Science Immorale

y avoir de science immorale" Henri Poincaré La cohabitation de l’homme en une société opposant intérêt privé et intérêt collectif, et son évolution grâce à son environnement, ont très tôt posé le problème de la moralité du progrès scientifique. Pour bien appréhender cette phrase, une compréhension claire des divers concepts est nécessaire. Poincaré, dans sa légendaire connaissance des sciences, n’a pas rejeté les aspects moins théoriques de la science. La philosophie de la science l’a toujours

sont comme la clé. Pourtant, l’existence de ces lois va-t-elle de soi ? Cette question peut surprendre. Les sciences n’ont-elles pas fait la preuve de leur efficacité ? Certes, elles ont fourni la preuve de leur efficacité ; elles sont au sens propre efficaces c’est-à-dire qu’elles permettent mieux qu’aucune autre théorie d’agir. Le critère de « vérité », la caution des sciences, c’est leur efficacité ; si bien que l’on pourrait dire: ‘savoir, c’est pouvoir agir’. Or, il y a là un glissement

humaine. Alors est-ce qu’un mécanisme qui évolue sans cesse ne perturbe pas les conditions de vie de l’Homme ? Est-ce que ces mêmes mécanismes peuvent devenir dangereux pour l’humanité et son environnement ? L’Homme utilise ses connaissances de la science pour acquérir un savoir faire afin de donner lieu à des méthodes que l’on va suivre, mais celles-ci changent sans arrêt aujourd’hui. Nous appliquons ces procédés pour s’intégrer dans la société et y survivre mais sont-ils vraiment bénéfiques à l’avancé

dites-moi si la science peut faire mieux. Aujourd’hui, la science, la philosophie et la religion font de grands débats. Les gens argumentent sur celle-ci en ne sachant plus sur quoi se baser pour vivre. Les trois domaines se touchent parfois, mais c’est justement ça qui cause le problème. La société d’aujourd’hui ne sait plus sur quoi se baser pour fonder leurs valeurs et leurs principes. Un texte religieux ne peut pas être compris comme la source de notre moralité. La science peut faire mieux

hommes politiques comme des personnes peu scrupuleuses, et qui, facilement abusent de leur pouvoir. La politique est-elle en ce sens morale ? Et que serait un dirigeant immoral ? On peut penser qu'une telle personne ne serait pas soutenue par son peuple ou on pourrait s’attendre à ce que les votes ne favorisent pas une personne immorale. Parce qu’elle permet de vivre ensemble, la morale à un rôle de politique de l’ordinaire. Mais la politique confronte celui qui la dirige à des situations qui n’ont rien

AUBRUN Camille 1ère ES/L 03 Dissertation de Français La morale se définie, à l’époque, comme la « doctrine des mœurs », elle est aussi définie comme science ou comme connaissance des conduites humaines en rapport avec le bien et le mal. La morale est composée de généralités susceptibles d’être exprimées sous la forme de règles, de principes et de maximes. Elle renvoie donc à une perspective de jugement et éventuellement de prescription. De la désignation, de la pratique des vertus et d’une

humains dans le cadre de la recherche médicale? Pour prendre position il faut d’abord considérer les nombreux dilemmes moraux tel que le respect de ses droits constitutionnels, le fait d'instrumentaliser une vie et surtout le danger d’utilisation d’un science incertaine. Tout d’abord définissons ce qu’est l’embryon humain. L’embryon est un tissu fœtal que l’on peut obtenir soit par avortement thérapeutique ou par fécondation artificielle. C’est donc un foetus humain au premier stade de développement

d'un savoir d'expérience et d'un savoir pratique. Aristote soutient cet aspect. En effet, pour lui la politique est une science. L'objet de cette science est la bonne constitution, c'est-à-dire la constitution la plus juste en fonction du peuple à laquelle elle s'adresse. Cette science recouvre la mise en place de cette constitution ainsi que son maintient. La méthode de cette science se rapproche de l'idée que l'histoire à quelle que chose à nous apprendre malgré le fait qu'à chaque peuple correspond

connaissances supérieures. La morale est un préalable pour la liberté, puisqu’en connaissant la valeur d’un choix ou d’une action, la personne est libre de poser le bon acte, de prendre la bonne décision. Si la liberté signifie le pouvoir de choisir, un être immoral n’as pas cette capacité puisqu’il ne sait tout simplement comment faire le bon choix pour lui. Par exemple, pour un étudiant talentueux au cégep qui a tout l’avenir devant lui, s’il n’est pas doté d’une bonne morale, lorsque viendra le temps de choisir

savoir ne doit pas être toléré, au contraire, il doit être éradiqué. C'est en effet, une tare c'est-à-dire un défaut qui déprécie à la fois, le travail fait et celui qui le fait. C'est surtout, une attitude immorale qui piétine les fondements essentiels de l'éducation, de la science et de la justice. Alors, il me semble, qu'au lieu de légitimer ou de consacrer la promotion scolaire, universitaire, scientifique professionnelle et sociale sur la base de l'effort et du mérite, on favorise