Salon de peinture et de sculpture

La peinture naturaliste I) Quesque le naturalisme ?   Le naturalisme est un mouvement artistique apparu au XIXe siècle, plus précisément vers 1870 en France, faisant suite au réalisme. Il en reprend les traits en accordant une importance primordiale au motif, à la nature perçue telle quelle, et au monde paysan plutôt qu'à des scènes historiques.     Les naturalistes traitent uniquement des sujets de vie quotidienne, ne peignent que des anonymes dans un milieu naturel et essayent de dépasser le réel

Degas a commencé à copier des peintures de la Renaissance italienne au Louvre et formé dans l’atelier de Louis Lamothe, qui l’a enseigné dans le style académique traditionnelle. Degas a été influencé fortement par les peintures et les fresques qu’il a vu pendant plusieurs longs voyages en Italie à la fin de 1850; il a fait de nombreux croquis et dessins dans ses carnets. Evidence de l’enseignement classique de Degas peut voir dans son relativement statique, les peintures en frise, par exemple, Young

Après la peinture académique, pourquoi l’impressionnisme ? Le XIXème siècle, bouleversé par l’industrialisation, a connu des changements économiques et sociaux, mais également culturels, et par la-même, artistiques. Libéré du joug de la peinture académique, l’impressionnisme résulte d’une volonté de représenter la réalité environnante, basée sur une impression fugitive. Mais pourquoi, et comment l’impressionnisme a t-il succédé à l’académisme ? I) La peinture académique a) Contexte

INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 2 1-La naissance des salons 2 2- Les académies royales 3 II-L’ESSOR DE L’ART ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 4 1-Le style baroque 4 1-1-Les arts littéraires 4 1-2-Les beaux-arts :l’architecture, la sculpture, la peinture, la décoration 5 2- Le classicisme. 5 2-1-les arts du spectacle : le théâtre, la comédie, la tragédie  6 2-2-Les beaux-arts : l’architecture, la sculpture, la peinture, la décoration 7 2-3-Versailles 7

d’exposition était le Salon qui dépendait de l’Académie. Seuls des académiciens ou des élèves des Beaux Arts y étaient exposés. Après la révolution : libéralisation du Salon. Il ne s’agit plus du privilège seul des académiciens. David, Brutus Ce tableau a été refusé du Salon car jugé trop novateur. David organise alors une résistance, une exposition dans son atelier à Rome. Il revient ensuite en France avec l’attention du public et va ainsi être exposé au Salon Le Salon devient un élément essentiel

Le salon des refusés Introduction : En 1863, le jury du Salon Officiel de peinture et de sculpture (désigné par les membres de l'Académie), refusa plus de 3000 œuvres sur 5000. À l'époque, le Salon était la seule façon pour un artiste d'acquérir une reconnaissance officielle. L’empereur Napoléon III, sur conseil de Viollet-le-Duc, décida qu’une exposition des refusés se tiendrait au Palais de l’Industrie. Le Salon des Refusés, remplis d’œuvres en opposition avec le gout officiel, marqua par

divers éléments sur une surface plane, une peinture est d’abord peut-être le reflet de la situation économique et sociale d’une société à un moment bien précis. L’art contemporain ne se laisse jamais facilement analyser. Il n’en allait pas autrement au dix-neuvième siècle. Pour l’œuvre rénovateur d’un Turner, Manet ou Monet, le public ne manifesta au début aucune compréhension. Turner ‘ne savait pas peindre’, Manet ‘enquiquinait une toile avec de la peinture’ et Monet ‘était immoral’, disait-on. Alors

et spécialiste de ce mouvement, « le cubisme est un langage pictural absolument original, une façon d’aborder le monde totalement neuve, et une théorie esthétique conceptualisée. On comprend qu’il ait pu imprimer une nouvelle direction à toute la peinture moderne » (1). Le Cubisme comprend plusieurs étapes. Les protagonistes du mouvement conduisent d’abord une recherche qui pose la question de l’unité de la toile et du traitement des volumes en deux dimensions. Cette première phase du Cubisme,

débarrassés de leur glose : hébreux, grec, romain). On traduit des traités d’architecture. L’homme est au centre de la soif de connaissances des humanistes. Rabelais, la médecine et Gargantua. Leurs recherches et leurs goûts influencent fortement la peinture (thèmes mythologiques) - naissance du mécénat : les puissants commandent les monuments et les œuvres d’art. Les villes continuent à se développer et à concentrer les richesses. I La Renaissance italienne Centre : les grandes villes du nord de

XIXe siècle, l'art pictural officiel en France est dominé par l'Académie royale de peinture et de sculpture, qui fixe, depuis sa création sous le règne de Louis XIV, les règles du bon goût, aussi bien pour les thèmes des tableaux que les techniques employées. L’Académie privilégie l’enseignement du dessin, plus simple à définir dans un corps de doctrine bien structuré pour lequel la copie des modèles de la sculpture antique constitue un idéal de beauté. La couleur, considérée depuis Aristote comme