Scène primitive

lequel Victor Hugo associe l'amour et les intrigues de la politique, dans le but de dénoncer la cupidité d'un gouvernement. La scène 1 de l'acte premier de Ruy Blas est la scène d'exposition de la pièce. Il est ainsi possible d'étudier les éléments qui font de cette scène une scène d'exposition, puis de repérer une première esquisse d'un des personnages principaux. Cette scène d'exposition informe en effet sur le contexte de l'action : le moment : « le jour va naître », le lieu (grâce aux didascalies

femme et ses enfants. Flaherty avait l’habitude de projeter son film aux esquimaux pour leur demander leur avis. Nanouk a-t-il vraiment tué le phoque ? Non, en réalité, le phoque était déjà mort. C’est une scène mise en scène pour le film. Il y a d’autres éléments de mise en scène comme le casting : Flaherty a demandé aux esquimaux de s’habiller de fourrures alors qu’ils n’en portaient plus. Il a essayé de trouver la famille parfaite et a pris Nanouk (ce n’est pas son vrai nom). Il a créé une

La représentation de l’argent dans l’art : Moyen Âge au 19e siècle   La peinture de genre Le thème de l’argent (et ses corrélats : richesse, pauvreté, vanité …) apparaît surtout dans la peinture « de genre ». La notion de peinture de genre concerne une catégorie picturale montrant des scènes de la vie quotidienne et des sujets inspirés par le spectacle des mœurs contemporaines. Au Au Moyen-Âge, les représentations de la vie domestique apparaissent comme des détails accessoires et marginaux

EXPLICATION DU PASSAGE Introduction Dès la première scène se dessinait un processus de renversement d'ordre social, entre Iphicrate et Arlequin, avec la désobéissance de plus en plus marquée du valet. Ce renversement est au centre de la seconde scène et se matérialise en particulier grâce au changement d'identité entre les deux personnages, imposé par Trivelin. Ce dernier va très vite devenir, tant aux yeux des autres personnages qu'à ceux du spectateur, la clé de voûte de l'évolution des relations

théâtrale est double et varie selon la personne a qui il est destine. L’une des parties du texte est destinée aux lecteurs, comporte des éléments qui permettent d’interpréter l’histoire, d’imaginer tout ce qui entoure le texte et qui se sera dit sur scène. Elle contient les répliques des personnages et les didascalies. L’autre partie du texte est destinée aux spectateurs, certaines parties du texte écrit disparaissent à la représentation comme la marque des divisions en actes et en scènes ainsi que

DON JUAN de Molière La mise en scène • En général Le metteur en scène Cyril Le Grix propose une mise en scène originale de Dom Juan. En effet, il axe le pièce sur deux sur deux directions : la réflexion du héros (conversion au catholicisme pour ainsi éviter de pécher) et l’image de la maturité et même de la vieillesse. Pour ce faire, et pour utiliser moins d’acteurs, il abrège considérablement la pièce, qui fait disparaître environ une heure du texte. • Les décors et costumes Les

Une fête pour Boris Thomas BERNHARD Mise en scène Denis MARLEAU Théâtre des Salins Martigues - 13 Novembre 2009 Sur scène, trois personnages: la bonne dame, cul de jatte(Christiane Pasquier), Johanna, dame de compagnie de la bonne dame( Guy Pion et Sébastien Dodge ) et Boris, mari de la bonne dame, cul de jatte .( Guy Pion). La pièce comporte trois parties. Dans la première partie la bonne dame monologue et se costume devant sa spectatrice Johanna, silencieuse et obéissante. Elle essaye

les répliques. didascalie : indication de mise en scène réplique : parole des personnages aparté : personnage qui s'adresse à lui-même une observation que ses interlocuteurs, présents sur scène, sont supposés ne pas entendre et que le public entend tirade : longue réplique prononcée sans interruption stichomythie : succession de réplique brèves traduisant un conflit double énonciation : les personnages échangent sur scène des paroles mais ces paroles sont également destinées

l’épée révèle sa grandeur. Dans Ruy Blas, Don César est déguenillé, mais il conserve néanmoins son beau pourpoint. On en déduit qu’il est un noble déchu. Si la détermination de l’époque par le costume n’est pas toujours facilitée par le metteur en scène, elle reste relativement possible. Et lorsqu’elle ne l’est pas, c’est que le cadre temporel n’a pas d’importance à ses yeux. Une pièce absurde comme La Cantatrice Chauve, par exemple, voit ses costumes évoluer au fil des décennies : ce sont ceux de

d’acteur poignant de sincérité avec pour chacun des intervenant une place bien définie dans la vivante mise en scène de Jean-Luc Paliès. L’homogénéité du jeu des acteurs sert un sujet grave dans lequel le rire n’est pas oublié. Malgré tout et en dépit des efforts fournis par les comédiens, mon regard est mitigé et je regrette notamment la négligence de certains détails dans la mise en scène tel que la présence de la fanfare tout au long du récit qui n’est pas suffisamment exploité d’après moi. En effet