Schéma Narratif écume Des Jours

est plus merveilleuse dans la réécriture grâce à ce changement de personnages. Cependant ce n’est pas le seul facteur. 2- Le schéma narratif Nous pouvons constater que l’histoire est en partie modifiée. Le schéma narratif reste globalement le même de la situation initial à la moitié des péripéties. Donc en effet, le schéma actanciel est aussi en partie le même (voir feuilles annexes « Synopsis ») « Le personnage Ariel vit au fond des océans et désire aller et

Art : Théologie • Personnages : Télémaque - Antinoos - Mentor - Pallas - Pénélope - La suite • Correspondance : o Stephen - Télémaque - Hamlet o Buck Mulligan - Antinoos o Laitière - Mentor • Technique : Dialogue - Soliloque - Narration - Narratif (jeune) • Symbole : Hamlet - Irlande - Stephen - Héritier • Sens : Le fils dépossédé en pleine lutte Résumé[modifier] Il est huit heures le 16 juin 1904 lorsque Buck Mulligan, un étudiant en médecine grossier et blasphémateur, commence à se raser

_______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ 14. Résume l’histoire en quelques lignes en respectant le schéma narratif. __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

viril de son père et le rejeta derrière lui. (…)nouveau avec l'acier le membre qu'il avait coupé déjà et le lança du rivage dans les vagues agitées de Pontus : la mer le soutint longtemps, et de ce débris d'un corps immortel jaillit une blanche écume d'où naquit une jeune fille qui fut d'abord portée vers la divine Cythère et de là parvint jusqu'à Chypre entourée de flots. Bientôt, déesse ravissante de beauté, elle s'élança sur la rive, et le gazon fleurit sous ses pieds délicats. Les dieux et

linéaire, chronologique, et à des descriptions savoureuses ou cruelles, mais réalistes. Un tel lecteur ne peut être que déconcerté par un roman où les descriptions sont rares, où les récits sont multiples et enchevêtrés, tout comme les points de vue narratifs, où les chronologies ne semblent pas respectées, où certains passages sont répétés. Et certes la description réaliste ou le récit linéaire ou chronologique ne sont pas les visées essentielles de Kateb Yacine, lequel ne nous raconte pas non plus la

linéaire, chronologique, et à des descriptions savoureuses ou cruelles, mais réalistes. Un tel lecteur ne peut être que déconcerté par un roman où les descriptions sont rares, où les récits sont multiples et enchevêtrés, tout comme les points de vue narratifs, où les chronologies ne semblent pas respectées, où certains passages sont répétés. Et certes la description réaliste ou le récit linéaire ou chronologique ne sont pas les visées essentielles de Kateb Yacine, lequel ne nous raconte pas non plus la

perpétuelle) l'érige comme une production de l'inconscient et comme résultat du spontané. L'œuvre de Proust provient d'un travail préliminaire, et la raison réside dans le fait qu'il n'a pas publié d’œuvres antérieures. Notons que Les Plaisirs et les Jours n’est qu’un recueil de jeunesse, publié avant que Proust ne prenne de décision à la rédaction de la Recherche.4 Le chef-d’œuvre proustien est à lire comme un livre conçu comme unité, allant d'un point initial à un autre final dans une logique et une

Énée. Des débuts agités Créée le vendredi 1er janvier 1677 sous le titre Phèdre et Hippolyte sur la scène de l'Hôtel de Bourgogne, la tragédie de Racine a aussitôt subi la concurrence d'une autre Phèdre et Hippolyte due à Nicolas Pradon et créée deux jours plus tard sur la scène du théâtre de l'Hôtel Guénégaud4. La pièce de Pradon sembla d'abord avoir les faveurs du public, la confrontation tourna cependant rapidement à l'avantage de Racine, et la pièce de Pradon fut oubliée au bout de quelques mois5

. . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ½¾ Les annales corrigées Le discours narratif 139 141 ½ ½ ½ ¼ ½ ½ ½ Sujet 1 • Texte d’Arthur Ténor (séries tech. et prof., juin 2007) . . Sujet 2 • Texte de Victor Hugo (série collège, juin 2007) . . . . . Sujet 3 • Texte de Michel Piquemal (série collège, juin 2007) . . . Sujet 4 •

la première personne du pluriel, dans laquelle il s’inclut nécessairement (nous/notre/nos/le nôtre/la nôtre/les nôtres). Dans un message, le nous peut insister sur le travail collectif d’une entreprise (« nous, chez X, nous travaillons tous les jours pour votre avenir »), mais il peut aussi impliquer le destinataire et le relier grammaticalement au locuteur (par exemple dans un tract syndical, dont le titre serait quelque chose comme « Tous ensemble, nous pouvons pousser le gouvernement à changer