Sdf Conclusion

construction……………………………………………………………………………………..5 Développement durable…………………………………………..…………………………………….7 Quel pilotage ?....................................................................................................9 Application sur Tarbes……………………………………………………………………………… Conclusion…………………………………………………………………………………………………….. Bibliographie………………………………………………………………………………………………. Historique Le 2 juillet 1992 la France est choisi pour organiser la Coupe du Monde de football qui se déroulera en 1998. Mais elle doit pour cela

Description et analyse de mes propres activités : page 22 à 25 II) Ma situation particulière : page 26 à 29 Conclusion : page 30 Remerciements : page 31 Introduction

préparation de l’enquête. 2) Pendant l’enquête. 3) Problèmes rencontrés. D. Le paradoxe de l’enquêteur. Deuxième partie : l’analyse. A. Résultats de l’enquête. B. Analyse sociolinguistique des résultats trouvés. C. Conclusion et discussion. Troisième partie : les transcriptions. Les corpus Références bibliographiques. ------------------------------------------------- I. Description et présentation de l’enquête. A. Sujet et choix de la problématique

Deux jeunes russes de 20 ans ont été jugés en avril 2010 pour avoir assassiné et servi à manger leur amie à l’une de leur colocataire. Ce fait divers, repris par les médias à travers le globe est un fait rare mais pas isolé. Plus récemment trois SDF russes sont comparus pour avoir en parti consommé la chair d'un homme de 25 ans qu'ils avaient poignardé. Ainsi, le cannibalisme, symbolisant dans notre imaginaire occidental des faits datant du début du siècle et inspirant de nombreux écrivains

position professionnelle Ce jeudi là l'équipe a choisit de traiter en analyse de pratique de la situation de josé. Plusieurs membres de l'équipe s'interrogent en effet sur son état préoccupant et sur comment mieux l'accompagner. José est toxicomane et SDF. Il souffre de plus de troubles psychiques. Il se présente comme un gitan. Par ailleurs son apparence, son attitude, la manière de mettre en scène son chien et d'en parler sont autant de manifestation de menaces potentielles. Lors de la présentation

exemple, la situation particulière des « assistés », c'est reconnaître sous un autre nom la stigmatisation qui s'attache à tous ceux qui sont séparés des « normaux » par une différence honteuse et source de discrédit social. Voilà donc une première conclusion: être exclu, dans nos sociétés, c'est être inclus sur un mode qui n'équivaut pas à la mort sociale, mais à une vie de moindre valeur. Jean-Manuel de Queiroz, in L’exclusion, l’état des savoirs, 1996. Commentaire :___________________________________________________

Les SDF ont bien compris les systèmes et on dit stop à la désignation d’objet passif et veulent être autonome et donc refusent d’aller dans les abris. RMQ : le TS/AS se trouve confronté à un malaise lorsqu’il doit parler des personnes dont il s’occupe. Comment va t’on les nommer ? On parlera d’eux en tant qu’usager, client, bénéficiaire mais au fond on va se demander quel est le terme le plus approprié. La perception que l’on a de la personne est importante. Lorsqu’on parle de SDF ( sans

pourront pas être reconnues et respectées. Si on prend en compte la majorité, la minorité ne sera pas prise en compte et mise à part. La deuxième critique est que les mécanismes inégalitaires reviennent tout de même dans la démocratie participative. Les SDF, les jeunes, les prostituées, les étrangers, qui ont un difficile accès à la parole publique seront exclus de la discussion dans une assemblée de quartier par exemple. La troisième critique est l’argument de l’apolitisme, le citoyen « ordinaire » n’existe

est tournée en dérision. Gogo et Didi sont nos représentations. Ce qu'on voit, ce qu'on entend est une parodie de notre vie : chacun son problème : "Lui pue de la bouche , moi des pieds" Ou " l'humanité c'est nous "(p134). Ils sont indigents, des SDF, des marginaux, des clowns. Ils perdent leur pantalon mais "sont des hommes" (p138) Ils ne disent rien d'intelligent, ils passent le temps en conversation sur la pluie et le beau temps, à bâton rompu. Ils sont creux. Ils vivent de façon primaire

afin d'améliorer la productivité (comme l'a montré une étude du BIT) , afin d'améliorer la compétitivité des entreprises et donc de créer des emplois dans la durée. Ce qui peut alors permettre de faire baisser les chiffres du chômage à long terme. Conclusion : ➔ ➔ Bilan : Pour lutter contre le chômage en France, il faut forcément chercher à s'inspirer de ce que font les autres pays pour trouver des solutions. Or, quand on observe ce qui se passe dans les pays anglo-saxons ou au Danemark, on peut