Sécheresse oculaire

du Nord de vendre leurs produits moins chers. La conséquence directe est la désertification des campagnes par les paysans, qui ne peuvent plus vivre de leurs terres. Les dérèglements climatiques accentueront cette désertification, provoquant sécheresses, ouragans…, les pays du Sud subissant 80% de l’impact du réchauffement climatique. Les rendements de cultures pluviales reculeront ainsi de 50% d’ici en 2020. Dans le monde de demain, la population aura quasiment doublé d’ici les 30 prochaines

quelque 12 tonnes de CO2 par an et par habitant contre 23 tonnes aux Etats-Unis et 4,4 tonnes en Chine. Or à ce rythme, notre comportement pourrait avoir des répercussions graves sur l’environnement et ce à l’échelle de quelques décennies : Les sécheresses et les inondations seront plus nombreuses, sous l’effet de l’évaporation accrue de l’eau des mers. Les pays dont les ressources en eau sont déjà mauvaises seraient ainsi les premiers à en faire les frais. La fonte des glaces et des neiges s’accélérera

vent ont dérouté les typhons de leurs routes habituelles, vers Hawaii ou Tahiti non préparées à de telles conditions météorologiques. Ces anomalies ont aussi déplacé les pluies des moussons sur le Pacifique central, au lieu du Pacifique ouest. Sécheresses et feux de forêt se sont alors déclenchés en Indonésie et en Australie. Des orages se sont abattus sur la Californie méridionale en hiver, et ont causé des inondations sur tous le sud des États-Unis, tandis que les stations de sport d’hiver du nord

ces pays en difficultés. Nous avons les moyens financiers, nous avons beaucoup d'eau potable, beaucoup de nourriture, mais beaucoup d'entre nous disent, chacun sa merde, et c'est ce qu'il s'est passé à la corne de l'Afrique ou il y a eu une grande sécheresse qui a provoqué une famine. On a beaucoup d'eau potable, beaucoup de nourriture,…Mais la grande majorité de nos pays n'ont pas réagi assez tôt ou n'ont même pas réagit. Notre systeme capitaliste nous incite à toujours faire de la croissance et donc

des eaux du fleuve ? Les eaux du Nil, un outil de développement convoitéAfin de contribuer au développement économique grâce à l’hydroélectricité, et dans le but également de régulariser le cours du fleuve et de constituer un réservoir en cas de sécheresse, le président égyptien (1952-1970), Gamal Nasser, a décidé en 1956 de la construction du barrage d’Assouan, inauguré en 1971. La retenue est très importante : 162 milliards de mètres cubes (m3), soit deux fois le volume du débit annuel du fleuve

décembre à Mars - Avril qui correspond à la saison chaude. L'origine de ces fortes précipitations vient des coulées de boues. Ce phénomène se manifeste principalement dans les régions arides et semi arides où l'on observe de longues périodes de sécheresse suivies d'averses torrentielles. L'eau qui ruisselle se charge en terre suite à l'érosion des sols agricoles meubles (sable, argile, terre). L'eau, dans son ruissellement peut causer d'importants dégâts à cause de son caractère boueux. Ces coulées

Alors que dans les pays pauvres, exposés à la sécheresse, les femmes et les enfants doivent parfois parcourir 10 km tous les jours pour trouver de l’eau. Ainsi, alors qu’en moyenne un Américain utilise 600 litres d’eau par jour, un Africain doit se contenter de 20 litres. De plus, cette mauvaise répartition de l’eau risque de s’accentuer à cause des changements climatiques. Les inondations pourraient se multiplier dans certaines régions, et les sécheresses s’aggraveraient dans d’autres d'ici quelques

par des querelles de voisinage, le sous-développement, la sécheresse, la pauvreté et la guerre civile." La situation géostratégique du Maroc constitue pour al-Qaida une base arrière idéale et alternative à l’Afghanistan pour mener ses projets terroristes au Maghreb et en Europe", indique El Kihel. "Notamment dans la mesure où la région sahélo-saharienne est déjà affaiblie par des querelles de voisinage, le sous-développement, la sécheresse, la pauvreté et la guerre civile." * "AQMI a réussi au

(les pluies d'été), les cultures rabi prenant ensuite le relais jusqu'en mai-juin (souvent grâce à l'irrigation). Les zones arides comme le désert de Thar, au centre, ou montagneuses comme l'Himalaya sont moins favorisées, les unes en raison de la sécheresse, les autres du froid. • L'essentiel des terres agricoles est voué aux cultures vivrières, essentiellement céréalières : riz, blé et millet, dont l'Inde est le deuxième producteur mondial. La riziculture est concentrée dans les zones les plus touchées

TECHNOLOGIE Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime EN AGRICULTURE ● MAPM/DERD Avril 2008 ● PNTTA SOMMAIRE Le semis direct des céréales Introduction Le Maroc est aujourd’hui de plus en plus confronté aux problèmes de sécheresse (93% du territoire national est aride à semi-aride). Pour atténuer les effets de ces changements climatiques sur la production agricole, nous sommes dans l’obligation de combiner toutes les techniques et pratiques culturales permettant de mieux