Scientisme

tel point qu'il est quelque peu abusif d'inclure la tradition autrichienne dans l'école néoclassique. Le contexte est celui du tournant de la révolution industrielle (on parle parfois de deuxième révolution industrielle) mais aussi du triomphe du scientisme. La théorie est donc compréhensible dans le cadre des crises récurrentes au XIX°. La perspective historique est de construire l’économie politique sur de nouvelles bases. La pensée néo-classique cherche à donner une légitimité scientifique à l’économie

sont égoïste selon Keynes (le comportement individuel prime sur le comportement collectif) - Marx va décrire les comportements des groupes (lutte des classes entre prolétariat et patronat par exemple) - Les néoclassiques vont pousser à l'extrême le scientisme et prétendant trouver les lois naturelles du comportement économique. Ils prétendent que les lois sociales sont des lois naturelles qui s'impose à l'homme sans modification possible. Il y a de plus un fort déterminisme dans cette vision de l'homme

mesurer les jugements de goût à l'aide de questionnaires. (Cours élémentaires d’esthétique, 1876) En 1879, dans la vision du jour contre la vision de la nuit, il oppose sa vision du monde panthéiste, lumineuse, à la conception grise, nocturne, du scientisme. Parallélisme et Psychophysique Point de départ de Fechner : Thèse philosophique, Parallélisme psychophysique « Pour nous, comme pour Leibniz, chaque fois qu’un processus se déroule dans l’esprit, un processus correspondant se déroule dans

était très conscient qu’il s’agit d’une conclusion très grave quand «nous» réalisons que les scientifiques sont devenus des décideurs dans la société de consommation ou même des conseillers des politiques- et il est très pessimiste sur la valeur du «scientisme»). Au cours de ce parcours, il abandonné beaucoup de ses collègues le long du chemin qui abandonnaient la rcherche pour la vérité (comme si ils arrivaient à des limites). L’auteur explique qu’il a vécu cette «solitude hautaine et désespérée»

La naissance du concept de Réalisme est étroitement liée à l’évolution de l’Histoire, de la Sociologie et des Idéologies de la seconde moitié du 19e siècle, ainsi qu’à la montée parallèle de la démocratie et du libéralisme d’un côté et le scientisme de l’autre. Aussi le Réalisme naquit du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique. C’est d’ailleurs autour de cette question de bouleversement sociopolitique que se fait vers 1850 le passage entre l’âge romantique et la génération dite

distinction entre naturalisme méthodologique et philosophique, qui font de l’athéisme un positionnement métaphysique (certes assez défendable), sont simplement malvenues... Cette tradition est sans aucun doute la digne héritière du positivisme et du scientisme. Plus récemment, le livre de Stephen  Hawking et Leonard Modlinov “Le grand design” propose lui aussi une thèse anti-philosophique en soutenant qu’aujourd’hui la philosophie inutile, dépassée par les sciences qui seules nous permettent d’en savoir

engendre sa propre contradiction, le prolétariat. - L’individu et la raison : Avant le XIXème, les actions des individus étaient dictées par la religion. Mais au fil du temps, l’intérêt individuel va primer sur la providence divine. L’hédonisme et le scientisme vont être remis en cause, alors que la rationalisation préconisée par Taylor restera l’idée forte de la révolution industrielle. Ensuite, dans un second temps, l’auteur nous parle de l’évolution du travail dans l’entreprise. Philippe BERNOUX

Elle est parfois contradictoire et même polémique. La vérité scientifique apparaît elle aussi comme locale dans un émiettement et une relativisation des savoirs. Chaque gouvernement exhibe ses experts mais pour faire des politiques opposées. Le scientisme apparaît comme une idéologie au service des savants ou des pouvoirs techno-industriels plutôt que guidé par la santé publique et le souci d’une recherche fondamentale désintéressée. La recherche en psychiatrie et la « formation » des médecins est

irréfutable par l'expérience, l'évidence expérimentale rompt avec la culture de l'argumentation où il s'agit de déterminer ensemble la nature d'un fait. Cette nouvelle culture devra coexister avec celle de l'argumentation toujours répandue malgré le scientisme au XIXe et le marxisme. Le développement de l'imprimerie, l'amélioration des transports et voies de communication physiques, le développement du service postal et la formation d'une "opinion" ont contribué au développement du journal au XVIIe siècle

et celle de la pensée comme le fait d’un dessein providentiel voire sotériologique. Chemin faisant, il me faut donc avoir recourt à la symbolique sauf à abandonner mes recherches et à rester, stricto sensu, dans un rêche matérialisme entaché de scientisme. À ce point de ma réflexion, j’accorderais volontiers à l’Arbre des Sephiroth une vertu fondamentale, celle de pouvoir servir d’appui à une réflexion permettant à tout moment de s’évader de la vie courante pour conduire la pensée vers les sphères