Scintigraphie

lombaire . Clinique : douleur locale , avec / sans irradiation sciatique - rigidité segmentaire – douleur à la pression des apophyse épineuse . Radio : après 3 – 5 semaines pincement discale, érosion marginale ,des corps vertébrale voire même. Scintigraphie ; scanner ; IRM : permettent un DC précoce et objective les images de reconstruction osseuses .sacro-ileite : douleur locale, boiterie, difficulté à la marche. Radio : élargissement flou de l’inter ligne articulaire

du ciel…. Dans les laboratoires, elle permet : - l’identification des molécules - la détermination des structures - l’étude des cinétiques de réaction - la détermination des mécanismes réactionnels - les dosages - les analyses médicales (IRM, scintigraphie, mammographie…) Elle connaît aussi des applications importantes en astrochimie. III - INTERACTION RAYONNEMENT-MATIERE III.1 - Rayonnement - Nature ondulatoire : Un rayonnement électromagnétique (ou radiation électromagnétique) est une onde constituée

d’hospitalisation est décelé après ECG, analyse sanguine et coronarographie un infarctus du myocarde puisque ces plaques d’athérome se trouvaient dans les artères coronaire alimentant la région du myocarde. 1.4 CORONAROGRAPHIE : La coronarographie ou scintigraphie cardiaque est une examen d’imagerie médicale contre indiqué chez la femme enceinte. Cet technique procède par injection d’une substance spécifique de type « traceur » superposé à un élément radioactif qui va se fixer au myocarde puis libérer

substances radioactives dans l'air ; • Par ingestion de produits contaminés (par exemple des aliments) ; • Par pénétration transcutanée d'une contamination externe (par exemple en cas de blessure ou de plaie) ; • Lors d'un examen médical : diagnostic, scintigraphie (dans ce cas, l'image de l'organe est obtenue grâce à l'émission g du radioélément injecté), radiothérapie métabolique avec injection de substances radioactives. L'exposition interne dure tant que les substances radioactives demeurent dans le corps

thoracique signes d'insuffisance cardiaque, par exemple essoufflement (dyspnée) Précisé par des examens complémentaires non invasifs: Electrocardiogramme de repos Electrocardiogramme d'effort (épreuve d'effort) Scintigraphie myocardique échocardiographie de stress Confirmé par essentiellement la coronarographie, plus rarement, tout au moins pour le moment, le scanner thoracique multi barrettes. Traitement Il peut être :

Des examens permettent d’apprécier l’extension du cancer aux organes voisins afin d’envisager les possibilités chirurgicales éventuelles et les traitements médicaux complémentaires : > L’échographie hépatique à la recherche de métastases ; > La scintigraphie osseuse pour voir d‘éventuelles localisations osseuses de la maladie ; > L’échographie endo-oesophagienne pour apprécier l’extension à l’œsophage et aux vaisseaux du cœur ; > L’angiographie vérifiant la connexion de la tumeur avec l’aorte* et les

plus de 50 ans, et a fortiori si un facteur d’alarme est présent (tableau 1). Une endoscopie avec prise de biopsies gastriques et duodénales devra alors être réalisée, parfois complétée par des analyses sanguines, une imagerie abdominale ou une scintigraphie de vidange gastrique qui démontrera un retard de vidange chez à peu près un tiers des patients présentant une dyspepsie fonctionnelle. Dans les deux tiers des cas, l’endoscopie se révélera négative. Tableau 1 : Causes organiques de dyspepsie.

la chambre de chasse ventriculaire. VI.DIAGNOSTIC ISOTOPIQUE La scintigraphie au Thallium 201 permettrait d'identifier les patients ayant des douleurs thoraciques de nature ischémique. Cependant, les résultats de ces études sont controversés d'autant que les déficits de perfusion observés sur les documents isotopiques ne sont pas superposables aux données coronarographiques. Des défauts de perfusion persistant sur les scintigraphies témoigneraient des zones cicatricielles. Toutefois la présence d'une

Les études de recherche sur les BM – Les essais cliniques – Un outil optionnel pour les cliniciens quand nécessaire • Trois résultats sont possibles: clairement positif ou négatif, et indéterminé E xamens complémentaires • Scanner ou IRM • Scintigraphie cérébrale • Marqueurs dans le LCR Imagerie des plaques amyloïdes 3 types de lésions histologiques • Plaques séniles : – dépôt de substance amyloïde • Dégénérescences neurofibrillaires • Perte neuronale D TA Plaque sénile DNF AB A PP

épanchement pleural, fixité du goitre) n’est pas toujours retrouvée. - Les examens complémentaires : * La radiographie thoracique : qui montre une opacité cervicothoracique avec déviation sur la trachée. * L’échographie cervicale. * La scintigraphie thyroïdienne : souvent il y a absence de fixation de la partie plongeante * Le scanner cervicothoracique montre surtout la continuité avec la thyroïde cervicale, même densité que les vaisseaux * Autres : IRM, transit oesophagien, laryngoscopie