Scène nationale

utiliser les objets avec dérision, comme le fait Alfred Jarry dans Ubu roi. Il apparaît aussi une tendance nette à la stylisation des décors, qui se manifeste bien au-delà du mouvement symboliste, notamment dans nombre de réalisations du metteur en scène soviétique Vsevolod Meyerhold. celui-ci ne construit pas plutôt un tableau dont l’ambition est de suggérer l’invisible | | Tous deux réagissent contre le réalisme des décors peints et proposent des éléments suggestifs ou abstraits, 

PLAN DETAILLE L’objectif de l’auteur et du metteur en scène est de reproduire une histoire sur scène et de trouver les ‘ingrédients’ nécessaires pour qu’elle plaise aux spectateurs. Quand un auteur écrit une pièce de théâtre, son entourage, son quotidien en somme, est en général sa principale source d'inspiration. A travers les époques, la séduction a été un thème récurrent. Mais c'est à la naissance du classicisme que la mise en scène de la séduction prend énormément d'importance sous différentes

personnes dans la troupe, comme le metteur en scène, qui aura une place prépondérante puisqu’il s’occupe des comédiens, des décors, des costumes, de l’éclairage, du son… L’insertion d’une personne si importante du fait de ses multiples fonctions peut nous amener à nous demander s’il possède ou non un rôle essentiel dans l’interprétation d’une pièce de théâtre. Dans un premier temps nous nous attacherons à la place substantielle qu’occupe le metteur en scène, et dans un second temps nous verrons que l’interprétation

particulière, et chaque auteur, chaque dramaturge aspire à voir ses pièces représentées. Mais le texte de leurs œuvres est également publié et les lecteurs prennent, eux aussi, plaisir à lire et à relire - souvent sans les avoir vues représentées sur la scène - les grandes pièces de théâtre de la littérature. On peut se demander alors s'il faut assister à sa représentation pour comprendre pleinement une œuvre théâtrale. La lecture ne suffit-elle pas à l'apprécier ? La représentation théâtrale est-elle un

Exposé: Mise en scène des Perses, mise en scène de J. Prat Mise en scène adaptée à la télévision. Éléments théâtraux. Comment les chants, la musique, jeux de voix et de corps vont développer le texte, comment le metteur en scène se sert du texte d'Eschyle pour sa mise en scène. Analyse du traitement du chœur A la manière d'un chœur antique grec Mêmes costumes, masques, font les parties chantées. On a une dimension antique au niveau de tous les personnages, il renvoie à la fonction fictionnel

l’Opéra Garnier à contempler la vue. ‘’Alors, qu’as-tu pensé de cette pièce, intéressante non ?’’ Demande Christian, Marie lui répond qu’elle lui a beaucoup plu : ’’ Cette pièce a bien été jouée, les costumes étaient impressionnants, la mise en scène parfaite, et certains moments me rappelaient étrangement une pièce que nous avons déjà vu ensemble, te rappelles-tu du Bourgeois Gentilhomme ?’’ Christian étonné répond : ‘’Oui, mais dis moi, Quel moment t’as rappelé cette représentation ? ‘’ Marie

un personnage de fiction théâtrale. Transition : L’illusion que Matamore se fait de lui-même est renforcée par une autre illusion : celle que Clindor donne de Matamore. II- DOUBLE JEU DE CLINDOR 1 - Clindor, acteur, spectateur et metteur en scène - Mode injonctif à 2 reprises : Clindor mène le discours de Matamore. Malgré ses courtes répliques, il domine son maître. 2 - Complicité avec le spectateur - Enchaînement des répliques (vers 338 et 339) avec répétition du conditionnel => moquerie

Objet d'étude : théâtre et représentation. Textes : Texte A - Molière (1622 - 1673), extrait de Dom Juan (1665), acte II, scène 4. Texte B - Beaumarchais (1732 - 1799), extrait de Le Mariage de Figaro (1781), acte V, scène 7. Texte C - Edmond Rostand (1866 - 1918), extrait de Cyrano de Bergerac (1897), acte III, scène 10 (vers 1504 - 1539). ÉCRITURE I. Après avoir pris connaissance de l'ensemble des textes, vous répondrez d'abord aux questions suivantes (6 points) 1. Quels

Quelques mois plus tard, Roger Vitrac quitte le Théâtre Alfred Jarry et confie la mise en scène de sa pièce Le Coup de Trafalgar à Marcel Herrand. Artaud accuse Vitrac de trahison : « Entre le surréalisme gratuit mais poétique des Mystères de l'amour et la satire explicite d'une pièce de boulevard ordinaire, Roger Vitrac n'a pas su choisir ; et sa pièce sent le parisianisme, l'actualité, le boulevard. [...] La pièce porte la peine d'appartenir à un système et à un monde condamné, et elle doit disparaître

sur cette pièce ? Je ne sais plus vraiment, les premières répétitions ont débuté il y a plus de cinq mois. Mais, depuis trois mois les répétitions étaient devenues plus longues, et plus intenses, grâce à l’aide d’ Alain Garichot, notre metteur en scène. J’avais déjà joué cette pièce, quatre ans auparavant, avec François Le Roux au Musée d’Orsay Pensez vous avoir eut quelques difficultés pendant ces répétitions ? Pas vraiment, je suis vite rentré dans le personnage de Mélisande. Pensez-vous