Salinisation

végétation ne dure plus en moyenne que 170 jours par an. La salinité des sols et la poussière a réduit la faune sauvage, mais également l’élevage car les pâturages ont diminué de 80 % et la production de fourrage de moitié. Le manque d’eau et la salinisation ont conduit aussi à une très forte diminution des surfaces ensemencées et donc de leurs rendements. Aujourd’hui, 80 % de la population est au chômage et vit des maigres subsides du gouvernement. Les conséquences sociales : La quantité de pesticides

performantes puisqu’elles représentent 60 % des revenus de l’agriculture. A noter qu’il existe encore des exploitations familiales (Vieux Sud, Nouvelle Angleterre) qui vivent grâce aux aides publiques. De plus, l’agriculture reste très polluante : salinisation, érosion du sol d’où les nombreuses polémiques autour des Organismes Génétiquement Modifié (OGM). Il y a à la fois une dépendance intérieure et une dépendance extérieure : en effet, l’agriculture est aidée par les subventions publiques et ils

situation de pouvoir exprimer leurs préoccupations ? On parle dès lors de distribution écologique inégale. Cela concerne surtout la distribution inter-temporelle des dommages irréversibles causés aux écosystèmes (pertes d'espèces, déforestation, salinisation des sols, etc.) et le stockage des déchets toxiques durables. Analyse du coût-avantage, ou coût-bénéfice L'analyse Coût-Bénéfice (anglicisme) est un terme qui renvoie tout à la fois à : ← une méthode formelle que l'on utilise pour

de la mortalité infantile et de problèmes de santé publique liés au taux très élevé de fluor dans l’eau. Plus tard, dans les années 1961, les autorités mexicaines ont de nouveau protesté auprès des autorités américaines en raison de la grave salinisation des eaux du Colorado, devenue totalement impropre à l'irrigation. Même entre états mexicains le conflit existe, compte tenu de l’épuisement des ressources hydriques dans les territoires les plus peuplés du Mexique, les transferts d’eau entre

terre sur la mer au niveau du delta par perte de l’alluvionnement Erosion des rives du Nil ; perte du limon naturel  sédiments qui rendent terre fertile Emploi d’engrais chimiques polluants : eaux moins poissonneuses, prolifération des algues Salinisation des terres La construction de barrages présente donc de nombreux avantages pour les sociétés et pour l¡agriculture mais leur gigantisme transforme les conditions naturelles au point de, parfois, faire apparaître de nouveau problèmes environnementaux

difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des envols de poussière qu'il est difficile de différencier des envols naturels à partir des déserts supposés naturels ou originels. Comme causes nous pouvons également citer celles crées par l’homme à savoir :

souterraines de Cisjordanie. Le potentiel en eau de cet état est constitué de la surface du Jourdain et de petits cours d'eau . Il y a une surexploitation des nappes souterraines qui entraine alors une forme de pollution. On observe également une salinisation de l'eau : Gaza et la Palestine possèdent des eaux saumâtres impropre a la consommation . Le dossier de l'eau est de première importance pour le règlement de la paix. II)Les causes idéologiques : Maintenant que le cadre est posé, nous allons

évaporation importante de l’eau, les rampes d'aspersion dépensant plus d'eau que ce qui est nécessaire pour les cultures etc. • L'eau, mal protégée, est polluée par les rejets agricoles, industriels et urbains… L'irrigation excessive entraîne la salinisation des terres, les engrais polluent les fleuves et provoquent la prolifération d'algues sur les littoraux (eutrophisation). Dans les pays riches, les eaux usées sont recyclées dans des stations d'épuration. Mais les infrastructures coûtent cher et

l’impulsion des pays du Nord. Si on parcourt les mesures préconisées en 1968, on reste perplexe devant le constat actuel de l’état de l’environnement en Afrique. Les grandes plaies africaines du manque d’eau, du déboisement, de l’érosion, de la salinisation et de la désertification, continuent s’élargir de jour en jour, sans voir venir à l’horizon des solutions pour y remédier ou pour les endiguer, de façon durable. Plusieurs États africains ont élaboré des réglementations qui, parfois, dépassent

quittent leur domicile à cause de facteurs environnementaux qui leur empêchent de subsister. En effet ces personnes vivent principalement de l’agriculture, et ce, principalement dans une optique de subsistance. L’érosion de la côte, les cyclones, la salinisation des nappes phréatiques, les privent de leur moyen de survie. Ces populations qui décident de migrer en ville, se ruent vers Dacca, principalement dans les bidonvilles (qui représentent à l’heure actuelle 40% de la population de la ville). Elles