Science auxiliaire de l'histoire

évolue-t-il ? En français, le mot comptabilité a progressivement remplacé celui de tenue des livres au début du XIXe siècle. Puis, des adjectifs se sont ajoutés (comptabilité commerciale, comptabilité industrielle, comptabilité générale, comptabilité auxiliaire etc.) au moment où une division du travail s’instaurait dans les tous nouveaux services comptables. En même temps, quand ces services se sont généralisés (vers la fin du XIXe siècle), le mot comptabilité a pris par métonymie le sens de service comptable

L’histoire est à la fois l’étude des faits, des événements du passé et, par synecdoque, leur ensemble. L'histoire est un récit, elle est la construction d'une image du passé par des hommes et des femmes (les historiens et historiennes) qui tentent de décrire, d'expliquer ou de faire revivre des temps révolus. Ce récit historique n'est pas construit par intuition intellectuelle, mais à partir de sources. L'histoire s'attache avec ces sources à reconstruire plusieurs pans du passé. Au cours des siècles

échanges entre les formateurs/enseignants et élèves/stagiaires. Aujourd’hui l’éducation ne se limite pas à l’école, l’éducation concerne tout le monde et tous les âges. Elle se réalise en permanence. III/ Les sciences de l’éducation et la psychopédagogie Il existe plusieurs sciences de l’éducation : La sociologie de l’éducation : c’est un domaine particulier de la sociologie qui s’intéresse aux institutions, aux systèmes scolaire et aux formations et à l’ensemble des aspects sociaux de l’éducation

CHAPITRE II L’HISTOIRE SE VEUT UNE SCIENCE (SECONDE MOITIE DU XIX SIECLE) L’école méthodique s’inspire des pratiques du positivisme. Cette « école » domine l’historiographie à partir des années 1870 et son expansion est favorisée par les progrès de la science. Cependant de 1860 à 1875 un petit groupe d’historien H.Taine, Renan et Fustel de Coulanges ont été très critiqué. → l’historiographie les réhabilite aujourd’hui I. Les remises en cause de l’histoire romantique Auguste Comte (1798-1827)

de les sélectionner, d'en proposer une lecture. Épistémologie : s'interroger sur la façon dont on fait une science. L'épistémologie apparaît au XIX, époque du positivisme, car la crédibilité de l'histoire est remise en cause. 1 ère quest° : « quel est l'objectif de l'hist ? » . L'histoire s'applique exclusivement à la politique et à la diplomatie jusuq'au XIX où on fait de l'histoire grâce à des « sources ». 2 ème quest° : « comment utiliser les sources ? ». Il faut établir un protocole par

Semestre 1 Initiation à l’histoire contemporaine ème L’Europe politique au 19 siècle UEF 2 – Semestre 1 Initiation à l’histoire moderne Louis XIV et 20 millions de Français UEF 3 – Semestre 1 Introduction à l’histoire économique et sociale Les ouvriers dans la société française au 19è S. UEM 1 – Semestre 1 Méthodologie disciplinaire UEM 2 – Semestre 1 Méthodologie Professionnelle Projet professionnel (SCD – SUIO) Méthodologie informatique UEF 1 – Semestre 2 Initiation à l’histoire ancienne Cadres politiques

L’histoire est à la fois l’étude des faits, des événements du passé et, par synecdoque, leur ensemble. L'histoire est un récit, elle est la construction d'une image du passé par des hommes et des femmes (les historiens et historiennes) qui tentent de décrire, d'expliquer ou de faire revivre des temps révolus. Ce récit historique n'est pas construit par intuition intellectuelle, mais à partir de sources. L'histoire s'attache avec ces sources à reconstruire plusieurs pans du passé. Au cours des siècles

L'introduction au droit à traditionnellement un important contenu technique, nous y viendront dans un second temps mais avant de l'aborder. Il faut tout d'abord dans un chapitre préliminaire définir la notion de droit I), et présenté les sciences auxiliaires du droit II). Chapitre préliminaire. I) La notion de droit. 1-distinction entre le droit et d’autres règles obligatoires. Le droit être distingué des règles obligatoires, qui viennent de la religion, la morale

devenus princes par scélératesses et des monarchies ecclésiastiques. Dans la seconde partie, Machiavel s’intéresse aux armes, thème récurrent dans ses écrits. Il fait la distinction entre armes propres, auxiliaires ou mercenaires. Il écrit ainsi au chapitre XI : « les [armes] mercenaires et auxiliaires sont inutiles et dangereuses ». Le prince aux yeux de Machiavel a une fonction principale : la guerre. D’où le fait que dans son ouvrage il y consacre une partie importante. Il écrit au chapitre XV que

analyse de la question, qui fonde le sérieux de l’histoire, permet d’apporter un premier éclairage à la question récurrente de l’objectivité en histoire. Plutôt que d’objectivité, mieux vaudrait parler d’impartialité et de vérité. Or elles ne peuvent qu’être laborieusement conquises par la démarche de l’historien. Elles sont au terme de son travail, pas à son commencement. Ce qui renforce l’importance des règles de la méthode Comment faire apparaitre l’histoire de façon la plus exacte possible? Peut-elle