Satan

“temple” “mosquées”: pagamisme (croire en plusieur dieux) contraire à la foi + les plus grands énemis des occidentaux sont les musulmans à cause des croisades. “culte en l'honneur de Satan”: c'est un paradoxe car si les indiens croient en Satan alors ils croient en dieu. b.la religion champ lexical religieux “ satan” “punition divine” : argumentation basé sur la foi. Champ lexical de la soumission “ soumettre” “obéir” : rapport de force espagnol -autorité/ indiens- soumission “petite vérole” , “l'histoire

Baudelaire écrit : « rêve d’échafaud » l’ennui est tel qu’il s’adonne à la rêverie côtoyant le meurtre. Il est décrit qu’il rêve de cela, lorsqu’il fume de l’opium. Il évoque aussi « sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste» il remplace la figure de l’amour maternel par celle de Satan. Ici, Satan est perçu comme un chimiste qui contrôle notre esprit. Il pousse le poète à la vaporisation sans raison apparente. De ce fait, le sommeil laisse place à la rêverie. Celle-ci est importante, bien que si on

d'automne"(LXIV)) Plan schématique des fleurs du mal : exprimer la réalité de la vie: Pas un simple recueil mais une logique,une évolution ac un début et une fin • AU LECTEUR : la dimension métaphysique du livre. L'homme apparaît enfoncé ds le péché et Satan triomphe échapper SPLEEN ET IDEAL : comment échapper au mal ? L'ART : trois mvt. : grandeur du poète (I à VI)                                : misère du poète ( VII à XIV )                                : son idéal de beauté ( XVII à XXI ) mais XV

un Dieu tyran, qui rit du sort de Jésus sur la croix. Comme Baudelaire ne peut pas croire en Dieu, il se tourne vers les héros révoltés qui sont Caïn, la figure principale du poème que je vais analyser et finalement le diable, dans les litanies de Satan. Dans ce dernier poème, Baudelaire glorifie le Diable, qui au contraire de Dieu est soucieux des hommes et ressent de la compassion même envers les lépreux, les parias, etc. Mon poème a été publié en 1857. Baudelaire s’est approprié du mythe biblique

porte sur la religion, car nous retrouvons l'évocation de Satan, et le mot vermine fait penser à quelle chose d'indésirables, dont on ne veut plus. La phrase sous le titre, « Au Congo, la chasse aux enfants est ouverte » montre que le texte parle d'enfants, et quand on met cette phrase en corrélation avec le titre nous supposons que le mot vermine représente les enfants. Nous supposons donc à la lecture de ce paratexte que le diable (ou Satan) à trouver une manière d'exister au travers de ces enfants

lieu 1000 ans après la venue du Christ, donc selon les croyances en l’an 1000 ou 1033. Cette croyance provient du chapitre XX de l’Apocalypse de Jean : il dit que le royaume messianique doit durer mille ans « mille ans de bonheur », après cette date Satan apparaitrait et les morts sortiraient de leur tombeau. Le millénarisme fut réfuté rapidement par les théologiens grecs puis par Saint Augustin dans La Cité de Dieu ; « mille » signifiant un grand nombre, une période indéfinie. La foi du millénium fut

extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Charles Baudelaire est né à Paris en 1821 et il y est mort en 1867. Du Romantisme, Baudelaire hérite la vision du poète en marge de la société humaine, plus près de Dieu (Bénédiction) ou de Satan (Les Litanies de Satan) que du monde terrestre (L'Albatros). Ce refus du monde matériel, notamment de l'univers bourgeois triomphant qui s'impose à la France pendant le 19e siècle, s'incarne dans une imagerie où les mouvements ascendants - élévation symbolisant

regarda vers l'éternelle aurore. Les soleils étaient loin, mais ils brillaient encore. Satan dressa la tête et dit, levant ses bras : - Tu mens ! - Ce mot plus tard fut l'âme de judas. Pareil aux dieux d'airain debout sur leurs pilastres Il attendit mille ans, l'oeil fixé sur les astres. Les soleils étaient loin, mais ils brillaient toujours. La foudre alors gronda dans les cieux froids et sourds, Satan rit, et cracha du côté du tonnerre L'immensité qu'emplit l'ombre visionnaire, Frissonna

(JANKÉL., Traité des vertus, Paris, Bordas/La Haye, Mouton, t. 3, 1972, p. 1073) 2. THÉOL1. Le Démon, l'Esprit du Mal; Belzébuth ou Satan, incarnation du mal: Le discours théologique (...) contraint le mal à avouer que, si terrifiant soit-il, il n'a d'autre réalité que celle du vide ou du défaut ; ce rien, l'ange de lumière qu'il a refusé d'être, fait toute la noirceur de Satan, et, pour passer à la limite, l'enfer n'est infernal que par une absence, il est vrai éternelle, celle de l'amour. Encyclop. univ

séquence logique. Volonté de comprendre dans une narration garantie par l’écriture. Les Fers montrent d’abord Dieu revenu au ciel. Il découvre que Satan s’est mêlé à sa cour. Dieu se félicite ensuite de la constance de ses martyrs. Satan lui propose de laisser provoquer les guerres civiles, pour voir si les réformés persévéreront dans leur foi (1-182). Satan déchaîne les guerres avec leurs combats (327-538) et leurs massacres (539-690) avant le grand épisode de la Saint-Barthélemy avec le massacre