Saṃsāra

philosophie et une religion qui apparaît en Inde au 6eme siècle avec Jésus Christ. L'enseignement du bouddhisme s'appelle « Dharma », c'est la pratique de la méditation que l'on appelle le nirvana + la pratique de la contemplation de façon à partir du « samsara » : c'est la roue des renaissances successives. Caractéristiques du Dharma : Tout est souffrance La création est infini L'action doit être comme si l'on écrivait sur l'eau Les opposés ne sont pas opposés. Rencontre avec le Taoïsme. C'est

Même si tu ne détruis pas le corps pendant la guerre contre tes ennemis, leur corps (sharîra) mourra tôt ou tard. Par conséquent, il n’y a aucune raison de t’attrister sur la mort du corps physique, demeure temporaire des âmes (jîvan) pendant le samsara (la condition de renaissance due aux actions passées).    Commentaires Additionnels: 1.  Ici, Lord Pârthasârathy (Sri Krishna) est salué comme vitthakan. On s’adresse à Lui, ici comme étant Le mystérieux parce qu’Il accomplit l’enseignement (upadesham)

comme un cercle sans fin. Pour les hindous, les hommes partagent le destin de toute la nature : naître, vivre, mourir, mais également renaître sur cette terre par un cycle indéfini de vies successives. C’est la croyance en la réincarnation, LA SAMSARA. Le problème de l ’ Hindouiste est de est d’échapper au cycle des réincarnations, il se préoccupe surtout de progresser spirituellement afin d’accéder un jour à la libération. La manière de sortir de ces cycles de vies c’est d’être absout (acquitté)

ultime : le retour à l’athman. Quand au bouddhistes, il s’agit d’accéder à un éveil de la conscience (bouddha signifie: l’éveillé). Bouddha énonce une pensée plus éthérée, encore plus vaporeuse que mon athman. Il expose un système cohérent qui mène au samsara. Dénonçant toutes les théories éthiques indiennes qui l’avaient précédé et qui lui étaient contemporaines, le Bouddha adopta et introduisit le point de vue médian de son épistémologie et de on éthique, point de vu connu comme théorie de la coproduction

leur religion est la meilleure. L’Hindouisme a la faculté d’intégrer et d’indianiser des croyances extérieures. Ainsi, certains voient en Jésus-Christ ou en Mahomet le dixième avatar de Vishnu. Un hindou est soumis au cycle des réincarnations (samsara), en fonction des actions accomplies dans les existences antérieures (karma), il peut renaître dans une caste plus ou moins élevée. L’objectif ainsi poursuivi est l’immortalité aux côtés des dieux. Il existe quatre castes. Selon les écritures

opposée à celle de l'hindouisme. Buddha enseignait que "la vie etait souffrance et les hommes devaient se libérer de cet état pour atteindre le nirvana, un état de paix et de joie". Afin d'y parvenir, il faut passer par une série de renaissances (samsara). Il existe deux écoles dans le bouddhisme, Hinayana et Theravada. L'Hinayana a des règles de vie strictes et leurs membres passent leur temps à la méditation. On les trouve principalement au Myanmar (ex-Birmanie), au Cambodge, au Laos, au Sri-Lanka

peut permettre d'expliquer les grand mystères de la vie, afin d’élucider les problèmes des populations, et les rendre plus sereins. Ainsi le mythe de la vie après la mort décrit dans le Bardo Thodol (livre tibétain des morts) affirme l’existence du saṃsāra, (qui est le cycle des existences conditionnées) permettant aux populations bouddhistes de vivre une vie dénuée de grandes préoccupations au sujet de la vie après la mort, a part celle de vivre une vie de sagesse afin d’acquérir un meilleur karma

les rituels, il lui suffira de toucher ces noeuds pour retrouver la force spirituelle contenue dans le mantra. 2. Les hindous croient en la succession des réincarnations (samsara). Les conditions de la renaissance sont déterminées par le karma, c'est-à-dire la façon dont la vie précédente s'est déroulée. Le samsara n'a, en principe, pas de début et pas de fin. Le seul moyen d'en sortir est d'atteindre la délivrance (moksha) par divers moyens (les margas) dont la méditation et la dévotion.

3 En bref, il ne faut pas utiliser de violence car celle-ci fera de l’ombre sur notre karma et cela se reflètera sur nos autres vies. Avec la pratique de la non-violence on peut s’est de sortir définitivement du cycle des morts et des naissances (saṃsāra) et d'atteindre la libération finale appelée moksha[]. Des bons exemples de cette non-violence nos ont étés donne durant le vingt unième siècle. Trois exemples principaux sont en œuvre en ce moment. La culture de non-violence en France : éducation

Shâkyamuni, aussi appelé Siddharta Gautama. 2. Contenu et croyances spécifiques : Fondé sur les notions indiennes de rétribution (gain accordé à la suite de bonnes actions ou de travail) des actes - Karma - et de cycle des renaissances - Samsâra -, le bouddhisme prône l'acquisition de la vue correcte des choses, soit la perception de la réalité telle qu'elle est, et non pas telle que nous la comprenons sous l'emprise des passions (désir, haine, ignorance). Malgré leur extrême diversité, les