SBF 120

rapprochent de plus en plus du modèle anglo-saxon. Les comités d’audit se multiplient dans les grandes entreprises. 90 % des sociétés du CAC 40 s’étaient dotées de comités d’audit en 2001 ; la proportion étaient de 40 % pour celles qui constituent l’indice SBF 250 (La Tribune, 16/11/2001). Il est question de relever le commissaire aux comptes du secret professionnel à l’égard des membres du comité d’audit (Bancel, 1997). On attend aujourd’hui du commissaire aux comptes qu’il coopère et interagisse de plus

L'Angleterre n'a aucun avantage absolu, ni dans la fabrication de draps, ni de vin. Par contre son désavantage le moins important porte sur la fabrication de draps. Le rapports des productivité est plus proche de 1 pour les draps (90/100) que pour le vin (80/120). selon Ricardo, l'Angleterre doit donc se spécialiser dans la production de draps et le Portugal dans le vin. Chaque pays s'approvisionne dès lors auprès de l'autre pour les biens qu'il ne produit pas. Remarque: la théorie de Ricardo connaît des

expliquer les structures d’endettement mix, mais à suggérer, dans un premier temps, quelques pistes à exploiter dans la suite du travail. La description statistique de l’échantillon composé de 825 observations (soit 165 sociétés françaises cotées sur le SBF 250 sur 5 ans) permet par ailleurs de constater que peu d’entreprises françaises cotées recourent aux emprunts de marché sur la période d’étude, et celles qui le font continuent à se financer auprès des banques. Les premiers éléments d’analyse établis

entreprises choisies parmi les 100 plus grosses capitalisations boursières (autrement dit, la somme des cours des titres cotés) du marché français : il représente près de 70% de la capitalisation boursière de la place de Paris. On peut aussi mentionner le SBF 120, construit à partir des valeurs du CAC 40 auxquelles on ajoute 80 valeurs de l’Eurolist, parmi les plus liquides cotées sur Euronext Paris. IV. Le fonctionnement du marché secondaire : prix et valeur des entreprises Sur les marché financiers, le

  La multiplicité des référentiels internationaux   4 %   La multiplicité des cadres réglementaires locaux   4 %   Autres 2%   Fig.4 : Sondage réalisé par Enablon en 2005 Selon une étude menée par Enablon auprès de 50 entreprises du CAC 40 et du SBF 120, 26% des grands groupes français publient un rapport de développement durable et 63% l'intègrent dans leur rapport financier annuel. Mais ces sociétés se heurtent aux difficultés exposées ci­dessous. Ces dernières devraient peu à peu disparaître avec l'expérience des années :

clarté de la vision stratégique) ; Tempérance (maîtrise des enjeux et contrôle) ; Justice (équilibre shareholders/stakeholders) ; Prudence (gestion des risques). Ne pas attendre Toute entreprise grandit, mais peu atteignent le stade du CAC 40 ou du SBF 250. L’immense majorité des 3 millions d’entreprises recensées par l’INSEE sont familiales et de dimension modeste. La France compte 1 7 COMPORTEMENTS VERTUEUX moins de 2000 groupes employant plus de 300 salariés1, et guère plus de 1 000 sociétés

la confidentialité était une garantie indispensable pour obtenir ces « confidences ». La première tentative, en 1996, d’aborder ce sujet, pour les sociétés du SBF 120, un peu moins d’un an après la publication du premier rapport Viénot, avait pourtant tous les atouts pour réussir : elle avait été négociée avec le CNPF (devenu Medef) et la SBF (Société des Bourses Françaises). Annoncée largement dans la presse elle fut pourtant stoppée avant même d’avoir commencé. A l’époque, de nombreux dirigeants

Salmon France NB : données non consolidées unité : million d’euros / Source : Greffes des tribunaux de commerce Kurt Salmon 160 155 158 140 140 Siège social : 650 Fifth Avenue, 22nd Floor, New York, Etats-Unis 140 127 120 Actionnariat : Filiale de Management Consulting Group PLC (Royaume-Uni) 100 2007 2008 2009 2010 2011 Principaux secteurs d’intervention de Kurt Salmon Services financiers Industrie Communication Distribution

novembre 2007, d’arrêter la rémunération à effet du 1er septembre 2007 du Président du Directoire (Olivier Zarrouati) à 280 000 € et de Maurice Pinault, membre du Directoire, à 240 000 € ; celle de Jean-Louis Gerondeau, membre du Directoire, a été fixée à 120 000 € à effet du 1er décembre 2007. Par ailleurs, pour chacun des membres du Directoire, ce fixe est majoré d’une fraction variable selon les critères suivants : – Olivier ZARROUATI : de 0 à 100 % de la rémunération fixe en fonction de la réalisation

conclusions définitives sur une période données, ou un âge de prédilection entrainant une forte croissance. Le seul point unifiant ces entreprises est leur croissance, près de 7 fois supérieures aux entreprises du CAC 40 et 10 fois aux entreprises du SBF 120. Il est intéressant de comparer ce chiffre avec le taux de rentabilité des fonds de capital risque, fonds qui n’arrivent pas particulièrement à se différencier positivement vis-à-vis de la gestion de portefeuille boursier. Autrement dit, comment les