Schema Du Rein

C.f Schéma Depuis l’Antiquité, l’homme a appris à utiliser son environnement à son avantage. L’une des composante de l’environnement et qui est notre sujet de TPE est le son. L’homme a « apprivoisé » le son pour l’utiliser dans différents domaines comme la médecine, l’astronomie et la technologie. Nous allons montrer dans cet axe les différentes utilisations du son par l’homme. I-Dans la médecine : Depuis le XIX ème siècle, les médecins écoute les bruits pulmonaires et cardiaques à l’aide de

des vies [pic] Sommaire : 1) Les greffes ou transplantations grâce aux dons 2) Les maladies incurables et les malformations  3) Transfusions de produits sanguins 4) Les prélèvements d’organes 5) Conclusion 6) Schéma bilan 7) Sources des documents |1) Les greffes ou transplantations grâce aux dons : | Les greffes ou les transplantations: elles signifient que l’on remplace

RENALE I - INTRODUCTION La binéphrectomie = coma urémique dû à une rétention de: - métabolites (urée, ac. urique, créat.) - substances toxiques mort L’insuffisance rén. chronique l’hémodialyse 2. I- FONCTIONS DU REIN Le rein forme et excrète l'urine = solution aqueuse Chez l'homme, le rein exerce des fonctions importantes pour l’organisme: -L'excrétion sélective -La régulation de l'homéostasie hydro-électrolytique -Fonction de régulation de la pression artérielle Fonction -Fonction endocrine -Catabolisme

la taille des particules formées 3/-rétention de la phase insoluble à un niveau quelconque des vois excrétrices 4/-croissance du calcul à partir du nucleus constitué *schéma des principes étapes de la lithogenèse 3-les différents types de la lithiase *tableau des principaux types de la lithiase

vaisseaux et va partout entre les cellules. Elle entraine avec elle les globules blancs dont le rôle est de lutter contre les infections. Les globules rouges, eux ne peuvent pas passer à travers les capillaires sanguins, ils restent dans le sang. Schéma : le renouvellement de la lymphe a partir su sang : Poussé par la pression sanguine, le plasma sort des capillaires sanguins et s’accumule entre les cellules : c’est la lymphe interstitielle. La majeure partie de cette lymphe regagne les capillaires

Rôle du foie : A- Glycogénosynthèse B- Glycogénolyse C- Néoglucogenèse II- Tissu adipeux : III- Muscle IV- Rein V- Milieu interstitiel REGULATION HORMONALE : I- Insuline II- Hormones hyperglycémiantes A- Adrénaline B- Glucagon C- GH D- Autres III- Rôle d’AMPc intracellulaire IV- Régulation des sécrétions hormonales REGULATION NERVEUSE I- SN sympathique II- SN parasympathique SCHEMA GLOBAL DE REGULATION GLYCEMIQUE CONCLUSION 1 REGULATION DE LA GLYCEMIE Dr Omar DAHMANI, Dr Amal BELCAID

II) Anti-cochlée (collagène II) Maladie d’Addison Maladie de Cushing Amenorrhée primitive Ménopause précoce Stérilité Nanisme hypophysaire FOIE Hépatite autoimmune I Hépatite autoimmune I I Cirrhose biliaire primitive Cholangite sclérosante REIN Anticorps Anti-Actine Anti-LKM – Anti-cytosol (cytochrome P450, LC1) Anti-mitochondrie M2 (Pyruvate-déshydrogénase) pANCA (NANA) Syndrome de Goodpasture GNP Microangiopathique Maladie de Berger Nephrite intersticielle Anticorps Anti-membrane

rejettent du dioxyde de carbone. |muscle vivant |rein…) |court (5 min) : texte à trous, définition | | | | |Ou I- A partir d’un doc du livre (graphique de la consommation O2 belin p.52 ou|d’un mot scientifique, schéma à annoter etc… | | | |

cause du cancer des poumons. Et plus vous fumez de cigarettes et plus vous fumez longtemps, plus les risques augmentent. Le tabagisme augmente également les risques de cancer de la vessie, du col de l'utérus, du côlon et rectum, de l'oesophage, du rein, etc. Aussi, le tabagisme contribue à l'augmentation des maladies cardiovasculaires. Il augmente le rythme cardiaque et il réduit le volume des vaisseaux sanguins. On ne compte que des désavantages dans le fait de fumer. De plus, la cigarette ne donne

biologistes, pour lesquels la transplantation de rein, choisie comme banc d’essai des transplantations d’organes, ne pouvait être envisagée qu’une fois résolu le problème fondamental de la tolérance des greffes, celle des médecins, pour lesquels on pouvait raisonnablement parier que des essais cliniques scientifiquement contrôlés pouvaient être aussi riches en informations que des études de biologie fondamentale. En 1952, la survie à 21 jours d’une allogreffe de rein d’un donneur vivant, mère du receveur,