Scylla

grâce à se laisse ainsi rouler au vent, ou à le sembler. Les noms de mes chapitres n’en embrassent pas toujours la matière ; souvent ils la dénotent seulement par quelque marque, comme ces autres titres : l’Andrie, l’Eunuque, ou ces autres noms : Scylla, Cicéron, Torquatus. J’aime l’allure poétique, à sauts et à gambades. C’est un art, comme dit Platon, léger, volage, démoniaque. Il est des ouvrages en Plutarque où il oublie son thème, où le propos de son argument ne se trouve que par incident, tout

sadique. Vers le début du conte, la reine dit au chambellan qu’il est entre charybde et scylla, qui sont deux monstres invincibles. Leur célébrité est telle que le langage a gardé ces deux créatures dans l'expression « Aller de Charybde en Scylla » qui signifie passer d'un danger à un autre, se retrouver la proie d'un danger pire que le premier. Charybde étant ici la personnification de la richesse et scylla la mort. Enfin le cœur de Médée représente ici la femme du roi, car comme Médée qui par amour

Charybde et Scylla - les boeufs d'Hélios De retour à l'île Aiaié, Ulysse rend les honneurs funèbres à Elpénor, et Circé lui apprends quels dangers il doit encore affronter pendant le retour. La navigation est d'abord heureuse. Arrivé à la région des Sirènes, il entand impunément leurs chants perfides, s'étant fait attaché au mat de sa nef, après avoir bouché les oreilles de ses compagnons. Arrivé à la passe entre les deux écueuils, il se tient, sur le conseil de Circé, près de Scylla pour éviter

peut toucher les morts ce qui l'attriste quand il voit sa mère. CHARYBDE ET SCYLLA : Retour d'Ulysse chez Circée. Celle-ci lui explique les dangers qui l'attendent. Départ d'Ulysse et de ses compagnons. Ils échappent aux Sirènes qui tentent de les envouter par leur chant. (ses compagnons se bouchent les oreilles avec de la cire et Ulysse se fait accrocher au mât). Ulysse passe avec son navre près du monstre Scylla et perd six hommes. Accostant sur l'île du Soleil, les hommes d'Ulysse désobéissent

cité » . Enée traverse de terribles épreuves : des tempêtes, le volcan Etna(fumée et étincelles), des cyclopes, le détroit de Messine où ils rencontrent les monstres Charybde et Scylla. : Charybde est un immense tourbillon qui engloutit des navires. Lorsque les marins changent de cap pr lui échapper, ils sont rejetés vers Scylla, un monstre à 6 têtes. Finalement, les marins passent le détroit et sont sauvés. Ils arrivent en Sicile où Anchise meurt. Enée reprend sa route mais La déesse Junon, qui détestait

escale ; la magicienne purifia les Argonautes, et ils purent reprendre la mer. Ils résistèrent aux chants mélodieux des sirènes grâce à Orphée, qui, de sa lyre, surpassa les dangereuses magiciennes, passèrent ensuite sans dommage entre Charybde et Scylla et atteignirent Corcyre, le pays des Phéaciens. Le roi Alcinoos, ami d'Aétès, leur demanda la restitution de Médée, mais seulement si elle était vierge. Aussi Jason s'empressa d'épouser celle qui l'avait suivi si fidèlement. Le navire fit route par

dans laquelle le conteur exerce une fascination sur son auditoire : il donne à voir ce dont il parle (2e passage devant Charybde, XII, 431-439) et émeut ainsi son public. « Toute la nuit je dérivai; puis, au soleil levant, j'atteignis Charybde et Scylla, les effrayantes. Charybde engloutissait la saumure de mer;alors, d'un seul élan, je bondis jusqu'au grand figuier et comme une chauve-souris m'y suspendis; mais pas moyen de poser le pied nulle part ou de grimper:les racines étaient fort loin, hors

Tirésias. Elle évoque les Sirènes et le moyen de se prémunir de leur chant mortel, puis les Planktes, deux écueils qui broient les vaisseaux au passage et où vivent Charybde et Scylla, que seuls les Argonautes ont réussi à franchir avec l'aide d'Héra. Elle laisse Ulysse choisir entre le passage par Charybde ou celui par Scylla. Le lendemain, Ulysse et ses compagnons repartent en mer. Grâce aux conseils de Circé, ils évitent sans encombre les Sirènes, car Ulysse a ordonné à ses marins de se boucher

de la flotte d’Ulysse au Chant X, les Sirènes et enfin les deux montres Charybde et Scylla au Chant XII qui tueront ce qui reste des compagnons du héros. Parmi ces monstres seul Polyphème à la dimension d’un personnage humain de par son intelligence et le fait qu’il soit doué de parole. Pour les autres, le poète les décrit peu mais insiste grandement sur leur puissance meurtrière et dévastatrice : « Là demeure Scylla, la terrible aboyeuse ; sa voix semble la voix d’un petit chien qui vient de naître

primitive, mais aussi son humiliation et son désir de vengeance. Tous les personnages merveilleux n’interviennent dans le récit que par leur fonction d’opposants : les Lotophages, les Lestrygons, les Sirènes, Charybde et Scylla. Ils sont d’ailleurs peu décrits. Charybde et Scylla sont présentées comme des monstres terribles, mais sans qu’on sache quelle forme elles peuvent avoir. Ce qui intéresse le poète c’est leur action dévastatrice qui, elle, est longuement décrite. Par ailleurs, ces monstres