Sauge

Atriplex Halimus Tropeleum Majus Capucine (la grande) Romarin Rosmarinus Officinalis Wistaria Sinensis Glycine de Chine Rosé trémière Alihonea Simensis Campsis Radicans Jasmin de Virginie Santoline maritime Diotis Canissima Vitis Vigne Sauge Salvia Ampélopsis Veitchii Vigne vierge Saxifrage à grandes feuilles Bergenia Cordiflora Parthenocissus Quinquefolia Vigne vierge à 5 fleurs Thym Thymus Communis Ipomea Volubilis G Grimpants, Fixation des pentes Nom commun Nom scientifique

répliqua Zarathoustra en riant. C’est précisément du pain que n’ont point les solitaires. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d’agneau et j’ai ici deux agneaux. Qu’on les dépèce vite et qu’on les apprête, aromatisés de sauge : c’est ainsi que j’aime la viande d’agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d’autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt faire

répliqua Zarathoustra en riant. C’est précisément du pain que n’ont point les solitaires. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d’agneau et j’ai ici deux agneaux. Qu’on les dépèce vite et qu’on les apprête, aromatisés de sauge : c’est ainsi que j’aime la viande d’agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d’autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt faire

Zarathoustra en riant. C’est précisément du pain que n’ont point les solitaires. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d’agneau et j’ai ici deux agneaux. Qu’on les dépèce vite et qu’on les apprête, aromatisés de sauge : c’est ainsi que j’aime la viande d’agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d’autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt

répliqua Zarathoustra en riant. C’est précisément du pain que n’ont point les solitaires. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d’agneau et j’ai ici deux agneaux. Qu’on les dépèce vite et qu’on les apprête, aromatisés de sauge : c’est ainsi que j’aime la viande d’agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d’autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt faire

répliqua Zarathoustra en riant. C’est précisément du pain que n’ont point les solitaires. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d’agneau et j’ai ici deux agneaux. Qu’on les dépèce vite et qu’on les apprête, aromatisés de sauge : c’est ainsi que j’aime la viande d’agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d’autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt faire

bois qu'il trouva sur le bord, mais cela ne servit pas à grand-chose. Ils poursuivirent toujours plus avant. Le sentier raboteux disparut. Les buissons, les longues herbes entre les gros cailloux, les taches de gazon tondu par les lapins, le thym, la sauge, la marjolaine et les soleils jaunes, tout cela s'évanouit, et ils se trouvèrent au haut d'une large et rapide pente de pierres tombées, restes d'un éboulement. Quand ils se mirent en devoir de descendre par là, des décombres et des petits cailloux

répliqua Zarathoustra en riant. C'est précisément du pain que n'ont point les solitaires. Mais l'homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de bonne viande d'agneau et j'ai ici deux agneaux. Qu'on les dépèce vite et qu'on les apprête, aromatisés de sauge: c'est ainsi que j'aime la viande d'agneaux. Et nous ne manquons pas de racines et de fruits, qui suffiraient même pour les gourmands et les délicats, nous ne manquons pas non plus de noix ou d'autres énigmes à briser. Nous allons donc bientôt faire

phrases où si les divers éléments ne sont pas à leur place, elles ne veulent plus rien dire, ou pas grand-chose. Que faut-il réellement penser de ce passage de Colette ? Sur le balcon de bois, parmi la glycine défaite et les fleurs aplaties d’une sauge rouge, emportés par la bourrasque de cette nuit, ils gisaient ce matin, comme les pétales d’un pavot effeuillé, les deux papillons morts. L’adjectif, à sa place ! Un changement de place peut induire un sens différent pour l’adjectif. Selon en

cahotés la nuit dans les rues, ces affreux tonneaux de la voirie, ces fétides écoulements de fange souterraine que le pavé vous cache, savez-vous ce que c’est ? C’est de la prairie en fleur, c’est de l’herbe verte, c’est du serpolet et du thym et de la sauge, c’est du gibier, c’est du bétail, c’est le mugissement satisfait des grands bœufs le soir, c’est du foin parfumé, c’est du blé doré, c’est du pain sur votre table, c’est du sang chaud dans vos veines, c’est de la santé, c’est de la joie, c’est de