Scansion

fait appel à l’expérience propre, au langage personnel. Là, elle a constaté une libération. Dans un troisième temps, la rencontre entre ces deux lexiques s’est faite d’elle-même. Les jeunes ont trouvé leur propre écriture avec leurs images et leurs scansions, alors que souvent ils dévalorisent leurs modes d’expression. L’animatrice leur a proposé la lecture et l’explication de textes littéraires. Petit à petit ils se sont appropriés le langage normé. « Il ne faudrait pas que parler de « langage des

Nous assistons déjà au XVIIIe à une historicisation de la tragédie. Or la tragédie va entrer en concurrence avec la notion de drame. Les genres se sont réorganisés d’une manière bien antérieure à celle que la critique a organisée dans les diverses scansions historiques. Dans les années 1805-1815, les grands hommes du théâtre sont Raynouart avec Les Templiers (1805) ou Népomucène Lemercier avec Christophe Colomb (1809), au cours de la représentation de qui on se battit pour un alexandrin, bataille qui

d'interprétation : lorsqu'on voit quelque chose, il nous faut interpréter autre chose, trouver une logique. Cette même idée est ici reprise au vers 1478, on note d'ailleurs un rythme régulier qui se dérègle pour mettre en valeur le terme « sens » (grâce à la scansion) mais qui va rejeter le dernier tronçon de coupe. On a une rupture de l'accent tonique à l'hémistiche, cela est lié à la ponctuation, l'emploi des « : » ouvre une nouvelle idée et donc un nouveau rythme. L'application : [v. 1478-1481] Reprise

Nous assistons déjà au XVIIIe à une historicisation de la tragédie. Or la tragédie va entrer en concurrence avec la notion de drame. Les genres se sont réorganisés d’une manière bien antérieure à celle que la critique a organisée dans les diverses scansions historiques. Dans les années 1805-1815, les grands hommes du théâtre sont Raynouart avec Les Templiers (1805) ou Népomucène Lemercier avec Christophe Colomb (1809), au cours de la représentation de qui on se battit pour un alexandrin, bataille qui

bcp parlé de la miniature persanne > « accessoires » : les o qui façonnèrent sa vision de l'orient relèvent moins de l'art que de l'artisanat : céramiq, tissages - la composition n'est plus centrée sur un motif prédominant mais obtenue par scansions, progressions rythmique : il faudra dc se cantonne dans la bidimensionnalité et exclure le recours à la tridimensionnalité (ombres, perspective) qui enracine, immobilise - ces caractères qu'on retve aussi bien dans le décor d'un plat persan que

succèdent sur la place de Lima. La musique soutient le chœur par une pulsation binaire et une instrumentation soulignant le caractère martial avec la caisse claire, la trompette puis les cuivres, les bois de la petite harmonie. On remarquera la scansion du texte et ses nombreuses répétitions. Après une courte transition sous forme de sonnerie, on bascule dans la parodie avec une pulsation ternaire, et des militaires qui sont la cible des railleries de la foule qui comprend que ce peloton n’attrapera

le souffle. La strophe 3 constitue une rupture en tant qu’elle marque l’apogée de la perturbation : la reprise du vers 6 est prolongée par la rupture rythmique forte du vers 10 organisée autour de la pause forte qu’est la virgule, et autour de la scansion des monosyllabes. La sérénité n’est guère retrouvée que dans la mort, à savoir dans l’immobilité hiératique que suggère le vers 12, articulé en tétramètre régulier (3-3-3-3). Cette sérénité redevient positive dans la strophe finale lorsqu’il s’agit

ENTENDU (Parvenir jusqu’à l’autre) o Le système vocal Le timbre (spectre) L’intensité (force) La fréquence (hauteur) o L’articulation Les consonnes ETRE ECOUTE (maintenir son attention) o o o o o Les attaques La ponctuation Les silences Le débit La scansion (Rythmique) Le début de phrases De l’écrit à l’oral La respiration du texte Les rythmes, les ruptures Le relief des mots ETRE COMPRIS (faciliter sa perception) o o o o Les finales Le vocabulaire La modulation La répétition La fin des phrases Simple

souligné par le contraste de ton entre la question de Candide - « Est-ce M. Vanderdendur qui t'a traité ainsi ? » - (comme pour une question rhétorique), et la réponse dénuée de toute indignation ou de toute révolte de l’esclave, soulignée par la scansion « Oui, Monsieur » Décalage entre la situation extraordinaire dans laquelle apparaît l’esclave et la justification qu’il en donne par une généralité (voir les présents de généralité : « on nous donne », « quand nous travaillons aux sucreries »)

de respiration, notre passage compte seulement 8 point de ponctuation. Avec une multitudes de virgules mais qui se traduisent bien plus par des énumérations que par des pauses dans la narration. On remarque également que les seuls réels marques de scansion dans le récit interviennent avec les parenthèses en effet, à plusieurs reprises la narration est coupée et des détails entre parenthèse sont émis nous avons au début du passage le détail des vêtements « (les souliers noir, les bas noirs, le manteau