Sartoris

expressed even more simple: a) Inclusiveness b) competitiveness. In the following, I aim to apply the presented theoretical framework to the case of the Mexican regime. (1) Exclusiveness- the monopolistic one-party system In 1980 the political scientist Sartori described the Mexican system as the following: “The hegemonic party does not permit official competition, nor de facto competition for power. Other parties are allowed to exist, but as second-class, authorized, parties, since they are not allowed

mouvement ouvrier. Caractéristiques : à Les militants assurent le financement du parti à parti hiérarchisé et structuré Ex : parti travailliste britannique ; parti social démocrate allemand.     2 – Une typologie historique des partis politiques [Sartori]     Autre typologie plus connotée historiquement : Confirme les analyses de Duverger et les affine à Partis d’opinion et de clientèle ; constituent une forme primitive des partis ; réseau de relation autour de quelques notables. Evoluent durant

sensiblement égales. Système multipartite avec un parti dominant Un parti ou un pôle domine. Bipartisme imparfait Trois partis: deux partis principaux et un troisième petit parti pivot (ex.: Allemagne). Le nombre de partis et leur qualité: l’apport de Sartori Pluralisme à parti unique: confrontation au sein du parti. Tous les partis ne devraient pas être pris en considération dans l’étude des systèmes de partis: partis relevants et partis irrelevants. La distinction se fait grâce à plusieurs paramètres:

résultent de la compétition et de la coopération pour la conquête du pouvoir entre partis d'un système politique donné" 3 grandes variante de cette approche systémique : -Analyse des systèmes partisans en terme institutionnel et relationnel (Sartori/Duverger/Blondel) -Genèse du parti :analyse des systèmes partisans en termes de clivage (Rokkan/Lipset) -Analyse des systèmes partisans en terme de fonction A quoi servent les PP? Quelles fonctions ils occupent dans les systèmes politiques? (Merton/Lavau)

fonctionnement, il faut étudier le régime des partis politiques car de cela dépend le fonctionnement du parlement. Maurice Duverger : est le premier à mettre l’accent sur le rôle des partis, il est l’inventaire du régime semi-présidentiel Giovanni Sartori : a écrit en 1976, le parti et le système des partis En France, la constitution dispose que les partis politiques concourent à l’expression du suffrage. Max Webber, dans le savant et le politique, définit les partis politiques comme un groupe d’intérêts

nazisme et stalinisme, ne fait pas de distinctions. Ce qui la motive au départ c’est le nazisme : sa phénomologie du totalitarisme et du camp qui est nécessaire à la détermination du concept de totalitarisme comme polémique est délicate. Giovanni Sartori : estime qu’il ne peut y avoir de démocratie que libérale : une « autre » démocratie = totalitarisme Nicos Poulantzas : récuse le concept de totalitarisme car rien de commun entre les deux (pas d’analyse en termes de classes) Korsch et Pannekoek :

attitudes afin de déterminer le rôle de la culture politique dans le maintien de la stabilité des régimes démocratiques. Arend Lijphart : Patterns of Democracy (1999), une étude approfondie des démocraties dans le monde entier. Giovanni Sartori : Ingénierie constitutionnelle comparée : Une enquête sur la structure, les motivations et résultats Theda Skocpol : Dans les États et les révolutions sociales: une analyse comparative de la France, la Russie et la Chine. L’auteur compare les

Résidus : quand on enlève tous les facteurs sauf un. o Variations concomitantes : beaucoup de variables entrent en jeu mais on peut repérer que dans plusieurs cas il existe des relations entre les mêmes variables. Réflexion prolongée par Giovanni Sartori. « Comparer c’est différencier et assimiler par rapport à un critère. » 3 erreurs, selon lui, produisent des concepts « chat-chien » : o Le localisme : prendre un terme qui une acception bien spécifique dans un pays donné et croire que ce terme se

aspect il conviendra de chercher à savoir ce qu’est la démocratie (1). 1. Essai de définition de la démocratie : En ce nous nous attèlerons essentiellement à l’étymologie du terme démocratie en s’inscrivant ainsi dans ce que Giovanni SARTORI a appelé « la démocratie étymologique » et telle qu’il l’a développée. A cet effet, comme il est connu de tous, étymologiquement le terme démocratie vient de l’association de deux vocables grecs : démos qui signifie peuple et Kratos qui veut dire

pertinente car elle ne donne qu’une indication sur la fragmentation des partis politiques. D’autres spécialiste ont tenté d’affiner cette typologie : ils parlent de polarisation des systèmes de partis. 2) Polarisation des systèmes de partis. Giovanni SARTORI : Spécialiste italien de science politique a proposé : Multipartisme modéré : quand 3 à 5 partis, ils sont tous plus ou moins modérés, au centre (pas d’extrême) Multipartisme extrême et polarisé : + de 5 partis avec des extrêmes. Il accorde une