Satire Mode

du comique: -Les effets de rupture , de décalage, de surprise. -La déformation ou l'exagération qui peut s'exprimer a travers la caricature. - La répétition de mots , de phrases , de situations. - Les quiproquos et les jeux de mots. ⦁ La satire: le registre satirique consiste à se moquer des défauts ou des ridicules d'une personne. Principaux procédé du registre satirique: -Les termes dévalorisants. -Les figures de l'exagération ( la carricature) - La fausse naiveté. ⦁ L'ironie

Le Baron de Montesquieu de son nom Charles Louis Secondat est un philosophe et écrivain du siècle des Lumières né en 1689 et mort en 1776. Montesquieu est connu pour son roman épistolaire Les Lettres Persanes , 1721 publié anonymement qui fait le satire de la société française vu par des Persans. Il voyage ensuite en Europe et séjourne un an en Angleterre ou il observe et compare le différence des régimes politiques anglais et français et écrit L'Esprit des Lois en 1748. Ce texte est un extrait

souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode. Formes dominantes : Types de texte : théâtral, narratif. comiques de caractère (personnages pittoresques en proie à une passion), de situation (imbroglio, quiproquos), de mots (calembours), de mœurs (satire sociale). registres : burlesque, héroï-comique, ironique, satirique. le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et

ou le chat. Dans la fable, le chat, la belette et le petit lapin, un retrouve, un désaccord entre un lapin et une belette concernant les droits de propriété d'un terrier, désaccord tranché par un juge, le chat, Grippeminaud. On ressent ici, une satire de la justice car, les personnages sont populaire, alors que l'image de la fable est sensée représenter un jugement, donc un contexte sérieux. Le chat, qui représente la justice, enfin, la non-justice aussi est vraiment décrit de façon absurde, car

la poésie, ce que l'on a fait d'elle, qui amène le poète à réfuter les idées des anciens. C'est ainsi que Boileau reproche à Ronsard dans ses dans Satires, Epîtres et Art Poétique  du XVIIème siècle d'avoir désacralisé la poésie par le lyrisme et l’élégie « Ronsard, qui le suivit par une autre méthode, réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode ». Il utilise le mot « brouilla » pour montrer que selon lui il a vraiment modifié de façon négatives tout ce qui pouvait y avoir d'important dans

pas un modèle d’ini tia tion pour fin d’enfance. C’est ainsi que le récit se voit « parasité » par des évé ne ments sociaux, culturels ou po li ti ques facilement re con nais sa bles, au détriment de la règle d’atemporalité mais au profit de la satire*. Cette forme de conte défend une thèse et développe une leçon philosophique. Forme satirique, elle tend vers une fonction didactique ancrée dans la réalité de l’époque d’écriture ; cependant, les problèmes traités gardant souvent une portée universelle

la filiation de l’utopie en revendiquant l’héritage de Swift. La référence à Swift recouvre un usage satirique de l’utopisme, comme ce n’est pas toujours le cas dans la pratique du romantisme. Encore faut-il définir ou plutôt redéfinir ce qu’est la satire selon Hugo. Le grotesque prend dans sa poésie une dimension fantaisiste dépassant le strict cadre de la critique politique ou du pamphlet. Les dystopies carcérales évoquées dans Les Châtiments sont les substituts dégradés des utopies insulaires du

plaisanteries lestes, des apostrophes violentes, et improvisaient des batailles verbales sous la protection de leurs dieux populaires – la comédie se développe, à Athènes, au cours du Ve siècle av. J.-C. D'abord violente et grossière, axée sur la satire des affaires publiques, la comédie antique évolue en trois étapes (comédie ancienne, avec Cratinos et Aristophane ; moyenne, avec Aristophane, dans la dernière partie de sa carrière, et Eubule ; nouvelle avec Ménandre), vers la peinture des mœurs

mots nouveaux comme « filofie » l. 6, qui trahit le manque d'éducation de Marotte). Mais un message satirique sous-jacent a. La satire sociale : la violence des rapports maîtres/serviteurs Les deux Précieuses font preuve de mépris envers Marotte, de même que Mascarille envers ses deux porteurs. Preuves : Différence sociale très marquée (ex : emploi du mode impératif par les maîtres : « apprenez » l. 3, « venez » l. 15, « ôtez » l. 27) Mépris social : les nombreuses injures employées par

par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. C’est pourquoi dans la littérature française on a souvent tendance à employer la satire qui est le fait de critiquer en se moquant de la société, des individus…tout en attaquant les ridicules de manière plus ou moins acerbe. La satire est une représentation critique et comique d'un défaut, d'un vice, d'un mensonge observé dans la réalité, sur le plan moral, politique ou social. L'auteur satirique perçoit le