Satire X Boileau

consacré à la danse, et est considéré comme faisant pleinement partie du courant littéraire de la préciosité1,2 ; il est par ailleurs nommé historiographe de France en 1653. Son nom, plus que le personnage, est resté attaché à la moquerie dont Nicolas Boileau l'a couvert. Il était cependant à son époque reconnu pour son érudition3. Si Michel de Pure était surtout connu pour son précieux ouvrage consacré à la danse et aux ballets de son temps, Idée des spectacles anciens et nouveaux (Paris, Michel Brunet

Boileau Nicolas → (1636-1711) Il est le type même de l'homme de lettres et fut le principal théoricien de l'esthétique classique. Il a consacré toute son activité à la littérature et à la défense de son idéal poétique fondé sur la raison et la vérité. Ce sont les dates de publication de ses ouvrages qui jalonnent l'histoire de sa vie. Né à Paris le 1er Novembre 1636, Nicolas Boileau est d'une famille bourgeoise. Il fut élevé par son père, qui occupait la fonction de greffier au parlement. Il

relève les erreurs. → Boileau réagit vivement, et des érudits se rangent à ses côtés, dont Racine, La Fontaine et La Bruyère. → Les Modernes se constituent en parti, dirigé par Fontenelle et Perrault, dont le Mercure galant devient le journal. → La Fontaine, Épitre à Huet (dirigée contre

Les trois textes du corpus Les Caractères, IV, « Du cœur » de la Bruyère; « L'Amour et la Folie », Fables, XII, de La Fontaine et Satire X, v.151-182 de Boileau ont un thème commun, qui est celui de l'amour et présentent une grande variété de genre. A quels types de discours argumentatif ces trois textes font-ils appel, et dans quel but ? On peut donc se demander si les extraits abordent la question de l'amour d'un point de vue théorique ou pratique, et donc s'ils l'envisagent dans sa généralité

Les Essais (dès 1572, 1ère édition en 1580). **XVIIème siècle : abondante littérature d’idée : argumentation directe (pensées (Pascal), maximes (La Rochefoucauld), caractères (La Bruyère)…), satire (Boileau) ; argumentation indirecte, par le détour de la fiction (fable (La Fontaine), conte (Perrault), les comédies de mœurs ou de caractère de Molière…). Tous sont des moralistes (ils observent, décrivent, analysent la nature humaine et les mœurs, les

on ne peut considérer les Modernes comme inférieurs à leurs ancêtres. Les Anciens (Boileau, Racine, La Bruyère, La Fontaine, Madame Dacier) invoquent le génie des écrivains antiques, d'Homère et de Virgile, pour expliquer qu'ils doivent rester des modèles dans la pratique des arts. Cette querelle se déroula en trois étapes principales : Dans la première, le débat portait sur l'épopée et le poème héroïques. Boileau, dans son Art poétique (1674) préconisait le respect des modèles grecs et latins et

par Charles Perrault de son poème Le Siècle de Louis XIV dans lequel il proclame la primauté de la littérature du temps s’engage une polémique. Les partisans de la suprématie antique se recrutent surtout à la Cour et dans la génération classique (Boileau, Racine, La Fontaine, Bossuet, La Bruyère). Leurs adversaires sont plutôt des auteurs jeunes (Charles Perrault, Fontenelle), des mondains et des amateurs de genres nouveaux (opéra, contes, romans). Vers 1700 l’antagonisme s’apaise, sans victoire nette

intentions. Par le biais de la mythologie et de l'allégorie, la fable instruit le lecteur tout en l'amusant. Il s'agit en effet pour les moralistes en général de cerner un problème, d'avertir les lecteurs des dangers qui lui sont liés. Dans la Satire X, Boileau s'adresse à un mari potentiel, pour lui montrer sa future épouse et son évolution. C'est le rôle du futur. Le moraliste est un éveilleur de conscience. Une relation de complicité s'instaure (rôle du tutoiement). Les genres moraux revendiquent

pour le mariage qui doit la chasser du château. Ce sont Boccace et Pétrarque qui ont repris ce récit et lui ont donné une popularité immense dans toute l'Europe. Boccace a raconté l'histoire de Griselidis dans la dernière nouvelle du Décameron (journée X et nouvelle 10); Pétrarque en fit ensuite le sujet d'un récit latin : De Obedientia et Fide uxoria. Le vieux récit français est passé dans les Contes de ma mère l'Oye (1691) de Perrault. Ce récit remontant à des siècles, il faut donc renoncer à identifier

exemple à suivre. Moyen Age : Le héros est un demi-dieu, descendant de Zeus. Le héros vit en civilisation humaine avec les pouvoirs divins mais il est vulnérable à la mort, il est destiné à accomplir de grandes actions. XVIè : Le héros est victime de satire dû à leur manque de connaissance. XVIIè : XVIIIè : Le héros est acteur d’une scène banale de la vie. XIXè : Le héros pointe du doigt les failles de la société. 1900-1950 : Le héros est victime d’une fortune, il connait un destin funeste et c’est