Schéma Narratif Père Goriot

ceux de Proust. Génial, pas d’autres mots. « Noms de pays : nom » est de la même veine. Le premier amour, le doute, la souffrance. L’écriture toujours aussi magistrale sert admirablement l’esprit du narrateur. « Un amour de Swann » est plus narratif, plus constitutif de l’histoire. L’amour, la jalousie et la détresse parsèment ces pages. Tout en restant plaisante et maîtrisée, on se permet de l’imaginer utile au récit, elle n’en reste pas moins envoûtante ! Description du texte Du côté de

sa chair (« joues pleines », « muscles ronds et développés ») voire sa bestialité (« cou large et court, gras et puissant », tel un taureau, « [il] aurait pu assommer un bœuf »). Sur le plan moral, Laurent apparaît comme un homme qui ose défier son père (p. 43), qui assume sa paresse (p. 44) et qui fréquente les femmes (p. 45) : il est donc l’exact opposé de Camille. © Éditions Belin/Éditions Gallimard. culier l’hérédité. Montrez comment les origines de Thérèse expliquent son tempérament nerveux

social…). 3. a. Quelles remarques faites-vous sur la compo- sition du tableau, le trait du dessin (précision des contours), les couleurs, le traitement de la robe ? b. Quelle image le peintre donne-t-il de ce couple ? 4. Imaginez un court passage narratif dont ce tableau serait l’illustration. LIRE L’IMAGE < Pierre Auguste Renoir (1841-1919), Danse à la ville (1883), Suzanne Valadon (modèle professionnel) et Paul Lhote (ami du peintre), huile sur toile, 1,80 x 0,90 m (musée d’Orsay, Paris)

deux héros, comparer deux personnages ; comparer deux versions d’un même conte pour distinguer les types, l’aire culturelle et la fonction (analyse interculturelle) ; I- 3 - Produire un début de conte, une suite de conte, un conte sur la base d’un schéma (écriture d’invention). I-4 - Recueillir un conte en langue nationale et le traduire en français I-5 - Mettre en scène un conte I-6- Ecrire et dire des contes II - LA NOUVELLE 2-1- Lire une nouvelle 2-2- Caractériser l’atmosphère d’une nouvelle

souche, ascendant aristocratique, même si son père fut fait Comte d’Empire, mais ce titre n’a pas été validé par la Restauration. Ils font part à l’expression d’un désir d’appartenance à l’aristocratie. Au XIXe siècle, le fait d’être écrivain n’est pas un statut social, n’est pas un métier. Victor Hugo va s’efforcer d’obtenir ce statut, veut se mettre sur un pied d’égalité avec Lamartine, De Vigny, etc. Hugo est on ne peut plus bourgeois par son père qui n’avait, à part ce titre d’empire, pour noblesse

d’action Personnages - le héros : personnage de l’univers social - des êtres imaginaires : fées, sorcières, ogres, magiciens Le merveilleux êtres surnaturels, situations féeriques La structure : -Formules d’ouverture et de clôture ; -Schéma narratif - Marques de l’oralité : répétition d’actions, d’évènements, de phrases - Les fables sont brèves, en vers, de forme narrative, mettant en scène des êtres humains ou des animaux. -Elles critiquent la vie sociale et politique - Les

| | |Étude du point de vue, etc. | |Narratologie |Étude de la structure du récit (schéma narratif). | | |Caractérisation des personnages et des lieux. | | |Étude du système des personnages.

Grand Michu » celui de l’œuvre complète Nouveaux contes à Ninon sa date de parution, 1874 trois notes pour expliquer les mots « dégrossi », « conscrit », « deux mille vers ». 1- Les informations fournies par le paratexte sont : - Ce texte est narratif ; il s’agit du genre de la nouvelle : c’est un récit bref, centré autour d’une action principale et contenant peu de personnages. 3- a) Le premier texte est un extrait de pièce de théâtre. Les indices sont : le numéro de la scène, le nom des personnages

restent ceux du mélodrame où abondent les invraisemblances et l’arbitraire de l’intrigue. Les antithèses entre deux personnages et entre les deux visages du même personnage sont forcées et abstraites. Hernani est le bandit honnête homme, Triboulet est le père tendre et le bouffon méchant. Ce sont des personnages à psychologie sommaire auxquels il manque la complexité qui les aurait rendu vraisemblables. L’essentiel pour Victor Hugo c’est d’illustrer telle ou telle thèse morale comme il le dit dans la Préface

toute dernière strophe. Sa construction est à la fois rhétorique (les parallélismes, l’explication finale) et poétique (expansions métaphoriques de plus en plus amples). Si l’on se fie aux longueurs respectives des différentes strophes, la courbe d’un schéma déceptif est repérable : expansion croissante jusqu’à la troisième strophe, puis retombée de l’exaltation. Le récit commence comme un conte empreint de merveilleux, se poursuit comme un discours recensant les éléments du spleen en tant qu’inspiration