénitences extraordinaires. « Non, objecte Don Bosco ; ton devoir d’étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà ta sainteté. » Dominique obéit de bon coeur à cette formule d’ascèse toute salésienne. Chaque jour, il rencontre Jésus dans l’Eucharistie. On se rend vite compte que ses actions de grâces sont de purs ravissements. Lorsqu’il propose la fondation de la Compagnie de l’Immaculée, ses compagnons lui demandent ce qu’ils auront à faire :

Rosa Maltoni, est institutrice. Il baigne dans la double culture anarchiste qui lui vient de son père (son prénom, Benito lui a été donné en hommage au révolutionnaire mexicain Benito Juarez), et catholique traditionnelle : il va à l'école chez les Salésiens de Faenza. C'est un élève turbulent, voire violent : il manque de peu le renvoi en 1893 lorsqu'il blesse un de ses camarades avec un couteau. En 1895, il entre à l'école normale de Forlimpopoli et devient instituteur. En 1900, il adhère au Parti

une jeune femme comme le révèle sa sœur24, il entame une réflexion qui le conduit à rompre ses fiançailles et entrer dans les ordres ; depuis, il vient chaque année dans cette église dire une messe pour Pâques25. Il étudie notamment au collège salésien Wilfrid Barón de Ramos Mejía en 1949 avant d'entrer dans l'école industrielle E.N.E.T (Escuela Nacional de Educación Técnica) Nº 27 Hipólito Yrigoyen où il obtient un diplôme de technicien en chimie26. Il subit en 1957 une ablation de la partie

Rosa Maltoni, est institutrice. Il baigne dans la double culture socialiste qui lui vient de son père (son prénom, Benito lui a été donné en hommage au révolutionnaire mexicain Benito Juarez) et catholique traditionnelle : il va à l'école chez les Salésiens de Faenza. C'est un élève turbulent, voire violent : il manque de peu le renvoi en 1893 lorsqu'il blesse un de ses camarades avec un couteau. En 1895, il entre à l'école normale de Forlimpopoli et devient instituteur. Ensuite il sera professeur de

manuels. XIX: « Mais la société bourgeoise qui est née de la Révolution française est devenue puritaine. L'Introduction à la vie dévote est expurgée des chapitres consacrés au mariage. Cette censure trahit un abandon de l'optimisme et de l'humanisme salésien. François de Sales, qui n'était pourtant ni laxiste ni dévergondé, en fait les frais. L'Église, confrontée à la légalisation du divorce, se replie sur une position défensive, ne conservant que l'aspect procréateur, et fustige la dépravation des mœurs

Rosa Maltoni, est institutrice. Il baigne dans la double culture socialiste qui lui vient de son père (son prénom, Benito lui a été donné en hommage au révolutionnaire mexicain Benito Juarez) et catholique traditionnelle : il va à l'école chez les Salésiens de Faenza. C'est un élève turbulent, voire violent : il manque de peu le renvoi en 1893 lorsqu'il blesse un de ses camarades avec un couteau. En 1895, il entre à l'école normale de Forlimpopoli et devient instituteur. Ensuite il sera professeur de

A/ Biographie de henrie BOSCO Henri Bosco est issu d'une famille italienne, ligure et piémontaise, dont les origines les mieux identifiées se trouvent près de Gènes. Sa famille paternelle est apparentée à don Jean Bosco, le fondateur des salésiens à Turin. Il est né au no 3 de la rue Carreterie, entre la place Pignotte et la place des Carmes, à Avignon, en novembre 1888. À la fin du XIXe siècle, il s'agissait du quartier d'Italiens, qui y avaient leur paroisse. Sa maison natale est aujourd'hui

doute par la prévention. Leur apprendre des valeurs, leur faire comprendre dans leur chair que c'est la personne qui est importante.  De plus, sortir d'une Mara est pratiquement impossible. Il existe des associations religieuses, notamment de salésiens, qui offrent des centres de formation professionnelle à ces jeunes. Certains ont tenté le coup, voulant se “ recycler ” dans l'économie “ normale ”, mais la plupart ont fini assassinés par la Mara après deux ans de formation. Et ceux qui arrivent